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Monday, July 31, 2023

Laurence Jalbert souligne la perte d'un grand musicien | Hollywoodpq.com - HollywoodPQ

Laurence Jalbert vient d’apprendre la triste perte d’une personne importante pour elle et avec qui elle a aussi eu la chance de travailler dans sa carrière.

En effet, la chanteuse rendait hommage au guitariste Réjean Bouchard, qui est malheureusement décédé le 30 juillet dernier.

Ce dernier a notamment travaillé avec de nombreuses vedettes, dont Richard Séguin, Laurence Jalbert et Pierre Flynn.

«Nous venons de perdre un être humain plus grand que nature, un immense guitariste accompagnateur, un grand réalisateur !
Cette photo représente véritablement cet homme ! Pas d’égo, juste dans le respect,l’humilité et dans l’écoute de l’autre..
Tu vas tellement nous manquer Réjean… Mes condoléances à sa famille 💝🙏🏻💝🙏🏻💝🙏🏻💝 RIP Réjean Bouchard. Toutes nos sympathies à la famille et aux proches de Réjean!», partage la chanteuse avec amour et reconnaissance.

Un bel hommage fait par Laurence!

Toutes nos sympathies à la famille et aux proches de Réjean.

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Julie Houle a emménagé avec son amoureux des deux dernières années - 7 Jours

Depuis deux ans et demi, Julie Houle construit et vit un bonheur qu’elle partage avec son compagnon, Bernard Grenon. Or voilà qu’ils ont récemment emménagé ensemble, réunissant du coup sept enfants sous un même toit! Grâce à cette belle harmonie et à la nouvelle force qui l’anime, la coanimatrice de La poule aux œufs d’or aborde sa jeune quarantaine le sourire aux lèvres.

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Julie, alors que La poule aux oeufs d’or a fêté sa 30e année en avril, de ton côté, tu es entrée dans la quarantaine et tu sembles plus épanouie que jamais.

Julie: C’est vraiment une belle période pour moi, autant pour La poule que pour ma quarantaine! C’est ma 14e année à travailler sur cette émission, dont les cinq dernières à coanimer avec Sébastien Benoit, et on a vraiment du plaisir à faire ça. En plus, on a pu célébrer ces 30 ans avec un retour à la normale après la pandémie. Ça a fait tellement plaisir de retrouver les participants et le public en studio! On vit des moments exceptionnels sur ce plateau et on s’enligne sur une 31e saison avec encore beaucoup de moments de bonheur à vivre. Tu as eu 41 ans le 14 juin et, dans les dernières années, beaucoup de choses ont changé pour toi. On dirait que la vie t’a donné des ailes.

J.: Je pense que oui, en quelque sorte. Dans ma trentaine, je lisais beaucoup sur le sujet du passage vers la quarantaine et j’entendais des gens parler de cette étape importante, mais la vie continue. Cela dit, c’est vrai qu’il y a eu ce tournant important autour de mes 40 ans. Dans ma vie amoureuse, il y a eu de gros changements, et ça fait maintenant presque trois ans que je suis avec Bernard. 

Et depuis qu’il est dans ma vie, ça bouge pas mal! (rires) Et faire de la moto, est-ce la quarantaine qui t’a aussi menée vers ça?

J.: (Rires) On peut dire ça, oui! Il y a un an, un peu avant ma fête, mon chum m’a lancé: «Julie, on va aller chercher nos permis de moto.» Sur le coup, j’ai ri, mais il était sérieux. Moi, faire de la moto? Il y a trois ans, je n’osais même pas conduire mon auto sur l’autoroute, c’était donc loin d’être un rêve que j’avais. Mon chum me pousse toujours à me dépasser. Il m’a convaincue et, aujourd’hui, j’ai ma moto et j’aime vraiment ça. 

Photo : Julien Faugere / TVA Pu

Quel est le plus grand changement que vous avez vécu depuis que vous êtes en couple?

J.: On a emménagé ensemble il y a quelques mois. On habitait déjà un peu ensemble à temps partiel, alors on savait que la dynamique était très bonne dans notre couple. Mais comme j’ai quatre enfants et que lui en a trois, il fallait savoir comment la famille recomposée allait cohabiter à travers tout ça. Mine de rien, on se retrouve neuf personnes à la maison la semaine où on a nos enfants avec nous, et seuls tous les deux, en amoureux, la semaine suivante. Ça se passe vraiment bien.

Bernard: Julie était un peu plus craintive que moi de passer à cette étape. Elle trouvait que c’était quand même beaucoup de changements à imposer aux enfants. Pour ma part, je voulais qu’on vive ensemble, alors peu importe le nombre d’enfants sous le même toit, je lui disais qu’on allait s’adapter, c’est tout. Que ce soit avec un enfant ou avec sept, je voulais vivre avec ma blonde.

J.: Et il était temps que ça se fasse. Ça faisait deux ans que je vivais dans un grand déséquilibre, car je passais une semaine dans ma maison sur la Rive-Sud avec mes enfants et je m’ennuyais de mon chum. La semaine où j’étais sur la Rive-Nord avec lui, je m’ennuyais de mes enfants. Donc, j’avais toujours de la peine. Pendant une semaine, j’étais une mère, et la semaine d’après, j’étais une blonde. C’était très déséquilibré de vivre ainsi et je n’en pouvais plus de voir la valise bleue que je trimbalais tout le temps. Une fois déménagée chez mon chum, je l’ai brûlée. Un geste symbolique qui m’a fait un grand bien! (rires) Mes enfants vont à l’école sur la Rive-Sud, et quand ils sont chez moi, matin et soir, je vais les reconduire et les chercher. Et malgré tout ce temps passé sur la route, c’est beaucoup moins épuisant que ce que je vivais avant.

