Alors que la longue fin de semaine de la fête du Travail s’installe tranquillement, le parc de la Baie lui fourmille pour effectuer les derniers préparatifs avant d’ouvrir les portes aux festivaliers.
Pour cette soirée d’ouverture, le FMG baignera dans le new country avec Matt Lang et Brittany Kennell sur la scène Loto-Québec.
Celle qui a porté le chapeau de porte-parole de la deuxième édition du festival Lasso à Montréal cet été réchauffera la foule, jeudi soir dès 19h15. Brittany Kennell a passé une dizaine d’années à Nashville avant de revenir au Québec. Récemment, l’autrice-compositrice-interprète originaire de Beaconsfield a dévoilé Wait On You, le troisième extrait de son deuxième album Pink Collar, attendu pour février 2024.
Matt Lang – qui a lui aussi été porte-parole du nouveau festival de musique country à Montréal à sa première année – suivra à 20h30. L’artiste originaire de Maniwaki a lancé en juin Moonlight Sessions, un album de reprises de huit classiques de la musique country américaine qu’il a remaniés à sa façon. Au même moment, Matt Lang recevait un billet d’argent pour sa tournée More qui a vendu plus de 25 000 billets et un simple d’or pour sa chanson Getcha.
Mais tout juste avant ces deux artistes country, Jeanick Fournier, la gagnante de Canada’s Got Talent, se permettra de lancer le FMG sur la scène Hydro-Québec à 17h30. La chanteuse originaire de Dolbeau-Mistassini a sorti deux albums depuis sa grande victoire. Elle a d’ailleurs choisi Gatineau pour débuter sa nouvelle tournée intitulée Vivante, le 6 septembre à la salle Odyssée.
Le site du FMG ouvre à 17h, jeudi. Les festivités se poursuivent jusqu’au lundi 4 septembre avec des artistes comme Richard Séguin, Banx & Ranx, Claude Dubois, Ludovick Bourgeois, Roxane Bruneau, Clay and Friends, Rêve, Luce Dufault, K-Maro et Ne-Yo. Les artistes de la relève originaire de la région Yazid, Emmanuelle Querry, Phil G. Smith et Justin Legacy font également partie de cette programmation bien garnie.
Les comptes-rendus et critiques des spectacles préparés par l’équipe des arts du Droit pourront être lus en fin de soirée.
Transport en commun
En fin d’avant-midi, jeudi, la Société de transport de l’Outaouais (STO) annonçait le prolongement de son programme Libre Accès Jeunesse, qui devait se terminer ce jeudi.
Afin que les jeunes puissent profiter du long week-end de la fête du Travail et du Festival de montgolfières de Gatineau (FMG), le libre-accès jeunesse est ainsi prolongé de quatre jours, a annoncé le transporteur par voie de communiqué de presse.
Les élèves de niveau secondaire, détenteurs d’une carte Multi aux couleurs du libre-accès, peuvent donc continuer de voyager gratuitement et de façon illimitée sur le réseau de transport en commun jusqu’à ce lundi 4 septembre. Ils n’ont qu’à montrer leur carte au chauffeur pour monter à bord.
Le Droit avait publié un article au début de la semaine dans lequel la directrice générale du FMG déplorait la fin du programme Libre Accès jeunesse juste avant le début du festival. La décision de la STO vient ainsi combler un besoin d’accessibilité au transport en commun.
Poussant sa passion pour les voyages vers de nouveaux horizons, la comédienne qui a inévitablement tous les talents, Magalie Lépine-Blondeau, assume le rôle de porte-parole pour la 16e édition de l'expositionWorld Press Photo, et vous invite à découvrir son propre univers photographique inspiré par ses nombreux voyages autour du globe.
En effet, ses clichés personnels seront bel et bien exposés au Marché Bonsecours à Montréal, et ce, dès maintenant, jusqu’au 15 octobre prochain.
