C’est lors de son passage àTout le monde en parle, dimanche soir dernier, que le comédien Éric Bruneau a confié avoir failli refuser un bien grand rôle.
Au fait, celui que l’on peut voir dans Virage: double faute, tiendra la vedette du prochain film du cinéaste Raymond St-Jean, Crépuscule pour un tueur... mais ça a bien failli ne pas être le cas!
Dans ce drame criminel librement inspiré de la vie du tueur à gages Donald Lavoie, Bruneau incarne le tueur à gages lui-même. Un rôle qui promet de le faire briller au grand écran, mais qu’il a pourtant bien failli refuser, ne voulant pas glorifier un criminel.
Rappelons que Donald Lavoie, tueur à gages de Montréal au sein des frères Dubois, rivaux d’une famille mafieuse, a tué au moins 27 personnes en 1975. Une période particulièrement violente pour le Canada si l’on compare avec les années récentes.
«Il y a quelque chose comme 120, 125 meurtres par année. En 2015, je pense qu’il y en a eu 19. Pis, il y a comme trois vols de banque, donc c’est vraiment le Far West. Montréal est divisé. La main, c’est les Italiens qui l’ont. L’Est, c’est un clan québécois, les Irlandais sont dans l’Ouest, pis dans le Sud-Ouest, c’est les Dubois, qui sont à peu près 200. Au cœur de cette organisation-là, il y a Donald Lavoie qui est leur tueur à gages principal», expliquait le comédien en guise de mise en contexte.
Bruneau assure que la quête du long métrage est de tenter de mettre en lumière la raison pour laquelle Donald Lavoie a commis ces terribles gestes qui recourent à une grande violence.
Crépuscule pour un tueur prendra l’affiche partout en province dès le 10 mars prochain.
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Occupation double rime maintenant avec animation double. Le couple formé par la chanteuse Alicia Moffet et l’entrepreneur Frédérick Robichaud, découvert dans OD dans l’Ouest, s’installera aux commandes de la populaire téléréalité Cupidon de Noovo l’automne prochain, ai-je appris.
Le contrôle de ce jeu des tops 1-2-3 passe donc des mains manucurées d’un millénarial, Jay Du Temple, à celles de deux membres de la génération Z, qui héritent des rôles de Lady Pagaille et de Capitaine Twist.
« Alicia et Fred n’ont pas essayé d’imiter les anciens animateurs d’Occupation double. En même temps, ils avaient un petit ton décalé bien à eux. Ils sont naturels à la caméra. Alicia n’est pas du tout dans le contrôle de l’image, elle est relax et ça la rend attachante. Fred connaît plus OD que nous autres. Il est super drôle. On l’a déstabilisé en audition et tout de suite il savait quoi répondre », détaille la productrice d’Occupation double, Julie Snyder, que j’ai jointe lundi soir à Paris.
Ensemble depuis l’automne 2021, Alicia Moffet, 24 ans, qui a chanté le mégasuccès Ciel avec le rappeur FouKi, et Frédérick Robichaud, 25 ans, qui a chroniqué à l’émission Bonsoir bonsoir ! l’été dernier, ont accumulé des centaines de milliers d’abonnés sur Instagram et TikTok. Leur audition pour OD a eu lieu à la fin janvier, en circuit fermé. La production a alors plongé Alicia et Fred dans des situations corsées, avec de faux concurrents, pour vérifier leur aisance et leur spontanéité. Ils ont impressionné autant l’équipe de Productions J que les patronnes chez Bell Média.
À l’annonce de la retraite de Jay Du Temple, beaucoup de candidats ont levé la main pour piloter OD, mais seuls Alicia Moffet et Frédérick Robichaud ont fait les bouts d’essai, souligne Julie Snyder. Après l’audition de trois heures, Julie Snyder les a invités à un dîner célébratoire chez elle en les obligeant à se faufiler par le garage afin que personne ne les croise à l’extérieur de l’édifice. C’est qu’un des voisins immédiats de la démone anime une émission très très écoutée au 98,5 FM.
« Une femme qui veut tromper son mari n’aurait pas pris autant de précautions », blague Julie Snyder au bout du fil. Pour éviter les fuites médiatiques, la production appelait toujours Alicia et Fred par leur nom de code : les grenouilles.
