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Thursday, June 30, 2022

Les vedettes de la fête du Canada - Le Journal de Québec

Comme celles de la fête nationale du Québec, la semaine dernière, les célébrations de la fête du Canada retrouvent leur public cette année. Voici les têtes d’affiche des spectacles qui seront présentés dans la capitale fédérale, à Montréal et à Québec, vendredi.

Ottawa

Samian

Photo d’archives

Samian

C’est vraiment l’année de Charlotte Cardin. Attendue sur la scène des plaines d’Abraham lors de la soirée d’ouverture du Festival d’été de Québec, récipiendaire de quatre prix Juno et au cœur d’une tournée durant laquelle tous ses concerts à Montréal et Québec sont présentés à guichets fermés, la vedette québécoise sera la tête d’affiche du spectacle de la fête du Canada, en direct du parc des Plaines-LeBreton.

Salesbarbes

Photo d’archives

Salesbarbes

À ses côtés, on retrouvera les Québécoises Ariane Moffatt, Sarahmée et Cindy Bédard, les Acadiens Salebarbes de même que Walk off the Earth, Sebastian Gaskin, Riit et Gurdeep Pandher. 

Ariane Moffatt

Photo d’archives

Ariane Moffatt

Durant la retransmission télé sur les plateformes de Radio-Canada, animée par Isabelle Racicot et Ali Hassan, des artistes postés dans cinq villes du pays feront des apparitions (Johnny Reid à Vancouver, William Prince à Yellowknife, Neon Dreams à Halifax, Tenille Arts à Saskatoon et Samian à Montréal).

Marc Dupré

Photo d’archives

Marc Dupré

Diffusée à ICI RDI, la cérémonie du midi mettra pour sa part en vedette Lisa LeBlanc, Tenille Townes, Chantal Kreviazuk, Sarahmée, DJ Shub, Kellie Loder, Sebastian Gaskin, Tara MacLean, Riit, Boogat et Gurdeep Pandher.

Sarahmée

Photo d’archives

Sarahmée

Montréal

Dans la métropole, c’est sur la scène du Vieux-Port que les Montréalais ont rendez-vous pour un spectacle qui réunira Samian, Marc Dupré, Mateo, Naomi, Joseph Edgar et Annie Villeneuve, à partir de 19 h 30.

Annie Villeneuve

Photo d’archives

Annie Villeneuve

Québec

Brigitte Boisjoli sera la tête d’affiche du spectacle dans la capitale nationale, qui sera présenté au kiosque Edwin-Bélanger, sur les plaines d’Abraham, à 20 h. La chanteuse sera précédée sur les planches par les drag queens Jojo et Gabry Elle.

Brigitte Boisjoli

Photo d’archives

Brigitte Boisjoli

La liste de toutes les activités prévues pour la fête du Canada à Québec est disponible au feteducanadaquebec.ca.

Pour connaître toutes les activités prévues durant la journée à Montréal, allez voir le feteducanadamtl.ca.

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Les vedettes de la fête du Canada - Le Journal de Québec
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Le fondateur des «Hells Angels» est mort - TVA Nouvelles

Sonny Barger, fondateur du premier groupe américain de «Hells Angels» - association de motards à la réputation sulfureuse - est décédé à l'âge de 83 ans, selon un communiqué jeudi sur son compte officiel Facebook.

Pendant des décennies, M. Barger a été la figure publique de ces clans de motards en blue-jean et blouson de cuir, représentant un pan emblématique de la contre-culture des États-Unis.

«Sachez que je suis mort paisiblement à l'issue d'un bref combat contre le cancer», précise le communiqué, rédigé à la première personne. «J'ai eu une longue et belle vie remplie d'aventures. Et j'ai eu le privilège de faire partie d'un club extraordinaire».

Râblé, tatoué, musclé, à la fois bagarreur et fanfaron, acteur ou bandit selon les circonstances, Sonny Barger a été un homme de tous les excès, de l'alcool aux drogues dures. Ses démêlés variés avec la justice lui ont valu des années derrière les barreaux, une face sombre et rebelle à contraster avec ses talents d'entrepreneur.

photo courtesy of Chuck Zito

Sonny Barger était présent en 1969 au fameux concert des Rolling Stones au festival d'Altamont, où les Hells Angels avaient été recrutés pour assurer la sécurité. Meredith Hunter, un spectateur qui y avait brandi une arme de poing, avait été fatalement poignardé par un Hells Angel, une scène apparaissant dans le célèbre documentaire «Gimme Shelter». 

Né en 1938 à Modesto en Californie, c'est dans cet État que cet ancien mécanicien à l'enfance chahutée a créé en 1957 le «chapitre» des Hells Angels d'Oakland, en banlieue de San Francisco. L'endroit deviendra le quartier général de cette organisation à mi-chemin entre fraternité blanche et gang.

Se déplaçant en bandes vrombissantes parfois qualifiées de «hordes», cheveux longs volant au vent, prisant les Harley-Davidson et les choppers customisés au guidon haut, les Hells Angels ont suscité dès le début la crainte partout où ils passaient.

AgenceQMI

De nombreux autres chapitres s'ouvriront ailleurs en Amérique et sur tous les autres continents, rassemblant des milliers de membres. Un succès piloté par Sonny Barger, ardent promoteur de la marque et de son logo affiché sur des produits allant des tee-shirts aux lunettes de soleil.

Officiant comme consultant sur des tournages de films de motards, le Californien marié quatre fois a également écrit des romans et une autobiographie au ton épicé devenue un livre à succès.

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Wednesday, June 29, 2022

Crimes sexuels: le chanteur R. Kelly condamné à 30 ans de prison - Le Journal de Montréal

NEW YORK | La vedette américaine déchue du R&B, R. Kelly, reconnue coupable en septembre 2021 à New York d’avoir dirigé pendant des années un «système» d’exploitation sexuelle de jeunes, dont des adolescentes, a été condamnée mercredi à 30 ans de prison.

• À lire aussi: Le chanteur R. Kelly reconnu coupable de crimes sexuels

• À lire aussi: Le procès R. Kelly, porte-voix aux Etats-Unis des femmes noires victimes de crimes sexuels

• À lire aussi: YouTube supprime les chaînes officielles de R. Kelly

Cette lourde peine contre le chanteur de 55 ans a été prononcée par le tribunal fédéral de Brooklyn, là où son procès il y a neuf mois avait levé le voile sur les crimes sexuels au sein de la communauté noire aux États-Unis.

D'après des journalistes présents à l'audience, le chanteur mondialement connu pour son tube «I Believe I Can Fly» n'a pas dit un mot à l'énoncé du verdict.

Dans leur dernier réquisitoire, les procureurs fédéraux réclamaient au moins 25 années de réclusion criminelle en raison du «danger» que représenterait R. Kelly, de son vrai nom Robert Kelly, pour ses victimes et pour l'opinion publique.

Le parquet américain a estimé qu'il était «un impudent, un manipulateur, dans le contrôle et la coercition, ne montrant aucun signe de remords ou de respect de la loi».

Durant les six semaines de procès en août et septembre derniers, le chanteur déchu avait été dépeint par l'accusation en «criminel, prédateur».

Neuf femmes et deux hommes l'avaient accusé d'avoir abusé d'eux sexuellement, décrivant des viols, des prises de drogues forcées, des situations d'emprisonnement ou encore des faits de pédopornographie.

L'homme, qui a raconté avoir été violé quand il avait huit ans, a été reconnu coupable fin septembre 2021 de tous les chefs d'inculpation: extorsion, exploitation sexuelle de mineur, enlèvement, trafic, corruption et travail forcé, sur une période allant de 1994 à 2018.