Par l’entremise de son compte Instagram, celle qui aurait retrouvé l’amour avec ce journaliste a rédigé un magnifique texte afin de présenter ce beau projet :
«Je ne suis ni journaliste ni photographe. Mais j’aime depuis toujours l’œil attentif et sensible qui s’attarde à voir, à comprendre, à capter; la beauté, l’éphémère, l’Autre. Mon métier me fait en partie exister par et dans cet œil, et lorsqu’il m’arrive de photographier les gens qui croisent mon chemin, j’essaie de poser sur eux le regard tendre et respectueux que j’aimerais qu’on ait à mon égard. Je vois dans chacun de ces portraits une confiance accordée, un échange au-delà des mots.
Avec le privilège que s’offre le.la voyageur.se, vient celui de voir le monde se déployer, mais aussi changer, se dérober, sous ses yeux. C’est un privilège dont certains paient durement le prix. L’impact du tourisme sur les écosystèmes, tant naturels que culturels, peut avoir des effets aussi positifs que terribles. Et si je dois à mes voyages et mes rencontres une ouverture et une meilleure compréhension du monde et de moi-même, je suis consciente de la responsabilité qui pèse sur celui ou celle qui, en s’abreuvant à la beauté inestimable de cette planète, peut simultanément participer à son effritement.
Et si la photo confère à ces instants parfois furtifs ou même volés, quelque chose d’éternel, ce dont ils témoignent n’en est pas plus à l’abri de s’estomper, voire même de s’éteindre.
Je vous partage donc humblement, avec une émotion non contenue, ce dont j’ai eu la chance inouïe d’être témoin. Des bribes de ma vie, de mes vies, de vies, ailleurs.»
Découvrez ci-dessous quelques-unes des images complètement saisissantes immortalisées par la star de Sans rendez-vous, dont l’ultime saison sera prochainement déposée sur l'extra d'ICI Tou.tv :
«Ma relation s’est terminée il n’y a pas très longtemps. J’ai été environ huit mois avec une charmante femme, que je n’ai pas présentée publiquement parce que je voulais attendre que ça fasse un an avant de le faire, mais ça s’est terminé avant. Je vous dirais que c’est un des plus beaux huit mois amoureux que j’ai eus de toute ma vie. C’était merveilleux parce que je pouvais être moi-même sans que ça la dérange; c’est assez rare. Ç’a vraiment été fantastique. C’était super le fun.»
On comprend qu'il n'y a pas d'animosité entre les deux ex-amoureux. On leur souhaite de la douceur et de nouvelles rencontres pour l'automne à venir!
La tournée Eras de Taylor Swift sera finalement présentée au Québec. Mais au cinéma. La captation du spectacle de l’artiste américaine sortira en salle le 13 octobre.
D’une durée de 2 heures 45 minutes, Taylor Swift | The Eras Tour sera projeté dans des salles du réseau Cineplex, qui compte des succursales à Montréal, Laval, Brossard, Saint-Bruno, Saint-Jean-sur-Richelieu, Sherbrooke, Victoriaville et Vaudreuil-Dorion.
Présentement en vente, les billets sont offerts au prix de 19,89 $ en admission générale.
La nouvelle a été annoncée jeudi matin par l’entremise d’un communiqué. Le long métrage sera aussi présenté dans « des milliers de salles » aux États-Unis, ainsi qu’au Mexique.
Le film est réalisé par Sam Wrench, un habitué des productions du genre (Billie Eilish Live at the O2, Lizzo : Live in Concert, Brandi Carlile : In the Canyon Haze Live).
Taylor Swift n’a prévu donner aucun concert à Montréal durant cette tournée mondiale. Des arrêts sont toutefois prévus au Rogers Centre de Toronto, ses seuls au Canada, en novembre 2024.
Taylor Swift a lancé The Eras Tour en mars dernier, à Glendale, en Arizona. Cette tournée pourrait récolter des recettes de 1,9 milliard CAN, d’après les estimations de Pollstar.