Le prochain chapitre d’Occupation double, dont la destination n’a pas été révélée, s’éloignera des influenceurs en quête d’abonnés et de visibilité sur les réseaux sociaux (adieu donc les Mégane et leurs selles à 6000 balles).
On veut revenir aux sources d’OD et retrouver l’essence de l’émission, soit celle de trouver l’amour. Notre gâteau était bon, mais on enlève du crémage. On va partir en tournée de recrutement à travers le Québec, en présentiel, le processus ne se déroulera pas uniquement sur l’internet. On veut mieux servir la diversité culturelle, la diversité corporelle et la diversité régionale.
Julie Snyder, productrice
Alicia Moffet et Frédérick Robichaud, deux fans finis d’OD, ne s’attendaient jamais à recevoir cet appel de Productions J. « J’ai vraiment trippé avec l’équipe de Bonsoir bonsoir !, mais je n’avais jamais pensé à animer Occupation double. Mais comme j’ai vécu les situations et les soupers d’élimination d’OD, je vais comprendre comment les candidats se sentent. Et comment mieux représenter l’amour que par un couple qui s’aime ? » demande Frédérick Robichaud, qui a été élu coup de cœur du public lors de l’édition d’OD dans l’Ouest à l’automne 2021.
Fred, qui a popularisé l’expression « carrosse de carrosse », a fait partie de la fameuse cohorte du poulet dans le grille-pain, des avions en pita et de « t’es un soleil, man ».
Révélée à La voix de TVA en 2015, Alicia Moffet aura bouclé la tournée de son mini-album Intertwine avant de s’envoler pour OD.
Fred et moi sommes deux personnes qui ne se prennent pas au sérieux et on fait souvent les clowns, tout en étant capables de travailler quand c’est le temps.
Alicia Moffet, coanimatrice
En entrevue, Julie Snyder couvre de fleurs ses deux nouvelles recrues, qui acceptent un mandat peu évident, soit celui de succéder à un animateur très aimé, qui a injecté toutes ses couleurs à la téléréalité de Noovo.
« Fred, c’est un travaillant. Il a cofondé son entreprise de bijoux et il termine son baccalauréat en marketing. Alicia m’a éblouie. Le public et la critique l’adorent. Elle étonne autant sur scène que dans sa vie quotidienne », note Julie Snyder.
À Paris pour quelques jours, Julie Snyder en profite pour tourner des topos pour La semaine des 4 Julie. Elle a notamment interviewé l’excellente actrice française Philippine Leroy-Beaulieu, qui incarne la chic et féroce Sylvie dans la comédie Emily in Paris de Netflix.
L’émission s’appelle Emily in Paris mais aurait dû porter le titre de Sylvie in Paris tellement son interprète y brille. Même le New York Times l’a encensée.
La rencontre entre Julie et Sylvie, pardon, entre Julie et Philippine passera dans l’épisode du 8 mars pour célébrer ces femmes fatales qui, comme Sylvie, foncent et ont du fun.
Au cours des derniers jours, le couple de comédiens Frédéric Millaire Zouvi et Stéphanie Germain est devenu parents pour la première fois et ils ont tous les deux dévoilé l’adorable binette de Bébé.
Mercredi dernier, par l’entremise de leur compte Instagram, ceux que l’on voit de plus en plus dans nos séries télé québécoises préférées ont effectivement dévoilé de jolis clichés du nouveau-né.
Sur le réseau social de celle qui interprète brillamment le personnage de Solène Cournoyer dans la populaire série télévisée de Radio-Canada, 5e rang, a partagé une adorable photo de son petit garçon et il est complètement mignon!
De son côté, l’interprète de Manuel Audet, le policier mal aimé dans Alertes, et de Jean-Michel Lanctôt dans 5e rang, partageait une première photo de fiston sur Instagram et le cliché est tout simplement adorable.
Même si l'oeuvre a été jouée à de nombreuses reprises par le passé, l'une des représentations du spectacle de marionnettes pour enfants L’incroyable secret de Barbe Noire, du conteur Franck Sylvestre, vient d’être annulée à la suite de plaintes de résidents de l’ouest de l'île de Montréal. Ceux-ci allèguent que le personnage de la marionnette est offensant.