R. Kelly a toujours nié les faits.

Tout au long de son procès, l'ex-étoile afro-américaine du R&B était restée mutique, et n'avait pas manifesté d'émotion particulière à l'énoncé de sa culpabilité, se contentant de baisser la tête et de fermer les yeux.

Déjà en détention et dans l'attente d'un autre procès fédéral à Chicago en août, R. Kelly espérait via ses avocats une peine maximale à New York de 17 ans de réclusion.

Ce procès a été considéré comme une étape majeure du mouvement #MeToo: c'était la première fois que la majorité des plaignantes étaient des femmes noires et qu'elles accusaient un artiste noir.

Pour Kenyette Barnes, à l'origine du mot-dièse #MuteRKelly («Faites taire R. Kelly») en 2017 - la même année que le mouvement mondial #MeToo déclenché par la chute du tout-puissant producteur de Hollywood Harvey Weinstein - la justice américaine a permis pour la première fois de donner écho «au sang, à la sueur et aux larmes des femmes noires» que la société américaine ne voulait jusqu'à présent pas voir.

Bien avant que les violences sexuelles ne soient un sujet pour les médias et les réseaux sociaux aux États-Unis, des femmes afro-américaines bataillaient pour alerter les autorités et l'opinion publique. Mais pour une partie de la société, «les femmes noires ne sont ni susceptibles d'être violées, ni crédibles», dénonçait en septembre Mme Barnes.

Le procès avait mis au jour le «système» de R. Kelly pour attirer de très jeunes femmes et les agresser sexuellement, avec la complicité de son entourage, comme dans une sorte d'entreprise mafieuse, selon l'accusation. Nombre de victimes avaient raconté leur rencontre avec leur idole lors de concerts après lesquels on leur glissait un petit papier avec les coordonnées du chanteur.

Il ferait quelque chose pour leur carrière musicale, leur promettait-on.

Au lieu de cela, elles se faisaient «endoctriner» dans le milieu «sordide» de R. Kelly, étaient forcées à des rapports sexuels et maintenues dans ce «système» par des «mesures coercitives», selon l'accusation.

Six femmes ont été les principales accusatrices, dont certaines ont affirmé avoir été droguées pour être violées, séquestrées, forcées d'avorter et contaminées par des maladies sexuellement transmissibles.

Pour l'avocate Gloria Allred, qui représente trois des six plaignantes, le verdict contre R. Kelly - au lendemain des 20 ans de prison prononcés par le tribunal de Manhattan contre l'ex-mondaine britannique Ghislaine Maxwell pour trafic sexuel de mineures - doit servir d'exemple pour les célébrités qui se servent de leur «notoriété pour faire de leurs admirateurs des proies».

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Il exhibait son pénis à ses petites-filles - Le Journal de Québec

Le conjoint d’une grand-mère de trois fillettes a été condamné à quatre ans de pénitencier pour avoir baissé ses culottes et exhibé son pénis à plusieurs reprises au cours des dernières années.

• À lire aussi: L’identité du motocycliste décédé est connue

Conjoint des 17 dernières années de la grand-mère maternelle de trois fillettes âgées entre quatre et 10 ans, l’accusé était considéré comme le véritable grand-père des enfants. 

Ceux-ci se faisaient d’ailleurs garder régulièrement chez ses grands-parents de qui elles étaient très proches.  

Sauf que l’homme de 61 ans qui ne peut être nommé afin de ne pas identifier les jeunes victimes avait un comportement pour le moins bizarre et illégal en l’absence de sa conjointe. 

L’accusé baissait régulièrement ses pantalons ainsi que ses sous-vêtements et prenait son pénis «en le bougeant un peu».  

Cette scène s’est répétée à plusieurs reprises en 2018 et 2019 selon les trois victimes qui ont toutefois pris plusieurs mois à verbaliser la situation, notamment en raison de leur âge. 

L’aîné des trois filles, aujourd’hui âgé de 13 ans, a toutefois relaté avoir été victime de contacts sexuels de la part de son grand-père à une occasion alors qu’elle avait demandé de l’aide à l’accusé après avoir été à la toilette.  

Lors de son procès, le résident de Portneuf a admis avoir baissé ses culottes, mais uniquement dans «un but éducatif» pour ne pas que les fillettes se masturbent devant les autres. 

La version du grand-père n’a pas été retenue et il a été reconnu coupable d’exhibitionniste et de contacts sexuels.  

Pour sa part, la grand-mère maternelle qui n’avait rien fait lorsque les fillettes lui ont d’abord dénoncé la situation a continué d’appuyer son conjoint malgré les accusations. 

Les victimes ont donc vécu un important problème de loyauté en voyant les liens se rompre avec leur grand-mère.  

L’accusé a «trahi la confiance» de sa famille, a fait valoir la juge Marie-Claude Gilbert qui a indiqué que la répétition de ses gestes a amplifié le préjudice.

Pour cette raison, l’homme de 61 ans a été condamné à une peine de quatre ans de pénitencier.  

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Making the Cut | Le designer Markantoine à la télé américaine - La Presse

Le designer québécois Markantoine participera à la nouvelle saison de l’émission de téléréalité Making the Cut, qui sera diffusée en août sur Amazon Prime Video.

Publié hier à 13h46
Olivia Lévy
Olivia Lévy La Presse

Markantoine fait partie des dix designers sélectionnés à travers le monde qui s’affronteront dans cette compétition pour remporter le grand prix de 1 million de dollars et dont l’identité a été dévoilée mardi matin. La mannequin Heidi Klum coanime l’émission avec Tim Gunn, et les juges permanents sont l’actrice et styliste Nicole Richie et Jeremy Scott, directeur de la création de Moschino.

PHOTO CHRIS PIZZELLO, ARCHIVES ASSOCIATED PRESS

Heidi Klum est la coanimatrice de Making the cut, diffusée sur Amazon Prime Video.

« C’est vraiment incroyable, je suis le premier Canadien à participer à cette émission qui est distribuée dans tous les grands marchés internationaux. J’ai été choisi parmi des centaines ou des milliers de designers du monde entier, car les autres candidats viennent d’Angleterre, du Brésil, de Chine, de Suisse, des États-Unis », lance en entrevue le créateur de vêtements haut de gamme, Markantoine Lynch-Boisvert.

Une expérience « très intense »

Celui qui qualifie le style de sa marque MRKNTN de « skate wear conceptuel » dit avoir adoré son expérience. « C’est très valorisant, ça a été très intense et ça m’a permis de reprendre confiance en moi après la pandémie. »

J’avais besoin de cet élan pour pouvoir continuer à faire ce que j’aime, et cette émission m’a vraiment fait du bien.

Markantoine Lynch-Boisvert

Making the Cut a été enregistrée à Los Angeles à la fin de l’année 2021. Parmi les lieux de défilé de cette saison, citons l’emblématique Rodeo Drive de Beverly Hills, le paysage désertique de Vasquez Rocks et le toit de l’un des gratte-ciel du centre-ville.

« J’avais reçu un appel pour participer à la saison 2, mais ça ne s’était pas concrétisé, raconte le designer. J’ai été recontacté pour la saison 3, et après un processus de sélection exhaustif et une dizaine d’entrevues, j’ai eu la réponse le 18 novembre. J’avais alors une semaine pour créer et fabriquer dans mon atelier deux tenues de soirée pour la première émission, et je me suis envolé le 27 novembre pour Los Angeles ! ».

PHOTO MARCO CAMPANOZZI, ARCHIVES LA PRESSE

Le designer Markantoine, en 2019

Chaque semaine, un ou plusieurs candidats quitteront l’aventure. Évidemment, Markantoine Lynch-Boisvert est tenu au secret et ne peut rien dévoiler du déroulement de l’émission. En plus du grand prix de 1 million de dollars à investir dans sa marque, le gagnant recevra un mentorat avec Amazon Fashion.