Photo : Julien Faugere / TVA Pu

Vous avez pris le temps de bien faire les choses, une étape à la fois.

J.: Oui, ça s’est fait très naturellement et personne ne s’est senti brusqué.

B.: Là, on est heureux tout le monde ensemble. J’avais moi aussi très hâte que tout rentre dans l’ordre, et je lui lève mon chapeau de faire toute cette route en gardant le sourire. (rires)  

J. (se tournant vers Bernard): Et tu aimes bien quand je prends le temps de faire tes entrevues d’embauche pour tes futurs employés (il est entrepreneur en construction) pendant que je suis sur la route, non? (rires)

B.: Oui, je l’apprécie énormément. Julie vient sur mes chantiers, elle m’accompagne beaucoup dans ma compagnie et elle est vraiment bonne. On a même bâti un garage tous les deux. En retour, je suis allé avec elle sur le plateau de La poule aux œufs d’or et j’aime la regarder travailler. 

Vos sept enfants s’entendent-ils bien?

J.: Oui, c’est fou! Depuis les premières journées, on a vu qu’ils s’entendaient tous à merveille. On ne pouvait demander mieux, mais je me disais toujours que c’était plus facile pendant seulement un week-end avec toutes sortes d’activités le fun, mais que ça risquait de devenir moins évident dans un rythme quotidien. Mon chum me répétait tout le temps: «Julie, ça se peut aussi que tout fonctionne super bien même à temps plein.» Et il avait raison!

B.: Il n’y a rien de parfait, mais j’ai trois enfants et je suis entraîneur au hockey, alors j’en gère, des jeunes, et on se dit les vraies affaires.

J.: Je suis très consciente de la chance qu’on a et que tout soit aussi harmonieux dans notre dynamique familiale. Pas de farce, mes enfants s’ennuient des enfants de Bernard s’ils ne sont pas là, et vice versa. Les sept sont complices et font des activités ensemble depuis le tout début. Et Bernard est vraiment bon avec eux, j’ai le partenaire idéal pour vivre tout ça!

B.: Ce n’est pas mêlant, quand ils sont tous ensemble, ils lâchent leurs écrans pour partir en vélo, aller jouer au basket ou au hockey dans la rue, même ma plus grande de 16 ans. Ça en dit long! (rires)

Vous formez une très belle équipe!

B.: Je pense que oui. Je ne suis pas le genre à tirer sur la couverture. Je m’assure toujours que Julie soit bien, car je l’aime, alors je veux l’aider dans tout.

J.: Il y a beaucoup d’humour entre nous. Ça rit tout le temps dans la maison, et là, je parle pour moi, mais mes enfants me voient rire et me sentent heureuse. Tout part de là.

Avez-vous envie d’avoir un enfant ensemble?

B.: Non... euh, non! (rires)

J.: (Rires) Nos enfants ont entre 7 et 16 ans. Nous allons nous concentrer sur notre famille, vivre le moment présent, savourer notre vie de couple, voyager et nous accomplir chacun dans notre carrière.

Photo : Julien Faugere / TVA Pu

Et un mariage peut-être?

J.: (Éclat de rire) On n’est pas rendus là, mais si un jour un mariage arrivait, ce serait surtout pour rassembler ceux qu’on aime dans un gros party et partir en voyage de noces! 

Qu’appréciez le plus l’un chez l’autre?

J.: Dès notre première rencontre, on s’est liés d’une belle amitié et Bernard a toujours été de bon conseil pour moi. Je sais que ça ne paraît peut-être pas, mais je manque vraiment de confiance en moi, et il m’aide beaucoup avec ça. Et sincèrement, son humour est probablement ce que je préfère. On rit tout le temps et ça allège tout ce que la vie peut mettre sur notre chemin. Dans le fond, je suis tombée en amour avec mon meilleur ami. 

B.: J’aime tellement de choses chez elle, mais j’avoue que j’adore l’écouter parler. Je trouve ça beau, comment elle raconte et décrit les choses. Et comme Julie parle beaucoup, je ne m’ennuie jamais. (rires)

C’est surprenant, Julie, de savoir que tu manques de confiance en toi. Tu ne dégages pas ça.

J.: Et pourtant! Je ne suis pas du tout le genre à vouloir flasher ou à me mettre en avant, mais Bernard m’encourage à m’affirmer et à prendre des décisions. Je crois que, dans ma quarantaine, j’ai envie d’oser dire ce que je veux ou ce que je pense plus souvent. La peur de me faire dire non, disons que je travaille vraiment là-dessus. 

Photo : Julien Faugere / TVA Pu

Et sur le plan professionnel, quel projet t’inspirerait?