Une représentation est prévue le 26 février à Pointe-Claire; une autre, organisée le lendemain à Beaconsfield, a été annulée en raison de la controverse.
Les détracteurs, membres de la communauté noire, ont dénoncé une apparence de blackface, et ce, même si l’artiste est lui-même d’origine martiniquaise, qu’il s’agit d’une caricature le personnifiant et que l'exercice nécessite d’accentuer et d’exagérer les caractéristiques du modèle sans le rabaisser.
En cause, on retrouve plusieurs éléments qui tournent autour de l’apparence de la marionnette, jugée laide par certains, a expliqué M. Sylvestre à Tout un matin, vendredi, sur les ondes d’ICI Première.
Tout part de ma marionnette, a-t-il expliqué, ma marionnette qu’ils considèrent laide, qu’ils disent qu’elle est une mauvaise représentation des Noirs, qu’elle pourrait laisser une mauvaise image dans l’esprit de gens qui n’ont jamais rencontré de Noirs et promouvoir finalement le fameux blackface.
C’est un principe théâtral, dit-il, de construire un personnage fort.
On est à l’opposé du blackface, assure l’artiste, qui dit que sa marionnette est celle qui résout l’histoire, c’est celle dénoue [des situations]. C’est la plus intelligente!
« Ce qui m’embête c’est qu’on sort ma marionnette de son contexte, de son spectacle, de l’incroyable succès de Barbe-Noire. »
L’histoire a commencé à la suite d’une promotion locale de la pièce, dont le contenu a eu l’heur d’irriter certains résidents. La grogne s’est ensuite transportée sur les médias sociaux, où l’affaire a gagné en clics.
Pour le moment, l’événement prévu à Pointe-Claire est maintenu, mais la communauté n'en démord pas et demande aussi son annulation. Le conseil municipal a réclamé des explications à l’auteur avant de prendre position.
En conférence de presse, vendredi matin, les représentants des communautés noires du West Island, notamment de l’Association de la communauté noire de l’Ouest-de-l’Île, n’entendaient pas à rire. Ils ont ainsi dénoncé plusieurs événements récents qui, de leur avis, leur font du tort et ravivent des blessures du passé, citant un sketch au Bye-Bye entre autres éléments blessants.
Joel Debellefeuille, fondateur de Red Coalition, a de fait évoqué le manque de jugement de la Ville de Pointe-Claire lorsqu’elle a programmé le spectacle.
L’ex-policier Alain Babineau était aussi présent à la conférence; celui-ci n'a pas mâché ses mots, affirmant qu'en 2023, le racisme systémique, parce que c'est de cela qu'il est question, à son avis, ne passe plus. Il a aussi soutenu que le blackface pouvait être le fait de personnes noires.
Il y avait à peine quelques heures que TVA avait annoncéla fin de sontalk-show La tour,mercredi après-midi, que Patrick Huard foulait le tapis bleu de la grande première montréalaise du filmLe plongeur, au Théâtre Maisonneuve de la Place des Arts, en compagnie de sa bien-aimée Anik Jean.
Le comédien n’est certes plus à la barre du rendez-vous quotidien de début de soirée depuis l’automne; c’est Gildor Roy qui animeLa tourdepuis septembre dernier, avec la participation de ses « voisins », Alexandre Barrette et Hélène Bourgeois-Leclerc.
Mais Patrick Huard est celui qui a lancéLa tourà l’automne 2020, qui en a été l’hôte pendant deux ans et qui a donné toute sa couleur au concept. Les entretiens sous forme de discussions décontractées, la spontanéité, le vaste horizon de sujets abordés, l’idée du loft, c’était d’abord le style de Patrick Huard, ensuite parti se consacrer à d’autres projets, dont l’animation deLOL : Qui rira le derniersur Amazon Prime Video. Heureusement, Gildor Roy a rattrapé à merveille la balle au bond et s’est approprié le format deLa tour, qui lui ressemblait de toute façon et lui va comme un gant.
Mais, en tant qu’âme créatrice deLa tour,Patrick Huard a-t-il ressenti un pincement au coeur en apprenant que TVA écartait l’émission de sa grille de la rentrée 2023?