Chose certaine, cette participation à Making the Cut lui ouvrira des portes sur la scène internationale. Déjà, Markantoine a présenté sa collection printemps-été 2023 à Paris, la fin de semaine dernière. « Je suis très content, c’est un vrai renouveau pour moi, et ça va vraiment me faire connaître un peu partout dans le monde. »

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Tuesday, June 28, 2022

Fautes déontologiques: le Dr Lacroix est «allé trop loin» - Le Journal de Québec

Le conseil de discipline du Collège des médecins a déclaré le propriétaire des cliniques médicales Lacroix, le Dr Marc Lacroix, coupable de deux fautes déontologiques, estimant qu’il était allé «trop loin» en critiquant l’OMS et la Santé publique du Québec, nuisant ainsi à la réputation de la profession de médecin.

• À lire aussi: Le Dr Lacroix a manqué de nuance, selon le plaignant

Le propriétaire et fondateur des cliniques de médecine privées Lacroix, le Dr Marc Lacroix, fait face depuis l’été 2020 a une plainte déontologique pour une série d’entrevues données à l’ex-animateur de CHOI Radio X Jeff Fillion ainsi que pour de multiples publications Facebook contre les mesures sanitaires. C’est un plaignant privé, Olivier Bolduc, qui sera candidat pour Québec solidaire dans Jean-Talon aux prochaines élections, qui avait déposé cette plainte.  

Au terme de longues audiences, le Dr Lacroix a été déclaré coupable de fautes déontologiques sur deux des sept chefs de la plainte. L’un des trois membres du conseil de discipline, le Dr Petru-Lucian Comanita, a toutefois affiché sa dissidence et aurait acquitté le Dr Lacroix, estimant que l’intimé avait exercé son droit à la liberté d’expression. 

Faire une bonne émission

Ce n’est toutefois pas l’avis des deux autres membres du conseil, qui jugent sévèrement les propos tenus par le Dr Lacroix lors d'une entrevue accordée à CHOI le 8 mai 2020. Le Dr Lacroix avait notamment dit «cesser d’écouter l’OMS», ajoutant: «On voit le Dr Arruda avec sa belle épinglette de l'OMS... Moi, je pense que l'OMS, dès le début, n'a pas été crédible dans cette crise-là, a caché de l'information au monde entier.»

Cette «attaque sans réserve de l’OMS» n’est pas digne du comportement d’un médecin, tranche le conseil, estimant que le Dr Lacroix «est allé trop loin». «On comprend rapidement que le Dr Lacroix est là pour contester les mesures de la Direction de santé publique et faire une bonne émission avec l’animateur», est-il écrit.  

Le conseil poursuit en disant qu’il ne pouvait faire comme s’il avait une discussion «entre amis» avec l’animateur qui était d’ailleurs son porte-parole publicitaire. «Le Dr Lacroix était plus soucieux d’adopter une position qui le rendrait populaire [...] que de se préoccuper des conséquences de la COVID-19», est-il écrit.  

«Personnage public»

Le Dr Lacroix a aussi manqué à ses obligations déontologiques en faisant sur sa page Facebook de multiples publications, écrivant notamment «bouffon» au-dessus d’une photo du Dr Horacio Arruda, «folie pure» ou encore «le masque ne protège pas».  

Le Conseil recense une cinquantaine de publications qui, par le ton et la fréquence, «manquent d’élégance, de classe et de dignité». Le Dr Lacroix n’était pas exempt de ses obligations déontologiques, même s’il publiait sur une page Facebook personnelle.   

Le Conseil rappelle tout au long de sa décision que le Dr Lacroix avait le droit d’exprimer son opinion, mais qu’il aurait dû être plus prudent et faire preuve de plus de retenue, d'autant qu’il n’était pas un expert dans le domaine de la santé publique. Ses propos ont donc manqué de professionnalisme et de sérieux, et ont atteint un «degré de gravité tel» qu’ils constituent une faute déontologique, conclut la présidente, Me Marie-Josée Corriveau.  

Le Dr Lacroix devra se présenter à une audition sur sanction afin de connaître la peine disciplinaire qui lui sera imposée pour les deux fautes déontologiques dont il a été reconnu coupable.

Réaction du Dr Lacroix 

Le Dr Lacroix a publié un communiqué en après-midi mardi pour réagir à la décision rendue contre lui. Il indique que ses procureures vont analyser la décision pour la suite en rappelant qu’il a été acquitté de cinq des sept chefs de la plainte en plus de faire valoir la dissidence d’un des membres sur la décision finale.  

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Tapis rouge pour Lignes de fuite - Le Journal de Montréal

C’était soir de première, lundi à la Place des Arts, pour la présentation de la comédie dramatique Lignes de fuite, une adaptation de la pièce de théâtre du même titre écrite par l’auteure et comédienne Catherine Chabot et coréalisée par Miryam Bouchard (Mon cirque à moi). Plusieurs personnalités ont foulé le tapis rouge, dont les vedettes du film, Mariana Mazza, Léane Labrèche-Dor, Catherine Chabot, Victoria Diamond, Maxime de Cotret et Mickaël Gouin. Lignes de fuite prend l’affiche partout au Québec le 6 juillet.

  • Écoutez la chroniqueuse culturelle Marika Simard au micro de Yasmine Abdelfadel sur QUB radio:

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Monday, June 27, 2022

Un incident dans la foule force Charlotte Cardin à interrompre son spectacle - Le Sac de chips

La chanteuse Charlotte Cardin a récemment été obligée de mettre un spectacle sur pause, le temps de régler un différend dans la foule.

Les images montrant un nébuleux incident ont commencé à se propager, ce dimanche, via TikTok.

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Dans la vidéo publiée sur le compte d’une fan de Charlotte Cardin (et donc, pas sur le compte officiel de l’artiste), on peut voir la chanteuse visiblement contrariée de devoir interrompre sa chanson.

«This is a safe space, guys, qu’est-ce qui se passe?», dit-elle avant de demander aux agents de sécurité de venir «dealer» avec la situation.


Cardin explique ensuite qu’elle croyait d’abord qu’une personne s’était évanouie, mais qu’il ne s’agissait que d’un «petit drama».

Mais éventuellement, avec les cris de la foule, elle semble comprendre qu’un individu aurait un comportement déplacé et pour cette raison, elle fait une mise au point.

• À lire aussi: Britney Spears publie une douzaine de photos d’elle nue

«Ici, sachez-le, c'est vraiment un safe space, alors j'apprécie les gens qui se sentaient juste pas bien en la présence de cette personne-là et que vous me l'ayez flaguée. C’est vraiment important», s’exclame celle qui a volé la vedette au plus récent gala des Juno Awards.

«Y'a pas de fucking lourd qui va vous toucher de façon inappropriée. Ça se passe pas ici», insiste-t-elle par la suite, 

Elle reprend ensuite la pièce Sex To Me où elle était rendue, en «faisant semblant que tout ça n’est pas arrivé».

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Mais qu’est-ce qui s’est donc passé pour que Cardin doive ainsi arrêter sa chanson?

Selon le même compte TikTok qui a publié la vidéo initiale, c’est un homme qui, dans la foule, aurait touché des spectatrices de façon inappropriée.

Toutefois, sur le site QC Scoop, on peut lire que la personne fautive serait partie du balcon pour rejoindre quelqu’un d'autre au parterre et qu’en se faisant un chemin dans la foule, elle touchait les gens pour pouvoir passer.