Sur place, on a pu découvrir l'adorable baby bump de la belle animatrice et chanteuse, qui attend son troisième enfant.
Enceinte de 20 semaines, l'animatrice de ROUGE FM se prépare tout doucement à connaître à nouveau les joies de maternité, en janvier prochain, elle qui est déjà maman de deux garçons.
Elle était superbe dans une robe orangée ponctuée d'un long veston blanc!
Il vaut mieux parfois, surtout lorsque Mercure rétrograde, de faire silence, bref, d’attendre le bon moment pour confier ce qui se passe en-dedans.
Travail et argent
Vous serez en mesure d’entrevoir le moyen de vous tailler une belle place au soleil. Une chance de destinée vous ouvrira une porte inattendue. D’heureux imprévus serviront donc votre carrière professionnelle, d’affaires ou artistique.
Le réalisateur québécois Denis Villeneuve aura atteint le tout dernier tour à l’« affrontement des meilleurs réalisateurs », un vote public organisé par Rotten Tomatoes, mais il a fini bon deuxième, derrière le britanno-américain Christopher Nolan.
Rotten Tomatoes est un site web américain d’agrégation de critiques pour le cinéma et la télévision lancé en 1998. Pour célébrer son 25e anniversaire, le site a organisé ce concours, sélectionnant 64 réalisateurs « remarquables » qui ont fait leur début au cinéma au cours des 25 dernières années.
Cinq tours ont été organisés. Chaque fois, le public devait choisir son préféré au sein d’une paire de réalisateurs.
Avec ses films Prisoners, Arrival, Blade Runner 2049 et Dune, Denis Villeneuve a été successivement préféré à Lynne Ramsay (Ratcatcher, Morvern Callar, We Need to Talk about Kevin, You Were Never Really Here), Pete Docter (Monsters, Inc., Up., Inside Out, Soul), Alejandro González Iñárritu (21 Grams, Babel, Birdman, The Revenant), Bong Joon-ho (Memories of Murder, The Host, Mother, Parasite) et Damien Chazelle (Whiplash, La La Land, First Man, Babylon).
Au dernier tour, il ne restait que Denis Villeneuve et Chistopher Nolan (Memento, The Dark Knight, Inception, Interstellar, Dunkirk, Oppenheimer), mais c’est ce dernier qui l’a emporté, récoltant 56 % des votes. Près de 30 000 votes ont été comptabilisés pour ce tour final.
« À vrai dire, nous pensons que personne ne se serait plaint si l’un ou l’autre des deux finalistes avait remporté la couronne », écrit l’équipe de Rotten Tomatoes.
Une actrice populaire se joindra à la distribution de STAT cet automne!
Caroline Néron sera dans les nouveaux épisodes de la série au cours des prochaines semaines. La comédienne jouera un rôle qui risque de faire énormément jaser.
Selon Hugo Dumas de La Presse, la vedette campera «un personnage dérangeant qui rendra misérables plusieurs employés du centre hospitalier».
Parmi les grandes annonces faites ce mardi lors du lancement de la programmation de TVA, on a appris l'identité de trois vedettes qui prendront part à la deuxième saison deSortez-moi d'ici!.
Cet hiver, Jean-Philippe Dion et Alexandre Barrette seront de retour dans notre petit écran à la barre de l'émission qui en a fait voir de toutes les couleurs aux campeurs de la première saison.
Question de faire patienter les téléspectateurs encore un moment, voilà qu'on apprend ce mardi l'identité de trois vedettes québécoises qui ont décidé de sauter tête première dans cette aventure.
Voici les premières vedettes annoncées pour la 2e saison de Sortez-moi d'ici!:
La productrice d'Occupation Double est arrivée en Andalousie dans les derniers jours, accompagnée de sa fille. Depuis, les deux complices partagent avec nous sur les réseaux sociaux les plus beaux moments de leur voyage.