Le principal intéressé s’est montré très peu nostalgique quandShowbizz.netlui a posé la question, à la première duPlongeur,qui lançait également la 41e édition desRendez-vous Québec Cinéma (RVQC).
« C’est sûr que je suis triste. Mais, moi, quand je fais mon deuil de quelque chose, ça ne m’appartient plus. Ça appartenait maintenant à la nouvelle gang. C’est pour eux que je trouve ça difficile. Moi, mon deuil est fait depuis l’année passée. »
Patrick Huard dit ne pas avoir regardé du tout la nouvelle mouture deLa touravec Gildor Roy et ne pas avoir envie de commenter sa « succession » à la façon d’une « belle-mère ».
« Toutes ces choses, je veux les garder intactes pour moi. Je ne veux pas devenir une "matante" dans mon salon qui dit : "Il n’aurait pas dû faire ça de même". Je n’ai jamais vu les adaptations de "Starbuck", ni les "remakes" des "Trois petits cochons". Moi, j’ai vécu quelque chose quand j’étais là. Donc, ça reste ça, et je me protège. »
Pour l’heure, Patrick Huard dit avoir des idées en développement et dédie beaucoup de temps à la finition du film de son amoureuse, Anik Jean,Les hommes de ma mère, qui met en vedette Léane Labrèche-Dor, Jean-Simon Leduc, Emma Lafrenière, Colm Feore, Marc Messier,Isabel Richer,Benoît Gouin,Benoît Brière, Anne-Marie Cadieux et Sandrine Bisson, en plus de Patrick Huard lui-même. La réalisatrice espère voir son premier long métrage emprunter le circuit des festivals (Cannes, Toronto ou Venise, notamment). La date de sortie desHommes de ma mèresera annoncée suivant la sélection de l’oeuvre dans l’un ou l’autre de ces événements.
Première du filmLe plongeuraux 41e Rendez-vous Québec Cinéma (RVQC)
En effet, on apprend ce mercredi que les comédiens originaux seront de retour pour présenter six nouveaux épisodes, écrits par Claude Meunier, nous permettant de découvrir ce qu'est devenue la famille Paré en 2023. Rod fait-il toujours son lavage chez ses parents? Rénald travaille-t-il toujours à la Caisse populaire? Quelle cause Caro défend-t-elle désormais?
Claude Meunier sera accompagné par presque tous les membres de la distribution originale, soit Diane Lavallée (Thérèse), Marc Messier (Réjean), Marc Labrèche (Rénald), Josée Deschênes (Lison), Guylaine Tremblay (Caro), BernardFortin (Rod), Rémy Girard (Pogo) et Sylvie Potvin (Linda).
C'est le 16 octobre 1993 que le premier épisode de La petite vie est débarqué à la télévision québécoise, et l'émission demeure encore à ce jour un des plus grands succès de la télé d'ici. Et près de 30 ans plus tard, sa popularité se fait encore ressentir alors que les reprises, diffusées à Radio-Canada, rejoignent encore 600 000 personnes chaque semaine.
Les six épisodes seront en ligne sur l'extra d'ICI Tou.tv en 2023-2024.
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Si Pier-Luc Funk n’atterrit pas dans les catégories d’interprétation non genrées du prochain gala des prix Gémeaux, Houston, nous avons un problème (ou un tartare de saumon servi au Centropolis de Laval, c’est selon).
L’acteur de 28 ans offre une performance époustouflante dans la quatrième saison de l’excellente minisérie Plan B, qui débarque jeudi sur l’Extra de Tou.TV. Il y campe le torturé Jessy Bonin, un bum de 23 ans qui sort de prison pour un vol dans un magasin d’électronique.
Ce jeune homme complexe défendu par Pier-Luc Funk est à la fois charmant et odieux, vulnérable et dégueulasse, violent et attachant. D’un épisode à l’autre, le talentueux Pier-Luc Funk passe ainsi d’un trou de cul fini à un adulte en détresse que l’on aurait le goût de serrer dans ses bras.