QC Scoop précise aussi que les images auraient été captées lors du spectacle du 21 juin dernier, au MTELUS à Montréal.

À voir aussi sur le Sac de Chips: 

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Offre de 301 M$ de Disney: Johnny Depp de retour dans «Pirates des Caraïbes»? - Le Journal de Montréal

Disney aurait offert la coquette somme de 301 millions $ US à Johnny Depp pour qu’il revêtisse à nouveau le costume de Jack Sparrow dans la franchise de films Pirates des Caraïbes. 

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La nouvelle a été rapportée par le site australien Poptopic. En plus d’un autre film, l’offre toucherait à une série sur l’univers de Jack Sparrow.

«L'accord ferait en sorte que Johnny Depp revienne en tant que Jack Sparrow», apprend-on dans un article du New York Post.

Johnny Depp, 59 ans, a déjà joué dans cinq films de la franchise Pirates des Caraïbes.

On se rappelle que l’acteur, qui vient de sortir victorieux d’un procès très médiatisé contre son ex Amber Heard, avait été éjecté sans ménagement de la franchise en 2018 par Disney, à l’aube du sixième volet, perdant ainsi son salaire de 22,5 millions $ US. Il était à l’époque visé par des allégations d’abus de la part d’Amber Heard. Cette dernière avait affirmé avoir été victime de violence conjugale de la part de Johnny Depp dans un article d’opinion qu’elle a écrit cette année-là.

Le 1er juin dernier, un juge a condamné Amber Heard à payer 10,35 millions $US à son ancien amoureux dans le cadre d’un procès en diffamation.

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Télé-radar | Quatre titres à voir | La Presse - La Presse

Chaque semaine, La Presse épluche l’offre télé pour repérer quatre titres à regarder

Publié à 11h00
Marc-André Lemieux
Marc-André Lemieux La Presse

Documentaire : Nouveaux visages

Réalisée par Brian Desgagné et Christine Doyon, cette série documentaire de huit épisodes nous plonge dans l’univers de l’agence de mannequins Humankind. Dirigée par Marikym Hervieux et Claudine de Repentigny, cette boîte montréalaise promeut la diversité (corporelle et culturelle) et l’inclusivité. La mode n’a jamais été une industrie hyper saine, mais quand on regarde cette série, on sent qu’il y a de l’espoir. Particulièrement lorsqu’on entend le discours du tandem aux commandes, qui cherche des mannequins qui n’entrent dans aucun moule. Si vous cherchez une série avec beaucoup de drames et d’escarmouches, Nouveaux visages n’est pas pour vous. On est loin d’America’s Next Top Model. Et c’est très bien comme ça.

Sur la plateforme Vrai

La nouveauté : Éc(rire)

PHOTO PATRICK SANFAÇON, LA PRESSE

L’auteur Marc Brunet

Réalisée en partenariat avec l’École nationale de l’humour, cette websérie donne la parole aux auteurs de comédie. Dans chaque épisode, un scénariste retrace son parcours professionnel, seul devant l’objectif, pendant une vingtaine de minutes. De grosses pointures comme Martin Matte (Les beaux malaises), Guy A. Lepage (Un gars, une fille) et Isabelle Langlois (Lâcher prise) se prêtent à l’exercice avec beaucoup de générosité. Invité du premier épisode, Marc Brunet revisite ses succès (Majeurs et vaccinés, Le cœur a ses raisons, Like-moi) et Virus, le pire échec de sa carrière. Ce talk-show animé par François Massicotte et Mike Bossy n’a duré qu’une seule saison à TVA, en 1993. « C’est une référence de très, très mauvais show humoristique », confesse Brunet à la caméra.

Noovo.ca

L’évènement : spectacle de la fête du Canada

PHOTO OLIVIER PONTBRIAND, LA PRESSE

Le groupe Salebarbes, composé de George Belliveau, Jean-François Breau, Jonathan Painchaud, Éloi Painchaud et Kevin McIntyre

Semaine chargée pour Salebarbes. Après avoir mené les célébrations entourant la Saint-Jean-Baptiste à Québec, le quintette acadien se déplace du côté d’Ottawa pour souligner la fête du Canada. Animé par Isabelle Racicot et Ali Hassan, le spectacle de deux heures comprendra également des prestations de Charlotte Cardin, du groupe Walk Off the Earth, de Sarahmée, de Cindy Bédard, de Sebastian Gaskin et d’Ariane Moffatt. Samian, Neon Dreams et Johnny Reid participeront également au rendez-vous, en direct d’ailleurs au pays. Plus tôt dans la journée, à 11 h 30, ICI RDI diffusera la cérémonie du midi, qui réunit Lisa LeBlanc, Chantal Kreviazuk, Boogat et Tenille Townes.

ICI Télé, vendredi à 20 h

Le coup de dés : Collection Harlequin – À Noël mon prince viendra

BRAIN POWER STUDIO

Collection Harlequin – À Noël mon prince viendra

Non, ce n’est pas un copier-coller d’une suggestion télé de décembre dernier. Pour la troisième année d’affilée, la chaîne spécialisée ELLE Fictions propose une programmation spéciale Noël en juillet, durant laquelle elle diffuse, chaque soir, des films à forte odeur de sapin. Au total, 88 longs métrages remplis de bons sentiments seront présentés. Ça commence avec Collection Harlequin – À Noël mon prince viendra, qui raconte l’histoire d’une pédiatre qui s’éprend d’un prince étranger qui s’est fracturé une jambe en faisant du ski. Fait à signaler : la suite sera présentée mardi. Elle marque l’arrivée d’un nouveau personnage, la princesse Miranda. Triangle amoureux en vue !

ELLE Fictions, lundi à 20 h

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Sunday, June 26, 2022

Sur la table de chevet de… Gabrielle Boulianne-Tremblay - La Presse

Deux fois par mois, une personnalité publique nous confie quelles sont ses lectures du moment. Cette semaine, l’autrice et comédienne Gabrielle Boulianne-Tremblay, dont le premier roman, La fille d’elle-même, a remporté le Prix des libraires et sera adapté au petit écran.

Publié à 7h00
Laila Maalouf
Laila Maalouf La Presse

La détresse et l’enchantement

« C’est l’autobiographie de Gabrielle Roy ; un livre qui m’a accompagnée sur plusieurs mois, volontairement, parce que c’était tellement immersif. On a vraiment l’impression d’être avec Gabrielle ; elle nous tend la main, on la suit à travers ses péripéties, ses aventures – parfois rocambolesques, parfois très méditatives. Pour moi, ç’a été un genre de guide dans des moments plus difficiles de ma vie parce que ça m’aidait à faire attention au moment présent. Il me reste encore 10 pages que je n’ai pas lues, mais c’est volontaire : c’est parce que je suis tellement attachée à son écriture que je ne veux pas la quitter. Gabrielle a ce don de voir la beauté même dans l’adversité. »

La détresse et l’enchantement

La détresse et l’enchantement

Boréal

Niko

« J’étais vraiment curieuse de lire le récit de ce petit Niko qui a 6 ans et qui est né dans la guerre. C’est un environnement très hostile, mais c’est tout ce qu’il connaît. [...] C’est un enfant qui s’accroche à toutes les petites choses qui peuvent l’aider. Pour lui, jouer avec un aspirateur, c’est quelque chose d’extraordinaire. Il s’invente un monde dans son petit appartement, alors que les bombes éclatent un peu partout. C’est une histoire qu’on suit en duo – la dualité du père qui doit faire des choix déchirants et l’enfant qui va être bousculé. J’ai eu l’impression de voir un film : l’écriture est très cinématographique et nous plonge dans l’action. »