J.: J’adorerais faire de la radio. J’ai fait du remplacement lorsque je vivais à Québec et j’ai adoré l’expérience. Il y a quelques années, je devais faire partie de l’équipe du matin pour une station. Finalement, je suis tombée enceinte de mon troisième enfant et j’ai dû renoncer à cette belle opportunité, mais je souhaite qu’elle se présente à nouveau. J’ai aussi envie de vivre un projet avec mon chum. Comme on a une très belle complicité, je sens qu’on ferait un excellent duo à la télé. Certaines choses ont été proposées et rien n’a encore débouché, mais je continue d’y croire, car je sens qu’on donnerait un foutu bon show! (rires)

La poule aux œufs d’or sera de retour le dimanche 10 septembre à 17 h 30, à TVA. Julie coanimera Dave & Julie, avec Dave Morissette, de 5 h 30 à 8 h 30, à Rythme FM, dès le 31 juillet.

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Julie Houle a emménagé avec son amoureux des deux dernières années - 7 Jours
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Grèves des scénaristes et acteurs aux États-Unis | L'automne télé sera perturbé - La Presse

Une rentrée « pas comme les autres » attend les téléspectateurs cet automne. Les grèves simultanées des auteurs et acteurs aux États-Unis bouleverseront la grille horaire des grands diffuseurs américains de fond en comble, en plus de perturber l’offre des plateformes comme Netflix et Prime Video. Voici cinq conséquences directes des conflits de travail qui s’enlisent.

Des talk-shows en reprise

PHOTO BRYAN DERBALLA, ARCHIVES THE NEW YORK TIMES

L’animateur du Tonight Show de NBC, Jimmy Fallon

Lorsque la Guilde des scénaristes américains (WGA) a déclenché la grève, au printemps dernier, les talk-shows de soirée (et Saturday Night Live) ont quitté l’antenne les premiers. Et pour cause. Les Tonight Show de Jimmy Fallon (NBC), Late Show de Stephen Colbert (CBS) et autres Jimmy Kimmel Live ! (ABC) sont tous dotés d’équipes d’auteurs comiques. Sans elles, ces rendez-vous quotidiens n’existent pas. « Ces émissions sont scriptées de A à Z, indique Pierre Barrette, directeur de l’École des médias de l’Université du Québec à Montréal. Il n’y a aucune improvisation. L’animateur sait quelles questions poser et connaît les réponses de l’invité. »

Une seule catégorie de talk-shows restera en ondes cet automne : ceux diffusés en journée, qui n’ont aucun auteur attitré, comme Live ! with Kelly and Mark, The Kelly Clarkson Show, The Drew Barrymore Show ou encore The View. Leurs producteurs devront toutefois travailler d’arrache-pied pour trouver des invités puisque le syndicat des acteurs (SAG-AFTRA) défend à ses membres d’y participer.

Encore plus de téléréalités

PHOTO FOURNIE PAR NETFLIX

Too Hot to Handle sur Netflix

La production de séries de fiction suspendue (Grey’s Anatomy, Stranger Things, The Good Doctor), les grands réseaux, tout comme les plateformes de diffusion en continu, présenteront davantage de téléréalités, comme The Voice, Dancing with the Stars, America’s Got Talent, Too Hot To Handle, The Masked Singer et Love Island.

Pour l’ancien vice-président aux contenus originaux de Québecor Denis Dubois, il s’agit d’une mesure d’urgence inévitable.

Il n’y a pas grand-chose d’autre à faire que d’envoyer des reprises et d’augmenter le nombre d’émissions de variétés au sens large du terme, y compris les téléréalités.

Denis Dubois

L’homme de télévision, qui a déjà occupé le poste de directeur des programmes de Télé-Québec, espère que CBS, NBC, ABC et FOX avaient prévu le bourbier dans lequel ils doivent actuellement patauger. « J’espère qu’avec la pandémie, qui avait arrêté toute la production de séries, ils ont appris qu’il faut être préparé à toute éventualité. Parce que ce n’est pas vrai qu’en l’espace de quelques jours, on peut être prêt à entrer en ondes avec plus d’épisodes. J’espère qu’ils ont préparé un plan d’urgence qui peut tenir la route durant une bonne partie de l’automne… »

Afflux de transfuges

PHOTO DANNO NELL, FOURNIE PAR PARAMOUNT

Kelly Reilly et Kevin Costner dans Yellowstone

Des séries qu’on trouvait jusqu’ici uniquement sur l’internet ou certaines chaînes câblées seront appelées en renfort. Par exemple, Ms. Marvel, une série de superhéros qui était réservée aux abonnés de Disney+, migrera vers ABC. Comme ABC est également une propriété de Disney, ce transfert semble logique.

De son côté, CBS présentera la première saison de Yellowstone. Ce néo-western mettant en vedette Kevin Costner était offert, depuis 2018, en exclusivité sur Paramount, une antenne au rayonnement beaucoup moins grand. CBS ressuscitera également SEAL Team, une série dont elle s’était pourtant départie en 2021.

Autre détail à mentionner qui rassurera les amateurs de soaps d’après-midi : General Hospital, The Young and the Restless, The Bold and the Beautiful et Days of Our Lives continueront d’être diffusés. Le conflit de travail n’affecte aucun roman-savon puisque leurs acteurs sont soumis au Network Code, une convention différente de celle qui régit la majorité des comédiens, rapporte Deadline. Quant aux auteurs de soaps, ils font la grève comme leurs homologues, mais ils sont remplacés par d’autres auteurs, des briseurs de grève engagés directement par les ABC, CBS et compagnie.