La mère et la fille ont entre autres profité d'une belle soirée à explorer la ville dans de sublimes looks bohèmes coordonnés.
Je n’avais pas vu mon amie Marie-Eve depuis la naissance du petit Louis, il y aura bientôt trois mois. Quel bonheur de répondre à l’invitation de7 Jourset d’en profiter pour rencontrer la nouvelle maman avec ses trois enfants! En entrant dans la maison de Marie-Eve, ça respire le bonheur, et tout est beaucoup plus calme que je me l’étais imaginé! Rencontre avec la plus belle et la plus heureuse des mamans.
Marie-Eve, comment se passe ta nouvelle vie avecle petit Louis?
Je dirais que c’est un heureux chaos. Je refuse de dire que je suis débordée. Quand ça me vient à l’esprit, je me répète aussitôt que j’ai la chance d’avoir trois merveilleux enfants. Je pense toujours à ceux qui en désirent toute leur vie et qui, pour différentes raisons, ne pourront pas en avoir. C’est la vie que Jean-François et moi voulions, et nous dansons avec tout ce qu’implique la vie de famille. On s’enfarge parfois dans nos pas, mais c’est une danse euphorisante. Je suis tellement reconnaissante d’avoir le partenaire que j’ai pour vivre ces étapes-là! Je peux me fâcher avec J-F au lieu de le faire avec mes enfants, et il comprend tout ça!
Jean-François a-t-il un bon tempérament en général?
Oui! Quand je suis dépassée par une situation, il m’écoute, puis je m’excuse, il m’embrasse et c’est réglé! C’est l’avantage d’avoir 20 ans de vie commune. Souvent, à l’heure du bain, Jean-François et moi on se regarde alors qu’on en a plein les bras, et dans le regard de l’autre, on voit qu’on est malgré tout heureux d’en avoir plein les bras! On sait pertinemment qu’un jour tout ça va nous manquer.
Je me rappelle très bien que Junior et moi avions ce même regard lorsque nous sommes rentrés à la maison avec les jumelles...
J-F et moi, on se dit constamment: «Tout finit par passer.» On se le répète dans les moments plus difficiles, mais aussi dans les moments de bonheur. On se dit qu’il faut vraiment en profiter, car ce sentiment de joie unique ne sera pas tout le temps présent. Un jour, Léa voudra être avec ses amis, Laurence aura sa vie elle aussi, et je vais courir après mes enfants pour avoir des nouvelles, comme ma mère le fait avec moi présentement! (rires)
Est-ce que tu t’adaptes bien à ta nouvelle réalité avec trois enfants?
Je trouve encore très particulier que chacun de mes enfants ait sa propre personnalité. Je dois choisir mes mots en fonction du caractère de mes enfants. Léa et Laurence sont complètement à l’opposé l’une de l’autre. J’ai hâte de voir comment sera Louis.
Justement, comment sont les filles avec leur nouveau petit frère?
Léa s’est donné le rôle d’être sa deuxième mère. Je dois lui répéter sans cesse qu’elle n’est pas son parent.
Mais te connaissant un peu, tu devais aussi être comme ça avec ton frère, non?
Tout à fait! J’avais 22 ans, et mon jeune frère vivait à Montréal. Lorsqu’on se laissait après un souper et qu’il prenait le métro, je lui disais: «Texte-moi quand tu seras arrivé chez toi!»
Sens-tu déjà un lien se tisser entre Léa et Louis?
La fratrie, c’est tellement fort! Si Louis se met à pleurer pendant que je prépare un biberon, par exemple, Léa s’en va instinctivement s’occuper de son frère, et il arrête tout de suite de pleurer. Je sens qu’il y a déjà une connexion entre ces deux-là.
Et pour Laurence, comment ça se passe?
Comme elle a deux ans et demi, Louis est plus perçu comme un étranger à travers ses yeux d’enfant. Et c’est tout à fait normal. Elle est en train de l’apprivoiser, et je la laisse y aller à son rythme.