Niko

Niko

La Peuplade

La patience du lichen

« Noémie, c’est une amie, mais c’est surtout une grande écrivaine, une grande poète. Elle a travaillé énormément sur ce recueil-là, elle est allée sur le terrain repêcher des témoignages, des récits des gens de la Côte-Nord et elle en a fait comme une épopée, je dirais, parce que c’est très dense comme livre de poésie. On entend les voix de chaque personne qu’elle rencontre. C’est fait avec une douceur, un respect et une intégrité touchante. On sent beaucoup d’empathie et de volonté de transmettre un savoir, un vécu qui n’est pas nécessairement tout le temps raconté. C’est vraiment une écriture qui se révèle dans toute sa lenteur. J’y retourne souvent, parfois juste pour relier un ou deux poèmes. »

La patience du lichen

La patience du lichen

La Peuplade

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«Je tirais des vaches et j'élevais des cochons à la ferme familiale» -Martin Cloutier - Le Journal de Montréal

L’humoriste Martin Cloutier est fier d’être natif de Louiseville. Il me disait qu’il ne faut jamais oublier les gens qui ont forgé le chemin pour nous, qui nous ont aidés et qui nous ont aimés.

Le paternel Gérard Cloutier avait une ferme de produits laitiers et il élevait des cochons. Il a fait découvrir l’amour du travail à ses enfants et leur a appris à toujours fournir un effort supplémentaire pour réussir leurs travaux. Sa mère, Gisèle Trahan, a dû prendre sa retraite prématurément de l’enseignement puisqu’elle n’avait plus le droit d’enseigner étant donné qu’elle s’était mariée.  

Vous avez une demande Martin. 

J’aimerais commencer par utiliser le pronom « tu » lorsqu’on s’adresse la parole, car j’écoutais les voix de Jacques Doucet et Rodger Brulotte décrire les matchs de baseball à la radio quand j’étais tout jeune. Vous êtes comme des amis d’enfance pour moi. 

Vous étiez dix enfants.

Malheureusement le premier des dix enfants, Petit Pierre est décédé trois jours après sa naissance, mais il est toujours présent dans le cœur et la vie de ma mère.

Maman nous répétait constamment : « Si tu doutes, cherche ». 

Ma mère nous a toujours défiés afin qu’on puisse améliorer nos connaissances. D’ailleurs, j’ai lu toutes ses revues des éditions Sélections du Readers Digest à partir de 1948 à 1990. 

La famille avait-elle le temps de prendre des vacances ?

Absolument pas, car une ferme, c’est 365 jours pas années. 

Cependant, tu voyages avec ta mère présentement.

Chaque fois que je me déplace au volant de ma voiture pour faire un spectacle, j’utilise mon téléphone à mains libres pour lui décrire les paysages, car ma mère en ce moment a un problème avec sa vue. 

Tu as appris plusieurs métiers de la construction.

Avant ma naissance, mon père travaillait dans la construction et sur la ferme. Cela a permis aux enfants d’apprendre à faire de la soudure, conduire des tracteurs et d’autres facettes de la construction.

Le réveil, c’était à 3 h 30 chaque matin. 

Mes frères et moi faisions le train sur la ferme, c’est-à-dire traire les vaches à compter de 3 h 30. Une fois nos travaux terminés, nous prenions notre douche avant de nous rendre à l’école.  

Tu étais dans une splendide forme physique. 

Lorsque j’arrivais au camp d’entraînement de mon équipe de hockey, les Jets de Louiseville, ma force physique était supérieure à celle de mes coéquipiers.

Tu soulevais ta première voiture, une Chrysler Valiant 1988 d’occasion, pour la stationner.

S’il y avait du monde autour, je ne stationnais pas bien ma voiture. Je sortais de la voiture et je faisais mon jars alors que je soulevais le derrière de la voiture pour la déplacer au bon endroit.

Tu as soulevé une voiture pour la mettre en position perpendiculaire.

J’étais au cégep, donc pour jouer un tour à un de mes copains, j’ai soulevé sa voiture Colt pour la déplacer en position perpendiculaire entre deux voitures.

 Revenons à ta jeunesse.

À l’école, j’ai eu des professeurs, Lucille Arsenault, Jacquelin Lacoursière et Daniel Béland, qui m’ont inspiré pour devenir un humoriste. 

Tu aimais pratiquer du sport. 

À l’école, durant mon secondaire, je jouais au handball et au soccer intérieur. Malheureusement, pour le baseball, l’été je travaillais sur la ferme.

Tu as joué au baseball dans la ligue senior CRBM.

Après mes 20 ans, j’ai affronté les anciens Aigles de Trois-Rivières, les Champions canadiens junior, dont Alain Noël et Patrick Gervais qui avaient signé avec les Pirates de Pittsburgh. J’ai ensuite joué à la balle donnée dans des tournois. 

Guy Lafleur, Gilles Villeneuve et Björn Borg sont tes idoles.

Guy Lafleur et Gilles Villeneuve étaient des athlètes intenses qui soulevaient la foule par leurs prouesses. L’autre, c’est le légendaire joueur de tennis, Björn Borg, dont je n’ai jamais pratiqué le sport. 

Le décès de Guy Lafleur et celui de Gilles Villeneuve t’ont touché énormément. 

Encore aujourd’hui, je suis toujours attristé par la mort de Guy Lafleur. Gilles Villeneuve était comme notre famille, c’est-à-dire une famille pauvre qui n’a jamais lâché afin de surmonter les défis.

Tes premiers emplois d’été. 

Mon premier emploi, c’était au club de golf de Bobby Rousseau, l’ancien joueur du Canadien. Ensuite, j’ai travaillé à l’usine Saputo et chez Kruger. 

As-tu déjà eu une chambre juste pour toi ? 

J’ai toujours partagé ma chambre avec un de mes frères jusqu’à mon arrivée à Saint-Hyacinthe pour amorcer mes études au cégep. Pour la première fois, j’avais une chambre juste pour moi. 

Deux fois, tu as été refusé à l’École nationale de l’humour. 

Je crois que j’étais trop jeune à l’époque, mais cela m’a permis d’étudier plus tard avec Dominic Sillon, qui est devenu mon partenaire d’humour durant les 30 dernières années.  

Gilles Latulippe et Claude Blanchard ont exercé une grosse influence sur ta carrière. 

Claude Blanchard nous appelait ses petits-enfants. Il nous prodiguait de bons conseils, car comme nous, il a fait carrière en duo. 

Vous êtes fait enguirlander par Gilles Latulippe.

Avec beaucoup de tendresse, Gilles nous répétait continuellement que dans un duo, il y avait le clown blanc, Dominc Sillon, le personnage sérieux, intelligent et rationnel, et l’auguste, moi, le faire-valoir qui déclenche finalement le rire. Lorsqu’on ne remplissait pas notre rôle attitré, monsieur Latulippe nous le faisait savoir.  

Ton fils est au secondaire.

Zachary est au collège Esther Blondin en sport études. Il adore jouer au basketball et au soccer. Il aime la géographie, mais surtout, il aime défendre les droits des personnes.  

Ta conjointe, Nathalie Ayotte est une femme dynamique.

Elle est une femme indépendante, généreuse aimante et brillante. Sa présence m’a permis de poursuivre ma carrière, car elle m’a toujours accepté pour qui je suis.

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Saturday, June 25, 2022

Fonderie Horne: L'Abitibi pourrait s'en passer, estime Richard Desjardins - Le Journal de Montréal

Lorsqu’il parle de la Fonderie Horne, anciennement la Noranda, plein de souvenirs reviennent à la mémoire du plus célèbre enfant de l’Abitibi, l’auteur-compositeur-interprète Richard Desjardins.