Incertitude autour des galas

PHOTO VALERIE MACON, ARCHIVES AGENCE FRANCE-PRESSE

Trophée Emmy

Les finalistes aux Primetime Emmy Awards sont connus depuis quelques semaines (Succession, The Last of Us et The White Lotus mènent le bal), mais on voit mal comment le gala pourrait avoir lieu comme prévu, le 18 septembre. D’ailleurs, différents médias américains (Variety, Los Angeles Times) rapportaient la semaine dernière que l’annonce d’un report serait imminente. FOX diffuserait le prestigieux rendez-vous en janvier, histoire de donner le temps aux parties de régler leurs différends.

Cette remise n’étonnerait personne. D’après un récent mémo envoyé aux membres du syndicat des acteurs, les cérémonies de remise de prix doivent être boycottées jusqu’à nouvel ordre. Et sans auteurs pour signer quelques blagues et numéros de présentation, les chances qu’Hollywood parvienne à livrer une cérémonie en bonne et due forme semblent faibles, très faibles. La tenue des MTV Video Music Awards (une semaine plus tôt, le 12 septembre) est également remise en question.

De tels reports pourraient heurter les secteurs télévisuel et musical, observe Pierre Barrette. « C’est habituellement un moment de promotion important pour l’industrie. »

En mai, Drew Barrymore, qui devait animer les MTV Movie & TV Awards, s’était désistée au dernier moment en signe d’appui aux revendications des scénaristes, qui venaient d’entrer en grève. Quant aux Tony Awards, présentés sans textes et sans télésouffleur en juin en raison du conflit de travail des auteurs, ils s’en sont plutôt bien sortis, grâce aux nombreux numéros musicaux planifiés.

Nos séries aux États-Unis ?

PHOTO FOURNIE PAR CRAVE

Jim Watson, Laurence Lebœuf, Ayisha Issa et Hamza Haq dans la troisième saison de Transplant

Pour sauver les meubles et combler leurs grilles anormalement dégarnies, les grandes chaînes américaines pourraient se tourner vers l’étranger. C’est ce qu’a fait NBC au printemps, en annonçant qu’elle avait commandé les troisième et quatrième saisons de Transplant, ce drame médical avec Laurence Lebœuf et Ayisha Issa. Est-ce que d’autres séries d’ici (comme l’adaptation canadienne-anglaise de Plan B, avec Karine Vanasse) pourraient connaître un sort semblable et atterrir au royaume de Joe Biden ? Pierre Barrette se montre prudent. Pour le moment, du moins.

La procédure d’achat est tellement lourde aux États-Unis. Je doute qu’une chaîne puisse se retourner de bord rapidement et faire comme : “On achète Série noire, on l’amène en doublage, puis on l’envoie en ondes !” Ça n’arrivera pas.

Pierre Barrette, directeur de l’École des médias de l’Université du Québec à Montréal

Un autre obstacle attend les séries d’ailleurs qui espèrent conquérir ce pays.

« Le public américain est extrêmement frileux par rapport aux émissions étrangères, souligne M. Barrette. Ça doit ressembler aux productions qu’il a l’habitude de voir. Les téléspectateurs peuvent l’accepter, mais des séries sans vedettes américaines, sans arrière-plan de Boston le matin… Ils n’aiment pas vraiment ça. Quand l’action se passe à Londres ou ailleurs, ils ont plus de difficulté à accrocher. »

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Sunday, July 30, 2023

Mario Pelchat ne savait pas que son plus gros succès était une reprise - TVA Nouvelles

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Mario Pelchat ne savait pas que son plus gros succès était une reprise  TVA Nouvelles
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Le Québec perd l'un de ses plus grands guitaristes - TVA Nouvelles

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  1. Le Québec perd l'un de ses plus grands guitaristes  TVA Nouvelles
  2. Le Québec perd un grand guitariste: Réjean Bouchard, «le poésicien des notes», s'est éteint  Le Nouvelliste
  3. Les communautés artistiques de Maliotenam et du Québec pleurent le départ du musicien Réjean Bouchard  Ma Côte-Nord
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Le Québec perd l'un de ses plus grands guitaristes - TVA Nouvelles
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Mario Pelchat ne savait pas que son plus gros succès était une reprise - Le Journal de Québec

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Mario Pelchat ne savait pas que son plus gros succès était une reprise  Le Journal de Québec
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Alex Nevsky estime que «le mur de feu a été franchi» quant à son retour à la vie publique - 7 Jours

Il y a cinq ans, lorsqu’Alex Nevsky a accueilli sa fille, Claire, il ignorait que son amour pour elle allait le happer comme une vague de fond. Non seulement la paternité l’a bonifié, mais elle l’invite à déguster chaque instant. Son nouvel album, Même l’impossible fleurit, est inspiré de cet amour qui le transporte, le transforme et l’élève.

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Alex, quelle est la genèse de cet album instrumental?

C’est un rêve que je caresse depuis longtemps. J’avais fait une liste de souhaits quand j’étais à l’École nationale de la chanson en 2006, et j’avais écrit: «Faire un album instrumental.» Depuis mes débuts, je voulais le faire, mais je n’avais tout simplement pas assez de talent au piano. Quand j’ai commencé à l’École nationale, je ne savais même pas jouer de cet instrument... Je m’y suis mis en 2006. J’ai composé plein de débuts de chansons que je ne prenais jamais le temps de terminer, car la carrière de chansons populaires allait vraiment bien. 

Par la force des choses, c’est là que vous investissiez toute votre énergie?