Un nouveau-né, c’est une adaptation pour toute la famille, en fait!
C’est vrai. Pour moi, ce qui est le plus difficile, c’est d’arrêter de dire «les filles», puisque je dois maintenant les appeler «les enfants»! Et dire «mon fils», c’est tout nouveau pour moi, mais ça me remplit de joie. Non pas parce que c’est un garçon, mais parce que je me trouve chanceuse.
Est-ce que le fait d’avoir un garçon te rend nostalgique par rapport à ton frère?
C’est sûr! D’autant plus qu’on l’a appelé Louis pour faire un clin d’œil à mon frère, qui s’appelait Louis-Philippe. Mais Jean-François et moi, on ne veut pas que Louis porte l’histoire de mon frère. Il est très clair pour nous que son histoire commence à l’instant où il est né. Je ne cherche pas à voir mon frère dans ses yeux ni à combler quoi que ce soit. Son prénom n’est qu’un clin d’œil.
Autrement, comment se passe le retour au travail?
Je suis de retour à la radio à la barre des émissions Rythme au travail et Les filles du lunch. Même si c’est assez tôt après mon accouchement, je suis de ces mamans qui n’ont pas besoin d’un long congé. J’avais hâte de retourner au travail, de retrouver cette vie active. En fait, je me sens une meilleure maman quand je suis en mode création. J’ai fait la même chose pour mes deux autres enfants. Cela dit, je mesure la chance que j’ai de pouvoir faire du télétravail.
Outre la radio, tu commences bientôt un autre gros projet, non?
Oui, je réalise un rêve: je vais rénover une maison!
Le tout fera l’objet d’une docusérie à Canal Vie. Donne-moi plus de détails sur ce projet coup de cœur...
C’est un fantasme que j’ai depuis toujours, même si je n’y connais rien! (rires)
Et qu’est-ce qui t’a décidée à passer à l’action?
J’ai eu envie d’arrêter d’écouter mes peurs et de suivre mon cœur. Je m’étais dit que la prochaine fois que je verrais une maison pour laquelle j’aurais un véritable béguin, j’en ferais l’acquisition et je ferais tout pour répondre à la flamme qui m’habite depuis si longtemps en la rénovant moi-même. Je ne veux pas m’en vouloir un jour de ne jamais être allée au bout de cette passion.
Et comment est arrivée cette maison dans ta vie?
Un matin où j’allais reconduire Léa chez une copine, en chemin, j’ai aperçu une pancarte sur le terrain d’une demeure qui m’avait toujours fait de l’œil. J’ai appelé la propriétaire et j’ai rapidement visité la maison.
Qu’est-ce qui t’a plu?
En entrant, j’ai vu l’escalier et je me suis tout de suite imaginée à l’intérieur de cette maison durant le réveillon de Noël, avec ma petite famille. J’ai même vu les enfants assis dans les marches! À partir de ce moment-là, c’était fait! J’ai aimé l’énergie de cette maison et j’ai vu aussi tout le potentiel de rénovation qu’il y avait. On est rendus un an plus tard et on va commencer les travaux très bientôt.
Es-tu toujours aussi fébrile?
Je dois t’avouer que c’est quand même un saut dans le vide. Premièrement, j’ai mis toutes mes économies dans ce projet. Ensuite, je dois convaincre ma famille d’y emménager...
Photo : Marï Photographe / TVA
Crois-tu que tu devras travailler fort pour les inspirer?
Jean-François a de la difficulté avec le changement. Moi, je ne suis pas nostalgique comme lui. Quand une étape est terminée, je passe à la suivante. Chez mon chum, ça se passe plus graduellement.
Quel est le but premier de ce projet?