• À lire aussi: Fonderie Horne: «Les gens de Rouyn-Noranda ne veulent pas qu’on ferme l’entreprise», dit Legault

• À lire aussi: Cancer à Rouyn: le Dr Arruda se défend d'avoir caché des informations

• À lire aussi: Québec veut aider Glencore à moins polluer

« Quand j’étais petit, je pensais que les nuages étaient créés par les cheminées de l’usine. J’étais pas tout seul, les parents disaient ça à leurs enfants », relate le poète lors d’une entrevue avec Le Journal.

Les paroles de la chanson Et j’ai couché dans mon char de Richard Desjardins ont été immortalisées dans un graffiti sur ce mur d’une bâtisse du quartier Notre-Dame, juste à côté de la fonderie.

Photo Olivier Bourque

Les paroles de la chanson Et j’ai couché dans mon char de Richard Desjardins ont été immortalisées dans un graffiti sur ce mur d’une bâtisse du quartier Notre-Dame, juste à côté de la fonderie.

Dans le quartier Notre-Dame où est né Desjardins en 1948, les gamins savaient bien qu’il fallait se cacher lorsque l’usine, juste à côté, crachait ses nuages toxiques vers la ville.

« Aussitôt qu’il y avait un rush de souffre, on se garrochait en dessous des galeries. On étouffait. On arrêtait la game de hockey. On rentrait chez nous. C’était une puff qui enveloppait toute la ville », se rappelle Desjardins.

Pour les citoyens vivant tout près de l’usine, le malheur était de voir « les nuages de boucane » altérer la peinture de leur voiture, une scène forte du documentaire Noranda (1984), dans lequel Desjardins assure le texte de la narration et la musique.

« Ça faisait lever la peinture des chars. Il fallait amener ça au garage. Ils refaisaient la peinture et les gars envoyaient le bill direct à la mine », raconte le chanteur.

Partisan de la fermeture

Si la situation s’est améliorée au cours des dernières décennies dans la ville et le Vieux-Noranda, les émissions toxiques sont toujours là.

Selon une étude, l’usine, propriété de la multinationale Glencore, émettrait par moments dans l’air des concentrations d’arsenic – un cancérigène reconnu – 33 fois plus élevées que la norme québécoise.

C’est pourquoi l’usine devrait être mise sur pause et même cesser complètement ses activités, et ce, pour la santé des citoyens, croit Desjardins. Une position contraire à celle de François Legault qui croit que les gens de Rouyn ne souhaitent pas une fermeture.

« Qu’ils ferment leurs portes ! Moi je suis partisan d’arrêter cette usine-là, tant qu’ils n’auront pas réglé le problème », lance-t-il.

Selon lui, la fonderie a un impact économique beaucoup moins important qu’avant et Rouyn « serait capable de s’en passer ».

Omniprésente

« La ville est devenue autre chose qu’une affaire de mines. Je comprends qu’il y a 30-40 ans, il y avait plus de 2000 hommes qui travaillaient là », lance-t-il.

« Aujourd’hui, c’est pas cela. La ville est beaucoup plus administrative, c’est la capitale régionale des services sociaux, Hydro-Québec est installée, les PME sont beaucoup plus développées », énumère Desjardins.

« Il reste maintenant 400-500 jobs, donc c’est envisageable... En plus, ils n’ont jamais payé les dommages qu’ils ont faits... Tu vas à Rouyn-Noranda, c’est pas drôle, ça fait longtemps que ça dure », se désole-t-il.

Il croit d’ailleurs que l’industrie minière est omniprésente et prend trop de place en Abitibi, ce qui limite le potentiel de développer d’autres secteurs de l’économie.

« Rouyn voudrait étaler la ville à cause de la crise du logement, ils ne peuvent pas développer plus loin, car c’est tout claimer [droits miniers]. Ils n’iront pas mettre des infrastructures municipales à un endroit où ils vont se faire jeter dehors parce qu’il y aura quelqu’un qui aura pensé trouver une mine », explique-t-il.  

Loin d’être étonné des dernières révélations   

Richard Desjardins est loin d’être surpris par les manchettes entourant la Fonderie Horne, anciennement la Noranda. « Ç’a pas changé, c’est la continuation de la même histoire que je connais depuis que je suis tout petit. Rien ne m’étonne là-dedans », lance-t-il. 

L’usine est revenue à l’avant-plan après les révélations de Radio-Canada selon lesquelles la publication de données sur le cancer à Rouyn-Noranda avait été repoussée de plus de deux ans à la demande du Dr Horacio Arruda, l’ex-directeur national de la santé publique. 

Cette semaine, ce dernier s’est défendu et soutient qu’il a retiré une annexe afin de réaliser des études « plus robustes » sur le cancer du poumon. 

Mais Richard Desjardins croit que les pouvoirs publics ont assez tergiversé et que la situation est connue depuis très longtemps. 

« Arruda a reporté des études... Il y a une étude qui a été reportée depuis 40 ans, on l’a démontré dans le film Noranda, que la présence d’arsenic dans le corps augmente à mesure que tu vas vers l’usine. Il y a une tolérance zéro pour le corps humain face à l’arsenic. Ç’a pas changé, ça », dit-il, avec émotion, lors d’une entrevue avec Le Journal

Données alarmantes

Le film Noranda paru en 1984, travail des réalisateurs Daniel Corvec et Robert Monderie, et narré par Michel Garneau et écrit par Desjardins lui-même, porte un regard sur les conséquences de la pollution industrielle produite par l’usine, propriété de la famille Bronfman et la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ) à l’époque. 

Selon une étude relayée dans le film, les morts par maladies respiratoires à Rouyn étaient deux fois plus importantes chez les hommes et trois fois plus chez les femmes par rapport à la population québécoise. 

« On avait aussi suivi une étude du Mont Sinaï de New York sur la présence de métaux lourds. À l’intérieur de l’usine, le taux d’arsenic montait à mesure que tu t’approchais du réacteur. Ils avaient aussi examiné 500 travailleurs et ils avaient trouvé cinq cancers du poumon », rappelle Desjardins. 

Les données de mai démontrent que l’espérance de vie dans la région est plus basse à Rouyn-Noranda qu’ailleurs au Québec. Les bébés y naissent aussi plus petits que dans le reste du territoire québécois.

Plus de 20 ans après l’Erreur boréale   

Le chanteur Richard Desjardins prend rarement la parole, mais ses interventions sont toujours remarquées. Son documentaire L’Erreur boréale qui dénonçait le régime forestier au Québec avait créé une onde de choc. Cette fois-ci, l’enfant de Rouyn-Noranda dénonce la pollution créée par la fonderie Horne. Il a accordé une entrevue au Journal. 

En activité depuis 1927, la Fonderie Horne est située à Rouyn-Noranda, au Québec.

Photo Olivier Bourque

En activité depuis 1927, la Fonderie Horne est située à Rouyn-Noranda, au Québec.

UNE AIDE À GLENCORE POUR MOINS POLLUER ?

Lorsqu’on rappelle à Richard Desjardins que le gouvernement caquiste veut aider l’entreprise Glencore, propriétaire de la Fonderie Horne, à moins polluer, le chanteur n’en revient tout simplement pas.

« Incroyable ! C’est incroyable, dit-il, en riant de dépit. J’ai essayé de calculer les profits de la compagnie Noranda depuis 1927, je n’y arrive pas... On parle de milliards de milliards... Et qu’est-ce qu’on a eu ici ? », se demande-t-il.

À la fermeture des marchés jeudi, l’entreprise valait plus de 58 milliards $, plus que la capitalisation boursière de Couche-Tard.