Oui, mais avant la pandémie, après la sortie de Chemin sauvage, je suis entré en studio pour enregistrer une première version d’un disque instrumental qui n’est pas sorti. Durant la pandémie, comme tout le monde, j’ai eu une longue pause. Ma reconnexion avec la nature m’a poussé à revisiter les pièces que j’avais commencées. J’ai passé tellement de temps dehors qu’à mes retours d’une marche dans le bois ou au jardin, j’avais beaucoup d’inspiration. J’ai senti que je touchais à ce dont je rêvais depuis longtemps. L’album est apparu avec le besoin que la musique soit associée à la nature, car c’est elle qui m’a inspiré. L’émerveillement, pour moi, c’était d’apprendre à nommer les choses: les fleurs, les arbres, les oiseaux. La musique instrumentale en est une de contemplation. Quand on l’écoute, on a encore plus envie de rêver sa vie. 

Le titre de votre album, Même l’impossible fleurit, est rempli d’espoir et rappelle la fleur qui perce le béton...

Ça parle de ma tête, de mon cœur. Parfois, on ne voit pas beaucoup de lumière, on ne ressent pas beaucoup de positif. Cet album est un cadeau que je me suis fait après la tourmente. C’était une façon de me dire que je me faisais assez confiance pour me lancer dans le vide. Se faire confiance, c’est aussi une manière de se dire «Je t’aime», de ne pas avoir peur de ce que les autres vont dire, d’être en phase avec nos rêves les plus profonds. Malgré les peurs, les doutes, ce que les gens pourraient dire, je me suis fait ce cadeau. Le titre est venu quand je me suis permis d’y croire. Même si ce n’est pas un succès, cette musique me soulève, me rend heureux, me redonne foi en mon pouvoir créatif. 

Photo : Julien Faugere / TVA Pu

Il marque une belle évolution pour vous.

Il y a deux ans, ce chemin me semblait impossible. Je pensais arrêter la musique. Je pensais tout arrêter. Finalement, la musique est plus forte que les doutes. C’est un grand cadeau. C’est le poète Rûmi qui disait, et ç’a été repris par Cohen par la suite: «Il y a une faille dans toute chose, et c’est par là qu’entre la lumière.» 

Vous auriez composé la première pièce à la suite de la naissance de votre fille. Claire a été votre grande inspiration?

Oui, la pièce Poem est montée quelques jours après sa naissance. Claire était miniature. Je n’avais pas com- posé depuis un moment. J’étais à sec. Puis cette mélodie est apparue. Le texte que je ne réussissais pas à écrire, j’étais en train de le jouer. C’est ma favorite parmi toutes celles que j’ai composées. Elle est née d’un souffle, d’un débordement d’amour, même si on ressent une pointe de mélancolie. C’est plein de sentiments mêlés. C’est connecté à la beauté de la nais- sance. C’est beaucoup d’émotions. Au début, on ne dort pas du tout, tout est sens dessus dessous. C’est un polaroïd de cet instant, quand un nouvel humain habite notre maison.

Photo : Julien Faugere / TVA Publications

Cet album témoigne donc de la douceur et de la beauté qu’il y a dans votre vie?

Absolument. C’est un disque qui a été créé dans mon contact répété avec la nature, avec l’amour. Le but, c’était de partager de la douceur. Quand j’ai vu le potentiel de guérison et de beauté, j’ai pu l’offrir aux gens par la suite. J’ai laissé de la place à ce qui est important pour moi. Même s’il y a plus de temps libre, le temps me semble plus rempli. Ce n’est pas qu’un agenda avec des taches, mais une vie qui a envie d’être vécue dans la présence. Chaque jour, je dis à Claire comme je suis chanceux de l’avoir dans ma vie. Tous les jours, je ressens cette émotion. 

Quelle chance pour une enfant de se sentir autant aimée!

J’ai reçu autant d’amour, alors je pense que c’est facile d’en donner.

Votre vie de père vous aurait-elle amené à vous poser différemment?

Tout à fait. Devenir père, ça relativise tout, ça remet tout en question. Pour la première fois, je suis conscient que les jours passent et ne reviennent plus. J’ai l’obligation de réaliser que ce qui était magnifique aujourd’hui est passé, même si ce sera encore magnifique demain. Il faut saisir l’instant. 

Photo : Valerie Blum / Echos Ve

Vous lui offrez une enfance idéale, dans la nature, et surtout, vous lui offrez du temps.

Oui, nous sommes très relaxes, Van et moi. Nous prenons le temps. Nous sommes très slow living. Souvent, le week-end, nous offrons à Claire de faire différents trucs et elle nous dit qu’elle a plutôt envie de rester tranquille à la maison... Nous marchons dans le bois, elle ramasse des roches, qu’elle casse pour en faire de la poussière. Elle fabrique des potions à partir de fleurs, de feuilles, d’écorces qu’elle met en pot. Pour certains, cette vie ne convient pas du tout, mais c’est celle que nous aimons. Pour nous, c’est extrêmement nourrissant. 

Le retour à la vie publique a-t-il marqué une rupture de rythme

En avril, j’ai accordé 80 entrevues, j’ai fait des télés. Le mur de feu a été franchi. C’était nécessaire. Je suis profondément en paix avec tout ça. Ç’a été beau et difficile, car ça m’a demandé beaucoup d’énergie. J’ai réalisé par la suite à quel point cette intériorité en avait pris un coup. Je recommence à remplir mon petit seau de respirations, de présence. Mais c’est tellement beau! Avec chaque personne que je croise, j’ai de beaux échanges. Les gens sont doux, nous sommes dans le présent. C’est là où je suis et c’est aussi là que sont les gens qui m’abordent. La vie est douce. Je suis vraiment heureux de revenir. 