Je veux apprendre à rénover une maison. Et je suis fière aussi parce que mon père va m’aider là-dedans. Il veut être présent à chaque étape, et ça me rassure. Cela dit, je veux malgré tout être la leader de ce projet. J’ai eu l’idée de la docusérie avec mon agent, on a rencontré la maison de production, et j’ai trouvé mon designer et mon entrepreneur.
C’est un bel accomplissement pour toi!
Je veux que mes filles voient ça. Une femme qui s’immisce dans le domaine de la construction, c’est aussi possible! C’est moi qui appelle, qui prends les rendez-vous et qui signe les chèques! (rires)
Tu sembles vraiment emballée par ce projet...
Une amie à moi m’a déjà dit: «Si un projet ne te met pas des étoiles dans les yeux, c’est que ce n’est pas le bon pour toi.» Et celui-ci m’en met tout plein! J’en rêve jour et nuit, je connais mes plans par cœur et j’adore tout coordonner.
Qu’est-ce que je peux te souhaiter pour la suite des choses?
À la veille de la quarantaine, je ne changerais ma vie pour rien au monde. J’ai des enfants en santé, de beaux projets et je veux continuer à nourrir ce bonheur en restant dans l’instant présent. C’est là que se trouve ma paix intérieure! Je veux rester dans l’ouverture tout en m’adaptant aux enjeux du quotidien. C’est aussi de cette façon que tous ceux que j’aime vont demeurer heureux! Marie Eve m’impressionnera toujours par sa force de vivre et son immense simplicité. Elle est une femme de sa génération, et la voir combiner avec une telle joie sa vie d’amoureuse, sa vie de mère et sa vie d’artiste me rend vraiment fier d’elle. Je nous souhaite, mon amie, encore plein de conversations inspirantes et de fous rires ensemble! En ta présence, on se sent vivant et lumineux. Ne l’oublie jamais!
UNE CAUSE IMPORTANTE
Marie-Eve et les membres de sa famille continuent de s’impliquer activement au sein de la Fondation Louis-Philippe Janvier, qui vise à soutenir financièrement les jeunes adultes de 18 à 35 ans atteints d’un cancer, les ressources et services étant généralement plus rares pour ce groupe d’âge spécifique. La fondation a toujours de belles initiatives pour amasser des fonds. Le 26 août prochain, elle tiendra la toute première édition de son Poker Run, à Roxton Pond; un événement ludique auquel sont conviés tous les motocyclistes et qui est amené à être renouvelé chaque année. Pour connaître les détails de l’événement, consulter les différentes activités de financement, faire un don ou en savoir plus sur la fondation.
Marie-Eve animeRythme au travail, en semaine dès 8 h 25, ainsi queLes filles du lunch, avec Patricia Paquin, en semaine dès 11 h 30. Son émission réno-déco sera présentée à Canal Vie au printemps 2024.
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La chanteuse Lili-Ann De Francesco, révélée au public grâce à sa participation àLa Voixen 2015, a partagé une nouvelle préoccupante via son compte Instagram.
En effet, la jeune femme, qui célébrera son 24e anniversaire en novembre prochain, a suscité l'inquiétude parmi ses fans en publiant un court carrousel où elle explique qu'elle est hospitalisée depuis plusieurs jours. Dans sa légende accompagnant cette publication, elle évoque son état actuel.
La comédienne et chanteuse, dont la renommée ne cesse de croître au fil des années, partage son expérience en reconnaissant avoir tenu sa santé pour acquise par le passé, et elle en paie désormais le prix.
Celle qui s'est distinguée lors de la première saison d'Indéfendable l'année dernière est actuellement hospitalisée depuis mercredi dernier en raison de douleurs à l'estomac.
Dans son message sur Instagram, elle se veut rassurante en annonçant une amélioration progressive de son état. Néanmoins, Lili-Ann doit demeurer à l'intérieur des murs du CHUM pendant quelques jours supplémentaires, suite à une intervention chirurgicale à laquelle elle a dû se soumettre.
