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Monday, July 31, 2023

Julie Houle a emménagé avec son amoureux des deux dernières années - 7 Jours

Depuis deux ans et demi, Julie Houle construit et vit un bonheur qu’elle partage avec son compagnon, Bernard Grenon. Or voilà qu’ils ont récemment emménagé ensemble, réunissant du coup sept enfants sous un même toit! Grâce à cette belle harmonie et à la nouvelle force qui l’anime, la coanimatrice de La poule aux œufs d’or aborde sa jeune quarantaine le sourire aux lèvres.

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Julie, alors que La poule aux oeufs d’or a fêté sa 30e année en avril, de ton côté, tu es entrée dans la quarantaine et tu sembles plus épanouie que jamais.

Julie: C’est vraiment une belle période pour moi, autant pour La poule que pour ma quarantaine! C’est ma 14e année à travailler sur cette émission, dont les cinq dernières à coanimer avec Sébastien Benoit, et on a vraiment du plaisir à faire ça. En plus, on a pu célébrer ces 30 ans avec un retour à la normale après la pandémie. Ça a fait tellement plaisir de retrouver les participants et le public en studio! On vit des moments exceptionnels sur ce plateau et on s’enligne sur une 31e saison avec encore beaucoup de moments de bonheur à vivre. Tu as eu 41 ans le 14 juin et, dans les dernières années, beaucoup de choses ont changé pour toi. On dirait que la vie t’a donné des ailes.

J.: Je pense que oui, en quelque sorte. Dans ma trentaine, je lisais beaucoup sur le sujet du passage vers la quarantaine et j’entendais des gens parler de cette étape importante, mais la vie continue. Cela dit, c’est vrai qu’il y a eu ce tournant important autour de mes 40 ans. Dans ma vie amoureuse, il y a eu de gros changements, et ça fait maintenant presque trois ans que je suis avec Bernard. 

Et depuis qu’il est dans ma vie, ça bouge pas mal! (rires) Et faire de la moto, est-ce la quarantaine qui t’a aussi menée vers ça?

J.: (Rires) On peut dire ça, oui! Il y a un an, un peu avant ma fête, mon chum m’a lancé: «Julie, on va aller chercher nos permis de moto.» Sur le coup, j’ai ri, mais il était sérieux. Moi, faire de la moto? Il y a trois ans, je n’osais même pas conduire mon auto sur l’autoroute, c’était donc loin d’être un rêve que j’avais. Mon chum me pousse toujours à me dépasser. Il m’a convaincue et, aujourd’hui, j’ai ma moto et j’aime vraiment ça. 

Photo : Julien Faugere / TVA Pu

Quel est le plus grand changement que vous avez vécu depuis que vous êtes en couple?

J.: On a emménagé ensemble il y a quelques mois. On habitait déjà un peu ensemble à temps partiel, alors on savait que la dynamique était très bonne dans notre couple. Mais comme j’ai quatre enfants et que lui en a trois, il fallait savoir comment la famille recomposée allait cohabiter à travers tout ça. Mine de rien, on se retrouve neuf personnes à la maison la semaine où on a nos enfants avec nous, et seuls tous les deux, en amoureux, la semaine suivante. Ça se passe vraiment bien.

Bernard: Julie était un peu plus craintive que moi de passer à cette étape. Elle trouvait que c’était quand même beaucoup de changements à imposer aux enfants. Pour ma part, je voulais qu’on vive ensemble, alors peu importe le nombre d’enfants sous le même toit, je lui disais qu’on allait s’adapter, c’est tout. Que ce soit avec un enfant ou avec sept, je voulais vivre avec ma blonde.

J.: Et il était temps que ça se fasse. Ça faisait deux ans que je vivais dans un grand déséquilibre, car je passais une semaine dans ma maison sur la Rive-Sud avec mes enfants et je m’ennuyais de mon chum. La semaine où j’étais sur la Rive-Nord avec lui, je m’ennuyais de mes enfants. Donc, j’avais toujours de la peine. Pendant une semaine, j’étais une mère, et la semaine d’après, j’étais une blonde. C’était très déséquilibré de vivre ainsi et je n’en pouvais plus de voir la valise bleue que je trimbalais tout le temps. Une fois déménagée chez mon chum, je l’ai brûlée. Un geste symbolique qui m’a fait un grand bien! (rires) Mes enfants vont à l’école sur la Rive-Sud, et quand ils sont chez moi, matin et soir, je vais les reconduire et les chercher. Et malgré tout ce temps passé sur la route, c’est beaucoup moins épuisant que ce que je vivais avant.

Photo : Julien Faugere / TVA Pu

Vous avez pris le temps de bien faire les choses, une étape à la fois.

J.: Oui, ça s’est fait très naturellement et personne ne s’est senti brusqué.