Comme vous serez sur scène cet automne, vous vous sentez fin prêt pour cette période qui s’annonce chargée?

Oui, car ça sera à échelle humaine. Ce sera un spectacle intime dans de petites salles, car je compte me livrer davantage. Je ne me suis jamais vraiment livré sur scène. Pour ce spectacle, j’ai envie d’être plus vrai. Il faut enlever des couches. Je veux en arriver à être vulnérable sur scène. Ça sera mon défi pour cette tournée. Je ne veux pas que cabotiner, car c’est dans le cabotinage que je me réfugie souvent quand je suis stressé. Ça fonctionne, mais je suis en besoin de grande connexion humaine plus profonde, et ça commence avec moi.

Simon Clark/Agence QMI

Alex Nevsky nous présente son album instrumental Même l’impossible fleurit. On peut écouter le premier extrait, Poem, sur YouTube. L’auteur-compositeur-interprète sera en spectacle dès l’automne. On s’informe au alexnevsky.ca.

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«Quand t'es plus capable de t'acheter de simples Tylenol, il y a un problème»: un prestataire de l'aide sociale peine à payer son loyer subventionné - Le Journal de Montréal

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  1. «Quand t'es plus capable de t'acheter de simples Tylenol, il y a un problème»: un prestataire de l'aide sociale peine à payer son loyer subventionné  Le Journal de Montréal
  2. Crise du logement: une mère de famille doit choisir entre payer ses factures ou son loyer  Le Journal de Montréal
  3. Trouver un logement pour quelques centaines de dollars relève du miracle pour ces personnes recevant de l'aide sociale  Le Journal de Montréal
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«Quand t'es plus capable de t'acheter de simples Tylenol, il y a un problème»: un prestataire de l'aide sociale peine à payer son loyer subventionné - Le Journal de Montréal
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Saturday, July 29, 2023

Le père de l'art de rue québécois n'est plus - Le Journal de Québec

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Le père de l'art de rue québécois n'est plus  Le Journal de QuébecAfficher la couverture complète sur Google Actualités
Le père de l'art de rue québécois n'est plus - Le Journal de Québec
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Refus global a 75 ans | Quelques échos de sa réception médiatique - La Presse

Le lancement de Refus global a suscité des commentaires variés, voire clivés, dans les journaux et revues du Québec. Nous avons déterré ces quelques propos des archives numériques des journaux.

« Exposition des “automatistes” chez Tranquille », titre un article paru dans Le Petit Journal le 25 juillet 1948, soit 15 jours avant le lancement de Refus global. Très court, le texte ne consacre que son premier paragraphe à l’évènement sans lui donner une date précise.

« D’ici quelque temps, un nouveau groupe d’artistes, les automatistes, lanceront leur manifeste à la Librairie Tranquille », lit-on dans le texte qui ajoute cette remarque nébuleuse : « On dit qu’on verra leurs œuvres à travers un écran percé de “petits trous”. »

IMAGE LE PETIT JOURNAL/BANQ

Le premier article que nous avons recensé sur la parution de Refus global date du 25 juillet 1948 dans Le Petit Journal.

L’hebdomadaire revient sur le sujet le 8 août sans beaucoup plus de détails, sinon le fait d’ajouter que le manifeste comprendra 400 exemplaires.

Quelques jours plus tard, le 16 août, Le Canada, quotidien montréalais proche du Parti libéral, publie un article plus détaillé. Tout en qualifiant les Automatistes de « groupe surrationnel en peinture », le journal précise que le manifeste est constitué de huit textes distincts et donne quelques détails sur chacun. On ajoute que des reproductions de Barbeau, Borduas, Ferron, Riopelle et autres accompagnent les textes.

Dans son ouvrage Refus global : Histoire d’une réception partielle, tiré de son doctorat, l’autrice Sophie Dubois estime qu’une centaine de textes abordent le sujet entre juillet 1948 et septembre 1949. Avec 37 textes en 42 semaines, c’est Le Canada qui « consacre le plus d’espace médiatique » au manifeste, analyse-t-elle.

Un des premiers regards critiques est justement publié dans ce quotidien, le 23 août, dans la rubrique « La vie des livres ». Sans verser dans l’analyse politique, l’auteur surnommé Lafcadio (probablement Guy Jasmin, rédacteur en chef du journal, selon des experts) se montre plutôt sympathique aux Automatistes en tant que peintres, mais beaucoup moins en tant qu’écrivains.

S’il « dénote de la ferveur pour les audaces de la vie », le contenu du manifeste « n’est rien de bien neuf », écrit-il. Lafcadio va même jusqu’à comparer Refus global à « du sous-Jean-Charles Harvey », qui, affirme-t-il, avait déjà développé les mêmes thèmes. Sans doute faisait-il référence au texte de la conférence intitulée La peur prononcée par M. Harvey devant l’Institut démocratique canadien, le 9 mai 1945.

Au moins, concède Lafcadio, ces jeunes auteurs, s’ils « valent mieux quand ils se confinent à la peinture », lancent ici un « cri sincère ».