J’ai vu les six épisodes d’une heure de ce quatrième chapitre de Plan B et, contrairement à Mégantic qui se visionne en doses homéopathiques, cette œuvre touffue et dure de Jean-François Asselin et Jacques Drolet encourage la boulimie télévisuelle. Comme dans les éditions précédentes, les épisodes regorgent de détails intrigants et l’histoire nous happe au point où l’on veut savoir comment elle va finir, pour l’amour du saint ciel.
Et non, pas besoin d’avoir vu les trois volets antérieurs pour embarquer dans cet univers foisonnant, enrobé d’un chouïa de science-fiction. Juste savoir qu’il existe une entreprise – la fameuse société Plan B – qui permet à ses utilisateurs de remonter dans le temps pour corriger des erreurs ou éviter des drames.
Plan B 4 repose sur une énorme question : peut-on s’extraire d’un milieu de vie pourri, surmonter ses traumatismes et vivre dans un certain équilibre ? Ou porte-t-on à jamais les stigmates de la pauvreté, de l’abandon et du manque d’éducation ?
Revoici donc notre protagoniste Jessy (Pier-Luc Funk), qui habite dans un HLM défoncé d’Hochelaga-Maisonneuve avec son père Jocelyn (très juste Patrice Robitaille), un homme brisé, casanier, désabusé et obsédé par le fric qu’il n’a pas.
La mère de Jessy, la serveuse de casse-croûte Sandra (bouleversante Évelyne Rompré), est accro à l’héroïne et se prostitue pour payer ses doses. Comme dirait un coucou sur Twitter : sa va po ben.
Jessy croit que l’argent recollera les morceaux de sa famille disloquée. Il multiplie donc les larcins pour s’enrichir et croise de nouveau la route des frères Dupuis, Dany et Sylvain, deux petits caïds joués par Marc Beaupré et Guillaume Laurin. Au palmarès de la mauvaise influence, les frères Dupuis scorent très fort.
Dans sa spirale criminelle, Jessy entraîne également le sympathique et naïf Dave (Étienne Galloy), son meilleur ami qui habite le même immeuble, où tous les locataires survivent grâce à l’aide sociale.
Les deux premiers épisodes renferment des séquences très difficiles de prostitution, de négligence et de mort. Ça se tapoche tout le temps, ça s’apostrophe à coups de « crisse de fif » et ça se traite comme de la marde, n’ayons pas peur des mots.
Puis, Jessy tombe par hasard sur l’agence Plan B pendant un évènement qui bousillerait votre écoute si je l’expliquais en détail. Sans rien divulgâcher, sachez que Jessy revisitera son passé pour a) se sortir du trou, b) gagner beaucoup de sous et c) retrouver l’affection de ses parents.
À propos des punchs, le cinquième épisode en renferme un super étonnant, qui ne fait pas du tout gadget ou bébelle. Au visionnement de presse mardi matin, personne ne l’avait vu venir et il est exécuté de façon habile.
Il existe même deux personnages pivots dans la série dont on ne peut dévoiler l’existence – ou leurs interprètes – afin de préserver un secret important de l’intrigue.
Si vous êtes fans de cette franchise, vous reconnaîtrez en souriant plusieurs clins d’œil aux saisons précédentes, comme le veut la tradition implantée par le réalisateur Jean-François Asselin.
Et ça saute aux yeux dès les premières minutes de Plan B 4 : Jessy court toujours. Il court après l’amour de sa mère, il court après des chèques, il court après un emploi, il court après ses souvenirs, il court après le trouble. Cours, Jessy, cours !
La scène qui montre et explique d’où provient ce désir de fuite en avant vous remplira les yeux d’eau. C’est très, très bon.
La téléréalité au top du top
TVA a décroché l’audience la plus costaude du dimanche soir en présentant la téléréalité Sortez-moi d’ici !, qui a intéressé 1 624 000 curieux. Les vedettes catapultées dans la jungle ont battu la première ronde des duels de La voix, dont la cote d’écoute a été estimée à 1 497 000 téléspectateurs.
Big Brother Célébrités, qui vise un public similaire, n’a pas trop souffert de la présence de Sortez-moi d’ici ! avec ses 692 000 fidèles au poste. À Radio-Canada, la grand-messe de Tout le monde en parle a été célébrée en présence de 804 000 adeptes, soit légèrement moins que les 822 000 personnes qui ont syntonisé La vraie nature à TVA.