Malgré tout, le ministre de l’Économie, Pierre Fitzgibbon, a ouvert la porte à une aide publique afin d’aider la Fonderie Horne à réduire ses émissions d’arsenic.

« J’ai eu des discussions très préliminaires avec l’entreprise pour voir ce qu’ils sont prêts à faire et en fonction de la somme d’argent qui est requise », a souligné le ministre au Journal cette semaine.

L’auteur-compositeur-interprète s’interroge aussi sur les effets durables de la présence d’une grosse fonderie à Rouyn.

« On n’a pas été aussi diversifiés que Sudbury (une autre ville minière) qui a maintenant 150 000 habitants. Ça fait longtemps qu’on devrait avoir atteint 150 000 habitants... Si on avait eu un peu de transformation », regrette-t-il. 

LÉVESQUE COMPRENAIT LES TRAVAILLEURS

René Lévesque

Photo d'archives

René Lévesque

Au fil de l’entrevue, Richard Desjardins évoque ses souvenirs d’un politicien fort populaire, venu à Rouyn-Noranda, pour rencontrer les travailleurs de l’usine. « Avec mon père, on était allé à un meeting de René Lévesque », relate-t-il.

« Je me rappelle une chose. René Lévesque avait dit : cette compagnie-là, cette gang-là, il les pointait du doigt, la Noranda, on l’appelait la Noranda à l’époque, eux autres, on va les civi-liser », relate Desjardins.

Il affirme qu’à ce moment, les travailleurs de l’usine avaient ressenti une grande émotion face au discours de Lévesque.

« Je me souviens très bien dans l’assistance qui était là, c’était dans le basement de l’Église Saint-Joseph, je regardais les hommes alentour de moi, ils avaient tous les yeux mouillés », dit-il.

« C’était la première fois qu’ils se faisaient parler de même, qu’ils entendaient une chose pareille, ce qu’ils avaient jusqu’au plus profond de leur cœur. Ce qu’ils ressentaient plus ou moins consciemment ». 

QUI EST GLENCORE ?

Glencore est une multinationale anglo-suisse présente notamment dans l’extraction des matières premières. Au Québec, l’entreprise possède la Fonderie Horne, l’unique fonderie de cuivre au Canada fondée en 1927, la mine Raglan au Nunavik et l’affinerie de cuivre CCR à Montréal-Est. L’entreprise vient tout juste de plaider coupable à des accusations de corruption portées contre elle en Afrique.

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Thursday, June 23, 2022

«Elvis»: bête de foire, bête de scène, bête de somme | JDM - Le Journal de Montréal

Le réalisateur Baz Luhrmann offre sa vision d’Elvis Presley, portée par un Austin Butler éblouissant. 

«Elvis» n’est en aucun cas un film biographique comme un autre, Baz Luhrmann y insufflant toute la flamboyance, la grâce, la démesure et l’hyperbole qui font l’originalité de «Moulin Rouge!», de «Gatsby» et maintenant de cet «Elvis». Car seul l’Australien est capable de diviser l’écran en deux, puis en trois, puis en huit, d’intercaler des séquences de bandes dessinées, des surtitres et même une carte postale sans que cela brise le rythme de ce long métrage fluide de 159 minutes.

Le film possède deux voix. Celle, parfois hors champ du colonel Tom Parker (Tom Hanks, parfait de cynisme) et celle d’Elvis Presley (Austin Butler, hallucinant de vérité qui mérite une nomination aux Oscars), les deux hommes nous racontant, à tour de rôle, l’histoire du King.

Elvis est le King, le roi, d’abord l’enfant qui découvre le pouvoir de la musique en observant les noirs danser dans les bouges de sa ville natale et chanter à l’église. Pour Elvis, la musique est extase sexuelle et spirituelle puisqu’elle est, comme le lui répète sa mère (Helen Thomson) à l’envi, un don de Dieu. Puis Elvis est le King, le roi, le jeune homme qui fait «de la musique de noirs» et se déhanche sur scène, alors affublé des pires épithètes par les médias – «sauvage», «pervers», «Elvis le pelvis» -, car dangereux pour l’«establishment» d’après-guerre. Elvis choque, détonne, provoque l’hystérie des admirateurs, libère.

Et enfin Elvis le King devient le roi de Las Vegas, usé, bouffi, alcoolique, accro aux pilules que quitte Priscilla (Olivia DeJonge), épuisée d’une telle vie. Car Parker, ancien élève de Barnum fait sienne la formule du «greatest show on earth» («Le plus grand spectacle du monde») afin de pousser son poulain toujours plus loin, en faisant tout d’abord une bête de foire, puis une bête de scène, mais toujours une bête de somme qu’il manipule afin d’encaisser 50 % des ses recettes.

De plus, Baz Luhrmann place constamment Presley dans son contexte historique, la ségrégation, l’assassinat de Martin Luther King puis de Robert Kennedy, les débuts du mouvement hippie, les contestations sociales... Elvis le rebelle, dépassé par son destin, sans cesse en quête de l’amour du public, un amour formidable qui le nourrit autant qu’il le tue. Épopée musicale débridée, «Elvis» colle le destin de la vedette sur celui de l’Amérique, Luhrmann nous renvoyant à nos démons, à Michael Jackson, Britney Spears, et tous les sacrifiés sur l’autel de la gloire, de l’argent et du profit.

Austin Butler est habité – possédé? – par ce rôle dans lequel il verse toute son âme. Et lorsque Elvis / Austin chante pour la dernière fois à Las Vegas, le visage bouffi et strié de sueur, on a la gorge serrée de cette émotion si particulière des dernières fois. Pas de doute, seul Baz Luhrmann était capable d’un hommage aussi vibrant à celui qui demeurera toujours le King.

  • Note: 4 sur 5

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Mathieu Baron quitte Ladies Night, et voici qui le remplacera - 7 Jours

Pour célébrer le 20e anniversaire de la création de Ladies Night, la production a décidé d’offrir une cure de jouvence à la pièce et à sa distribution, avec notamment le remplacement de Guillaume Lemay-Thivierge par Mathieu Baron dans le rôle principal.

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Toutefois, «la préparation et le travail de la scène s’avéraient trop exigeants pour Mathieu, qui a préféré se retirer dès maintenant. C’est avec beaucoup de regret qu’il a dû prendre cette décision difficile pour protéger sa santé mentale et physique», a indiqué la production dans un communiqué. Sans aucune expérience théâtrale, Mathieu Baron semble ne pas avoir mesuré l’implication et la charge de travail nécessaires pour porter cette comédie qui roule à un train d’enfer. Le comédien Joey Scarpellino a donc été appelé en renfort pour le remplacer. 

MARTIN ALARIE / JOURNAL DE MONTREAL


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Après un long séjour aux États-Unis, celui-ci revient en force et sera sans nul doute une belle valeur ajoutée au groupe, qui comprend également Rémi-Pierre Paquin, Sébastien Leblanc, Patrick Emmanuel Abellard, Guillaume Rodrigue et Julie Ringuette. 

Denis Bouchard, qui signe la mise en scène, en a profité pour réviser et resserrer le texte de la pièce, qui sera présentée sans entracte. Jean-Marc Généreux a également conçu de nouvelles chorégraphies qui donneront une autre dimension au spectacle. Joey Scarpellino s’est déjà mis au travail, et toute l’équipe est déjà satisfaite de son professionnalisme et de son talent. 

À sa création, en 2002, la distribution était composée de Serge Postigo, Didier Lucien, Michel Charette, François Chénier, Marcel Leboeuf et Sylvie Boucher. Plus de 800 représentations plus tard, le succès ne se dément pas, et les gens rient encore et toujours des facéties de cette bande d’amis chômeurs qui veulent sauver leur honneur en montant un spectacle de striptease à l’image des Chippendales. 