Un cri de détresse

L’hebdomadaire Le Clairon de Saint-Hyacinthe, ville pratiquement voisine de Mont-Saint-Hilaire où se réunissent Borduas et ses amis, est nettement plus enthousiaste.

Dans une analyse publiée le 27 août, le journaliste Charles Doyon ne cache pas que le texte est d’une « outrancière intransigeance », ce qui a l’heur de lui plaire en ce « pays inamovible et indivis de Québec ».

« C’est un cri de détresse suscité par l’écœurement des jeunes devant une génération d’assis et d’encenseurs », lance-t-il à propos de cette « explosion littéraire et artistique ».

Il commente aussi plusieurs des textes du manifeste, mais déplore, comme d’autres, une présentation « originale, mais peu pratique » en raison des « feuillets épars ».

Dans sa biographie Monsieur Livre à propos d’Henri Tranquille, l’auteur Yves Gauthier estime d’ailleurs que chroniqueurs et éditorialistes sont « unanimement » contre le manifeste, son credo et ses auteurs, à l’exception de Charles Doyon.

L’Action catholique, quotidien de l’Action sociale catholique, fait partie des plus virulents détracteurs du pavé lancé par Borduas et sa bande.

Dans un texte survolté publié le 22 septembre, le père Hyacinthe-Marie Robillard avertit ses lecteurs de ne pas simplement « tourner au ridicule » « cette proclamation de méthodistes en rupture de ban avec leur professeur de grec ou d’anglais ». Pour lui, l’heure est grave : « Il y a des parents, des amis, qui portent comme une épine au cœur – l’offrant à Dieu pour eux – le spectacle de leur révolte. »

Lui non plus n’est guère impressionné par l’originalité du contenu, estimant que « l’automatisme surrationnel n’est qu’un plagiat du surréalisme français d’avant-guerre ».

Dans son analyse, Sophie Dubois estime que les médias opposés au recueil lui ont quand même consacré « des articles détaillés résumant bien son propos ». « Malgré les critiques acerbes de quelques journalistes – voire grâce à elles –, Refus global obtient visibilité et reconnaissance », écrit-elle.

IMAGE LA PRESSE/BANQ

Le 22 septembre 1948 dans La Presse

Après le congédiement de Borduas

Le congédiement de Borduas de l’École du meuble, une décision signée Paul Sauvé, ministre du Bien-être social et de la Jeunesse dans le gouvernement de Maurice Duplessis, est rendue publique le 18 septembre et fait réagir.

« Je me demande quelles sont les aptitudes artistiques de l’Hon. Jean-Paul Sauvé, ou les prérogatives qui lui ont fait décider dernièrement qu’après seize ans au service de l’enseignement dans cette province, un professeur d’art n’est plus compétent », rage Charles Doyon dans Le Clairon.

IMAGE LE DEVOIR/BANQ

Le 22 septembre 1948 dans Le Devoir

Le Devoir du 22 septembre 1948 cite Borduas au lendemain d’une conférence de presse : « Depuis les onze ans que je suis à l’École, on n’a jamais critiqué mon enseignement. En somme, c’est uniquement pour avoir écrit le manifeste Refus global que je suis renvoyé », y affirme le peintre et leader du groupe.

« Le discours sur l’œuvre s’efface au profit du discours sur le renvoi », note Sophie Dubois.

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Refus global a 75 ans | Quelques échos de sa réception médiatique - La Presse
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La fille de Patrick Roy partage une MAGNIFIQUE photo avec lui à son mariage - Noovo Moi

Pam, pam, pam, pammmmm!

Jana Roy, la fille de Patrick Roy et la sœur du chanteur Jonathan Roy, s'est marié le week-end dernier avec son amoureux de longue date Pierre-Cédric Labrie (joueur de hockey professionnel qui évolue avec le Syracuse Crunch).

Cette semaine, Jana a partagé de merveilleuses photos du grand jour!

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La fille de Patrick Roy partage une MAGNIFIQUE photo avec lui à son mariage - Noovo Moi
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Festival d'opéra de Québec: un Roméo fort convaincant - Le Journal de Montréal

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  1. Festival d'opéra de Québec: un Roméo fort convaincant  Le Journal de Montréal
  2. Le messe solennelle de Tremblay vue par son compositeur  Le Soleil
  3. Le miracle Bettinger se reproduit au Festival d'opéra de Québec  Le Soleil
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Festival d'opéra de Québec: un Roméo fort convaincant - Le Journal de Montréal
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Le père de l'art de rue québécois n'est plus - TVA Nouvelles

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Le père de l'art de rue québécois n'est plus  TVA NouvellesAfficher la couverture complète sur Google Actualités
Le père de l'art de rue québécois n'est plus - TVA Nouvelles
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Woodstock en Beauce dévoile sa programmation | JDM - Le Journal de Montréal

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  2. Woodstuck en Beauce dévoile sa programmation  Ma Beauce
  3. Woodstock en Beauce dévoile sa programmation  EnBeauce.com
  4. La programmation de Woodstock en Beauce maintenant dévoilée  Cool Fm
  5. Woodstock en Beauce dévoilera sa programmation vendredi  Ma Beauce
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Woodstock en Beauce dévoile sa programmation | JDM - Le Journal de Montréal
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Décès de l'acteur montréalais Pierre Collin - TVA Nouvelles