Sur Twitter, la star de 64 ans a partagé une photo sur laquelle ont peut la voir avec des tresses, un jean déchiré et une casquette avec les mots «SPIRITUALLY HUNGRY» dessus. En légende, la chanteuse a écrit ceci: «Regardez comme je suis mignonne maintenant que le gonflement dû à la chirurgie s'estompe.»
«Au lieu de se concentrer sur ce que j’ai dit dans mon discours − qui consistait à remercier le courage d’artistes comme Sam et Kim −, beaucoup de gens ont choisi de ne parler que des photos en gros plan de moi prises avec un appareil à objectif long par un photographe professionnel. Cela déformerait le visage de n’importe qui!!», avait-elle regretté sur Instagram après le gala.
«Une fois de plus, je suis prise dans le prisme de l'âgisme et de la misogynie qui imprègne le monde dans lequel nous vivons, avait-elle ajouté. Je ne me suis jamais excusée pour aucun de mes choix créatifs ni pour mon apparence ou ma tenue vestimentaire et je ne vais pas commencer maintenant.»
Sport, science, histoire, cinéma. Félix Tétreault, champion de 100 génies, invite les jeunes de 4e à 6e année à mettre leurs connaissances générales à l’épreuve avec ce quiz qu’il a préparé. Avertissement : n’hésitez pas à demander l’aide d’un plus grand !
«Le 27 janvier j’ai eu une très grosse opération à ma mâchoire du bas pour la simple et unique raison qu’elle était trop reculée. Je me porte beaucoup mieux qu’il y a 2 semaines mais je ne posterai pas de nouvelles photos avec mon visage, jusqu’à temps qu’il retrouve sa forme normale ❣️», dévoile-t-il sur Instagram.
Il ajoute: «Ma mâchoire était trop reculée et si on la réparait pas maintenant, j’allais avoir des problèmes plus tard!»
Utilisez la flèche à droite pour découvrir toutes les photos du carrousel!
Le collègue Maxime Truman a publié quelques petites nouvelles au sujet de la famille Price en début d’après-midi dimanche, et celles-ci demeurent certes captivantes: Angela a déposé sur Instagram le désir de la famille de revenir régulièrement à Montréal après son déménagement dans l’Ouest. En plus de ça, leurs enfants continueront à apprendre le français loin du Québec.
Angela Price a confié sur Instagram que Carey et elle reviendront relativement souvent à MTL après leur déménagement dans l’ouest (prévu pour l’été 2023).
Leurs enfants continueront également d’apprendre le français, même loin du Québec. pic.twitter.com/qnN1ALW5Vw
Rappelons qu’il y a quelques semaines, Angela a confirmé le déménagement de la famille vers l’Ouest à la suite de la saison actuelle, indiquant par la bande la retraite non-officielle du cerbère qui arborait le numéro 31.
Angela est très volubile sur son compte Instagram et elle livre souvent des petites exclusivités que Carey n’oserait jamais faire. Carey est plutôt un humain très discret.
Soulignons que cette retraite déguisée ne semble pas faire le bonheur de Patrick Roy, qui a vivement précisé que ce ne serait pas son genre de plaider une blessure et ne plus jamais jouer. Le Roy s’est carrément retiré quand la santé physique était assez affectée pour nuire à ses performances.
«J’aimais mieux prendre ma retraite, que de dire: J’ai mal à une jambe, payez-moi!»
Le Roy a déposé cette déclaration sur les ondes de BPM Sports, alors qu’il se retrouvait au show de Jean-Charles, soit le Premier conteur. Honnêtement, c’est difficile de ne pas percevoir une pointe directe à Carey Price et Shea Weber, n’est-ce pas?
Cela dit, une fois la famille de retour dans l’Ouest, celle-ci pourra compter sur les parents de Carey pour les aider et les supporter avec leurs jeunes enfants, ce qui n’est pas négligeable.
– Excellent entretien au sujet du hockey «malade».
Ce matin, on a parlé avec des parents de jeunes joueurs de hockey. Des témoignages éclairants sur la réalité en 2023 : les horreurs du passé ont de moins en moins leur place aujourd’hui.