La tournée Ladies Night, pour vous mesdames! reprendra dès le 4 août à LaSalle et se poursuivra tout l’automne à travers la province.

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Lisez toute l'actualité sur vos vedettes favorites dans la plus récente édition du magazine Échos Vedettes actuellement en kiosque, ou en ligne sur jemagazine.ca

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Fête nationale | Quoi voir, quoi faire | La Presse - La Presse

Quoi voir, quoi faire cette semaine ? Voici les suggestions culturelles de nos journalistes.

Publié à 7h00
Stéphanie Morin
Stéphanie Morin La Presse
Véronique Larocque
Véronique Larocque La Presse
Iris Gagnon-Paradis
Iris Gagnon-Paradis La Presse

Montréal renaît avec Patrice Michaud, Alicia Moffet, Roxane Bruneau

À Montréal, le Grand spectacle de la fête nationale se déroulera le 23 juin à la place des Festivals. Intitulé J’aime ma langue et animé par Pierre-Yves Lord, il réunira 30 chanteurs, musiciens et danseurs, dont Patrice Michaud, Alicia Moffet, Jay Scott, Sarahmée, Les Louanges, FouKi, Ariane Roy, Kathia Rock, Roxane Bruneau et Michel Pagliaro. Le spectacle sera télédiffusé le lendemain sur les ondes d’ICI Radio-Canada Télé et TVA.

FouKi, Hubert Lenoir, Klô Pelgag et cie à Laval

PHOTO SARAH MONGEAU-BIRKETT, ARCHIVES LA PRESSE

Klô Pelgag, ici croquée lors de son passage au MTelus, sera des festivités à Laval.

Laval fête la « Saint-Jean » en grand cette année en réunissant sur la scène du Centre de la nature plusieurs noms importants de la musique. FouKi, Hubert Lenoir, Klô Pelgag, High Klassified, Les Louanges, Lisa LeBlanc, Patrice Michaud, Isabelle Boulay, Samian et Sarahmée interpréteront des classiques de la chanson québécoise, mais aussi des découvertes musicales. Le texte patriotique qui lancera cette soirée du 24 juin a été coécrit par Michel Marc Bouchard et Caroline Dawson. Un service de navette gratuit vers les stations de métro Montmorency et Cartier sera offert en fin de soirée. Ouverture du site à 17 h 30, début du spectacle à 20 h 30.

Salebarbes mènera le bal sur les plaines d’Abraham

PHOTO ERICK LABBÉ, LE SOLEIL

Le groupe Salebarbes sera au centre du spectacle présenté sur les plaines d’Abraham.

Le groupe Salebarbes sera l’hôte du spectacle musical principal présenté le 23 juin à 21 h sur les plaines d’Abraham, à Québec. Le groupe sera entouré de plusieurs invités, dont Richard Séguin, Marjo, Mélissa Bédard, Jérôme 50, Florent Vollant et Lou-Adriane Cassidy. Les artistes Pépé et sa guitare et Marco Calliari se chargeront de la première partie, dès 18 h 30. Le discours patriotique sera lu par Marc Labrèche. Le spectacle sera retransmis sur les ondes de Télé-Québec à partir de 21 h 30.

Ariane Moffatt et Louis-Jean Cormier à Gatineau

PHOTO MARTIN CHAMBERLAND, ARCHIVES LA PRESSE

Ariane Moffatt (ci-contre) et Louis-Jean Cormier seront dans le quartier du Vieux-Hull le 23 juin.

Le secteur de la rue Laval, dans le quartier du Vieux-Hull, accueillera les festivités de la fête nationale, le 23 juin. Pour l’occasion, Ariane Moffatt et Louis-Jean Cormier partageront la scène. Le spectacle est gratuit. Toujours à Gatineau, mais dans le parc des Cèdres, deux spectacles sont prévus dans le cadre du festival l’Outaouais en fête avec, dans un cas, Tire le coyote et Hubert Lenoir (le 23 juin) et, dans l’autre, Cœur de pirate et Émile Bilodeau (le 24 juin). L’achat de billets est nécessaire pour ces deux derniers spectacles.

Les Cowboys fringants à Repentigny

PHOTO SARAH MONGEAU-BIRKETT, ARCHIVES LA PRESSE

Les Cowboys fringants seront au parc de l’Île-Lebel de Repentigny le 24 juin.

Le 24 juin, les Cowboys fringants retournent dans leur coin de pays pour célébrer la fête nationale sur la scène du parc de l’Île-Lebel, à Repentigny, pour présenter les chansons de leur 10e album, Antipode. C’est DJ Abeille qui ouvrira le bal à 17 h, suivie par l’auteur-compositeur-interprète Steve Provost. Les Cowboys sont attendus à partir de 20 h 30. Leur prestation sera suivie d’un spectacle pyromusical.

Les Trois Accords à Varennes

PHOTO SARAH MONGEAU-BIRKETT, ARCHIVES LA PRESSE

Les Trois Accords, ici lors de leur spectacle au MTelus, seront à Varennes.

« Beaucoup de plaisir ! » Voici ce qu’on peut prédire aux spectateurs qui se rendront à Varennes, le 23 juin, pour entendre Les Trois Accords, et ce, qu’ils jouent ou non la pièce-titre de leur plus récent album studio. Un concert de chansons ensoleillées donné dans un joli parc longeant le fleuve Saint-Laurent puis suivi de feux d’artifice, c’est parfait pour commencer l’été du bon pied. Des camions de cuisine de rue seront sur place. Amateurs de houblon, profitez de l’occasion pour goûter à l’une des trois bières brassées spécialement pour le 350e anniversaire de cette ville montérégienne. À noter que le groupe sera à Saint-Constant le lendemain. Dès 19 h, au parc de la Commune, à Varennes. Le spectacle commence à 20 h 30.

Qualité Motel et Fanny Bloom à Saint-Constant

PHOTO ULYSSE LEMERISE, ARCHIVES LA PRESSE

Fanny Bloom sera de la fête à Saint-Constant.

En Montérégie, la Base de plein air de Saint-Constant accueillera le 24 juin le spectacle de la fête nationale. Sur scène : le chansonnier Alexis Arbour, suivi à 19 h 30 du groupe Qualité Motel et de leurs invités spéciaux, dont Fanny Bloom. Les Trois Accords sont ensuite attendus dès 20 h 45 pour un spectacle d’une heure et demie. La soirée se terminera avec un feu d’artifice. Un service de navette en autobus scolaire sera offert toute la soirée.

SudBest au canal de Lachine

PHOTO JONATHAN DUVAL, FOURNIE PAR SUDBEST

L’évènement SudBest

Direction le sud-ouest de la ville pour la deuxième édition de l’évènement SudBest, qui propose une programmation toute spéciale en ce week-end de la Saint-Jean. Une dizaine de commerçants du quartier et autant de restaurants seront sur place pour faire découvrir leurs produits, rassasier les estomacs vides et désaltérer les gosiers assoiffés. Une belle programmation musicale et artistique sera aussi à l’honneur, dont trois vétérans de la scène alternative québécoise le soir de la fête nationale : Lost Heroes, Lexis et Poirier. L’entrée sur le site est gratuite et les animaux de compagnie, acceptés. Les 24, 25 et 26 juin au 40, rue des Seigneurs.

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Québec changera ses lois pour rehausser le contenu québécois sur les plateformes en ligne - Le Devoir

Le ministre de la Culture, Mathieu Lacombe, veut voir et entendre davantage de contenu d’ici sur les plateformes en ligne à la Netflix et ...