B.: Là, on est heureux tout le monde ensemble. J’avais moi aussi très hâte que tout rentre dans l’ordre, et je lui lève mon chapeau de faire toute cette route en gardant le sourire. (rires)  

J. (se tournant vers Bernard): Et tu aimes bien quand je prends le temps de faire tes entrevues d’embauche pour tes futurs employés (il est entrepreneur en construction) pendant que je suis sur la route, non? (rires)

B.: Oui, je l’apprécie énormément. Julie vient sur mes chantiers, elle m’accompagne beaucoup dans ma compagnie et elle est vraiment bonne. On a même bâti un garage tous les deux. En retour, je suis allé avec elle sur le plateau de La poule aux œufs d’or et j’aime la regarder travailler. 

Vos sept enfants s’entendent-ils bien?

J.: Oui, c’est fou! Depuis les premières journées, on a vu qu’ils s’entendaient tous à merveille. On ne pouvait demander mieux, mais je me disais toujours que c’était plus facile pendant seulement un week-end avec toutes sortes d’activités le fun, mais que ça risquait de devenir moins évident dans un rythme quotidien. Mon chum me répétait tout le temps: «Julie, ça se peut aussi que tout fonctionne super bien même à temps plein.» Et il avait raison!

B.: Il n’y a rien de parfait, mais j’ai trois enfants et je suis entraîneur au hockey, alors j’en gère, des jeunes, et on se dit les vraies affaires.

J.: Je suis très consciente de la chance qu’on a et que tout soit aussi harmonieux dans notre dynamique familiale. Pas de farce, mes enfants s’ennuient des enfants de Bernard s’ils ne sont pas là, et vice versa. Les sept sont complices et font des activités ensemble depuis le tout début. Et Bernard est vraiment bon avec eux, j’ai le partenaire idéal pour vivre tout ça!

B.: Ce n’est pas mêlant, quand ils sont tous ensemble, ils lâchent leurs écrans pour partir en vélo, aller jouer au basket ou au hockey dans la rue, même ma plus grande de 16 ans. Ça en dit long! (rires)

Vous formez une très belle équipe!

B.: Je pense que oui. Je ne suis pas le genre à tirer sur la couverture. Je m’assure toujours que Julie soit bien, car je l’aime, alors je veux l’aider dans tout.

J.: Il y a beaucoup d’humour entre nous. Ça rit tout le temps dans la maison, et là, je parle pour moi, mais mes enfants me voient rire et me sentent heureuse. Tout part de là.

Avez-vous envie d’avoir un enfant ensemble?

B.: Non... euh, non! (rires)

J.: (Rires) Nos enfants ont entre 7 et 16 ans. Nous allons nous concentrer sur notre famille, vivre le moment présent, savourer notre vie de couple, voyager et nous accomplir chacun dans notre carrière.

Photo : Julien Faugere / TVA Pu

Et un mariage peut-être?

J.: (Éclat de rire) On n’est pas rendus là, mais si un jour un mariage arrivait, ce serait surtout pour rassembler ceux qu’on aime dans un gros party et partir en voyage de noces! 

Qu’appréciez le plus l’un chez l’autre?

J.: Dès notre première rencontre, on s’est liés d’une belle amitié et Bernard a toujours été de bon conseil pour moi. Je sais que ça ne paraît peut-être pas, mais je manque vraiment de confiance en moi, et il m’aide beaucoup avec ça. Et sincèrement, son humour est probablement ce que je préfère. On rit tout le temps et ça allège tout ce que la vie peut mettre sur notre chemin. Dans le fond, je suis tombée en amour avec mon meilleur ami. 

B.: J’aime tellement de choses chez elle, mais j’avoue que j’adore l’écouter parler. Je trouve ça beau, comment elle raconte et décrit les choses. Et comme Julie parle beaucoup, je ne m’ennuie jamais. (rires)

C’est surprenant, Julie, de savoir que tu manques de confiance en toi. Tu ne dégages pas ça.

J.: Et pourtant! Je ne suis pas du tout le genre à vouloir flasher ou à me mettre en avant, mais Bernard m’encourage à m’affirmer et à prendre des décisions. Je crois que, dans ma quarantaine, j’ai envie d’oser dire ce que je veux ou ce que je pense plus souvent. La peur de me faire dire non, disons que je travaille vraiment là-dessus. 

Photo : Julien Faugere / TVA Pu

Et sur le plan professionnel, quel projet t’inspirerait?

J.: J’adorerais faire de la radio. J’ai fait du remplacement lorsque je vivais à Québec et j’ai adoré l’expérience. Il y a quelques années, je devais faire partie de l’équipe du matin pour une station. Finalement, je suis tombée enceinte de mon troisième enfant et j’ai dû renoncer à cette belle opportunité, mais je souhaite qu’elle se présente à nouveau. J’ai aussi envie de vivre un projet avec mon chum. Comme on a une très belle complicité, je sens qu’on ferait un excellent duo à la télé. Certaines choses ont été proposées et rien n’a encore débouché, mais je continue d’y croire, car je sens qu’on donnerait un foutu bon show! (rires)

La poule aux œufs d’or sera de retour le dimanche 10 septembre à 17 h 30, à TVA. Julie coanimera Dave & Julie, avec Dave Morissette, de 5 h 30 à 8 h 30, à Rythme FM, dès le 31 juillet.

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