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  1. Décès de l'acteur montréalais Pierre Collin  TVA Nouvelles
  2. L'acteur Pierre Collin n'est plus  La Presse
  3. L'acteur Pierre Collin est décédé  Radio-Canada.ca
  4. L'acteur Pierre Collin est décédé à l'âge de 85 ans  La Voix de l'Est
  5. Le milieu de la culture perd Pierre Collin  Le Devoir
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Décès de l'acteur montréalais Pierre Collin - TVA Nouvelles
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Friday, July 28, 2023

Fiesta Latina: une grande fête en hommage aux travailleurs étrangers samedi soir à Québec - Le Journal de Québec

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  1. Fiesta Latina: une grande fête en hommage aux travailleurs étrangers samedi soir à Québec  Le Journal de Québec
  2. Une Fiesta Latina pour les travailleurs agricoles  Le Soleil
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Woodstock en Beauce dévoile sa programmation | JDQ - Le Journal de Québec

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  2. Woodstuck en Beauce dévoile sa programmation  Ma Beauce
  3. Woodstock en Beauce dévoile sa programmation  EnBeauce.com
  4. La programmation dévoilée vendredi: retour confirmé pour Woodstock en Beauce  Le Journal de Montréal
  5. Woodstock en Beauce dévoilera sa programmation vendredi  Ma Beauce
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Une Fiesta Latina pour les travailleurs agricoles - Le Soleil

De son souvenir, « c’est la première fois qu’il y a une fiesta comme ça », selon M. Pena Vela. S’exprimant dans un français impeccable, le travailleur agricole se dit très heureux de voir ce type d’événement avoir lieu à Québec, et assure qu’il y sera. « J’ai pas encore parlé à mes collègues, mais je pense qu’ils sont contents », ajoute-t-il. La plupart voudront y être, selon lui, même si plusieurs d’entre eux, comme lui, travailleront le lendemain.

Le directeur de la programmation de l’Agora du Vieux-Port de Québec, Richard Samson, a tenu à organiser une fête gratuite et ouverte à tous samedi le 29 juillet pour rendre hommage à tous ces travailleurs des champs, que les Québécois connaissent si peu. « Ces gens travaillent très dur, 6 jours sur 7, de 8h du matin jusqu’à tard le soir », ajoute-t-il. Autant dire qu’il s’agira pour eux d’une fête bien méritée. M. Samson s’attend à avoir près de 400 travailleurs agricoles samedi soir, sur un public total qu’il souhaite voir s’élever entre 1500 et 2000 personnes.

Richard Samson, directeur de l'Association des gens d'affaires du Vieux-Port de Québec.

« On trouvait que c’était une bonne idée de faire connaître les travailleurs étrangers, surtout de culture latina, qui viennent cultiver nos légumes. C’est des travailleurs essentiels, ils sont presque 4000 dans la région de Québec »

—  Richard Samson

La fiesta commencera à 18h et sera animée par des artistes bien connus de la scène latina de Québec, dont Guillermo Saldana et DJ Raphaël, qui créera une ambiance festive sur « la plus grande piste de danse au monde », affirme M. Samson avec enthousiasme et un brin d’exagération. Des écoles de danse latine de la région seront également présentes et offriront aux volontaires des cours d’initiation. Des tables à cocktail et de la nourriture latina seront également accessibles au public.

Rendre visibles ceux qu’on ne voit jamais

Les samedis soirs, l'Agora du Vieux-Port organise des rumbas calientes sur la rue Saint-Paul, qui attirent de 300 à 400 personnes. (L'appel du large)

L’initiative de l’Agora du Vieux-Port a été accueillie avec enthousiasme par les producteurs maraîchers, dont plusieurs fourniront leurs véhicules pour permettre aux travailleurs de se rendre à la soirée.

À lire aussi

Le RATTMAQ (Réseau d’aide aux travailleuses et travailleurs migrants agricoles du Québec) a collaboré de près à l’organisation de l’événement. Son responsable aux événements, Jason Noble, considère qu’il est très important que la population québécoise prenne contact avec ces travailleurs agricoles, qui sont essentiels à la production locale de fruits et légumes. « Les Québécois, ils les voient des fois se promener en bicycle après leurs heures de travail, mais ils ne savent pas c’est qui réellement, ces personnes-là », explique-t-il.

Il ajoute que les activités de ce type sont très bien reçues chez les travailleurs. « Ils veulent participer, ils ne peuvent pas toujours venir parce qu’ils sont fatigués après le travail, mais ils sont très contents qu’on prenne soin d’eux et qu’on pense à eux. »

Chaque année, près de 4000 migrants latino-américains viennent travailler dans les productions agricoles de la région.

En plus d’offrir de l’information et du soutien aux travailleurs migrants agricoles, le RATTMAQ organise régulièrement des activités sociales pour permettre à ces derniers de se reposer, mais aussi de s’amuser et de prendre contact avec la population québécoise. Cet été, près d’une douzaine d’activités ont été ou seront organisées à travers le Québec, selon M. Noble.

Plusieurs MRC organisent également des tournois de soccer, sport très populaire en Amérique latine, mais aussi des messes en espagnol – « Les Latino-Américains, c’est souvent des gens qui sont très croyants », précise M. Noble.

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Une Fiesta Latina pour les travailleurs agricoles - Le Soleil
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Québec changera ses lois pour rehausser le contenu québécois sur les plateformes en ligne - Le Devoir

Le ministre de la Culture, Mathieu Lacombe, veut voir et entendre davantage de contenu d’ici sur les plateformes en ligne à la Netflix et ...