En effet, au moyen de deux brèves publiées sur son compte Instagram, la chanteuse, qui avait déjà évoqué ses crises d'anxiété et son trouble alimentaire il y a quelques années, informe qu'elle a subi une intervention chirurgicale à l'estomac. Bien que l'opération se soit déroulée avec succès, elle admet ressentir une douleur intense.
Lili-Ann De Francesco / Instagram
Cependant, les professionnels de la santé l'ont informée qu'il était possible qu'elle quitte l'hôpital dès ce lundi.
Sa famille se trouve à ses côtés pour lui apporter le soutien nécessaire en cette période difficile.
Lili-Ann De Francesco / Instagram
Lisez sa publication ci-dessous :
«Je suis actuellement dans un lit d'hôpital pour des problèmes d'estomac, parce que j'ai attendu trop longtemps pour obtenir de l'aide.
Je vais bien, mais je suis ici depuis mercredi soir et malheureusement je dois rester quelques jours de plus! Tout ça pour dire qu'il ne faut pas tenir sa santé pour acquise! C'est ce que j'ai fait et j'en paie le prix .
Prenez soin de vous mes amours ❤️ Vous êtes la priorité quoi qu'il arrive ❤️»
Nous lui envoyons la plus grande dose d’amour et de douceur dans sa convalescence.
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«Au début de notre relation, on utilisait le #nous pour parler de toi+moi… maintenant #nous c’est tout ça et bien plus!
Je t’♥️ @bernardgrenon», dévoile Julie sur Instagram.
Ils sont adorables, n'est-ce pas?!
D'ailleurs, le couple a emménagé ensemble il y a quelques mois sur la Rive-Nord, avec leurs enfants, âgés de 7 à 16 ans.
«Et il était temps que ça se fasse. Ça faisait deux ans que je vivais dans un grand déséquilibre, car je passais une semaine dans ma maison sur la Rive-Sud avec mes enfants et je m’ennuyais de mon chum. La semaine où j’étais sur la Rive-Nord avec lui, je m’ennuyais de mes enfants. Donc, j’avais toujours de la peine. Pendant une semaine, j’étais une mère, et la semaine d’après, j’étais une blonde. C’était très déséquilibré de vivre ainsi et je n’en pouvais plus de voir la valise bleue que je trimbalais tout le temps. Une fois déménagée chez mon chum, je l’ai brûlée. Un geste symbolique qui m’a fait un grand bien! (rires) Mes enfants vont à l’école sur la Rive-Sud, et quand ils sont chez moi, matin et soir, je vais les reconduire et les chercher. Et malgré tout ce temps passé sur la route, c’est beaucoup moins épuisant que ce que je vivais avant!», a confié Julie au magazine La Semaine.
«Julie était un peu plus craintive que moi de passer à cette étape. Elle trouvait que c’était quand même beaucoup de changements à imposer aux enfants. Pour ma part, je voulais qu’on vive ensemble, alors peu importe le nombre d’enfants sous le même toit, je lui disais qu’on allait s’adapter, c’est tout. Que ce soit avec un enfant ou avec sept, je voulais vivre avec ma blonde!», ajoute Bernard.
SPECTACLE. Les Cowboys Fringants ont eu droit une véritable vague d’amour au Festival de la poutine.
Si le public a craint que le groupe annule sa participation en raison du cancer de Karl Tremblay, ce dernier était tout en énergie et en émotion sur la scène Loto-Québec, samedi soir.
Le spectacle s’est ouvert avec la chanson Ici-bas, au son de l’incomparable violon de Marie-Annick Lépine. Dès les premières notes, aucun doute possible, le public allait vivre un moment intense.
«Malgré nos vies qui s’emballent dans une époque folle (…) Malgré la mort, celle qui frappe et qui nous fait pleurer. Ou bien celle qui un jour, tôt ou tard, nous fauch’ra, je m’accroche les pieds ici-bas», a chanté Karl Tremblay. Des paroles révélatrices. Des mots qui entraient directement dans le cœur.
«C’est un festival extraordinaire que nos amis Les Trois Accords ont mis sur pied. Eux autres, ils ont compris que c’est important de profiter de la vie au plus câlisse!», a-t-il balancé au micro. Il n’en fallait pas plus que la foule s’élève davantage et applaudisse à tout rompre.
Les Cowboys Fringants s’étaient donné la mission de faire plaisir au public. Durant près de deux heures, ils ont enchaîné leur succès : Bye Bye Lou, La manifestation, Plus rien, En berne, Marine Marchande, L’Amérique Pleure et Le shack à Hector. Impossible pour le public de reposer ses jambes et sa voix.
«Chaque soir, quand on donne des spectacles, on traîne notre party, une grosse fête. On aime ça quand les gens en profitent», a exprimé Karl Tremblay en épongeant ses tempes avec une cravate blanche. Un cadeau de son ami Robert Charlebois.
«Quand il me l’a donné, je lui ai dit que moi les cravates, je m’en sers pour m’essuyer le front sur scène. Il m’a répondu : tu f’rasben ce que tu veux avec!»
Ce dernier a tout donné durant le spectacle, bien qu’à quelques reprises, on devine qu’il allait récupérer à l’arrière-scène entre certaines chansons. Il laissait ainsi le soin aux autres membres du groupe d’en mettre plein les oreilles aux festivaliers. Ceux-ci ont d’ailleurs redoublé d’ardeur pour investir complètement la scène. Aucun temps mort pour le public. Le musicien Jérôme Dupras s’est même dévêtu sur la scène.
«Réalises-tu que tu viens de te mettre en bobettes à Drummondville?», a lancé Karl Tremblay en reprenant son micro à deux mains.
À la deuxième partie du spectacle, le chanteur de 46 ans s’est assis pour offrir quelques chansons moins rythmées, comme la touchante Sur mon épaule. À sa gauche, son amoureuse Marie-Annick Lépine et son inséparable violon.
«Ça fait dix ans et des poussières qu’on fait face au vent d’hiver. Ensemble on a peur de rien. On n’a peur de rien!», a-t-il insisté en levant le bras.
Le spectacle s’est terminé avec la pièce Les étoiles filantes. Pour l’occasion, Les Cowboys Fringants ont demandé à une fillette, Émeraude Lévesque, de monter sur la scène et de jouer quelques notes à la basse.
Décidément, Les Cowboys Fringants se sont acquittés de leur tâche de faire plaisir au public. Un spectacle généreux qui restera gravé longtemps dans la mémoire des festivaliers.
Plein à craquer
Les Drummondvillois ont réservé tout un accueil aux Cowboys Fringants qui ont écoulé plus 1,3 million d’albums dans la francophonie. Le stationnement du centre Marcel-Dionne était plein à craquer, les festivaliers entrant sur le site dans un flot continu jusqu’aux premières notes. Si l’espace l’avait permis, davantage de gens auraient assisté à ce moment unique.
Les Trois Accords ont confirmé que la 16e édition a battu tous les records d’assistance. «Merci à nos bénévoles et surtout aux poutiniers qui font des poutines sans arrêt depuis vendredi!», a lancé Simon Proulx juste avant le début de ce spectacle de clôture.
Les Cowboys Fringants ont été précédés sur la scène Loto-Québec par le rappeur Mindflip ainsi que par la formation Vulgaires Machins, qui enregistre quelque 40 000 auditeurs sur Spotify chaque mois. À chaque pièce, ce groupe originaire de Granby s’est chargé de faire grimper les décibels au maximum. «C’est un criss de beau festival icit. Liberté!», s’est époumoné le chanteur Guillaume Beauregard.
L’organisation du Festival de la poutine dressera un premier bilan au cours de la journée de dimanche. On connaîtra aussi le nom du restaurateur qui remportera la tant convoitée Fourchette d’or.
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