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Wednesday, May 31, 2023

Fête nationale: Patrick Norman sur les plaines d'Abraham pour une dernière fois - Le Journal de Québec

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[VIDÉOS] Ce Québécois tentera de faire le «moonwalk» pendant plus de trois heures, afin de battre un record Guiness datant de 2011 - TVA Nouvelles

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[VIDÉOS] Ce Québécois tentera de faire le «moonwalk» pendant plus de trois heures, afin de battre un record Guiness datant de 2011  TVA Nouvelles
[VIDÉOS] Ce Québécois tentera de faire le «moonwalk» pendant plus de trois heures, afin de battre un record Guiness datant de 2011 - TVA Nouvelles
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Ginette Reno forcée d'annuler sa présence à un événement pour des raisons de santé - 7 Jours

Ginette Reno a été forcée d’annuler sa participation au Festival du film de l’Outaouais en raison d’ennuis de santé.

• À lire aussi: 19 révélations surprenantes entendues dans l’entrevue de Ginette Reno et de Paul Arcand

• À lire aussi: Ginette Reno s’exprime sur sa relation avec le pardon et révèle avoir été victime d’abus et de viols

«C’est avec regret que je dois annuler ma participation au Festival du Film de l’Outaouais. Des ennuis de santé de nature articulaire me font beaucoup souffrir et m’empêchent malheureusement de me déplacer. Je me faisais une grande joie d’être présidente d’honneur de ce bel événement cette année. Je serai avec vous de tout cœur et souhaite à tous et à toutes un très bon Festival», a expliqué la chanteuse, dans un communiqué partagé par les organisateurs de l’événement.

Ginette Reno était attendue en Outaouais pour une leçon de cinéma, le 3 juin. 

Elle devait aussi assister à la projection du film Léolo, de Jean-Claude Lauzon, un classique du cinéma québécois dans lequel Mme Reno tenait un des rôles principaux.

À VOIR AUSSI: Découvrez les vrais noms de ces vedettes québécoises

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Ginette Reno forcée d'annuler sa présence à un événement pour des raisons de santé - 7 Jours
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René-Charles Angélil serait en chicane avec sa mère Céline Dion - Noovo Moi

René-Charles a récemment quitté le nid familial pour aller vivre avec sa copine. Et depuis, il ne prend presque plus de nouvelles de sa mère qui a plusieurs problèmes de santé depuis les derniers mois. 

Même si le jeune homme de 22 ans habite désormais à 30 minutes de la maison familiale, il ne se préoccupe plus de l’état de santé de Céline d’après Closer. En plus de gérer ses problèmes de santé, Céline doit aussi s’occuper de ses problèmes familiaux. 

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René-Charles Angélil serait en chicane avec sa mère Céline Dion - Noovo Moi
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De grands changements pour certains signes du zodiaque au mois de juin - Goopilation

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Ce mois de juin, il vaut de l’or ! Et pour cause, le quotidien des 12 signes du zodiaque va évoluer de manière incroyable. Cette série d’énergies en mouvement va influencer les relations, les choix de carrière et les décisions personnelles.

Enfin du positif pour ces signes !

Le premier de ce classeent de signes, c’est le Bélier (21 mars – 19 avril)

Nettement plus introspectifs que d’habitude, ils vont devoir prendre une décision importante. Quoi qu’il arrive, ils ont les capacités intellectuelles nécessaires pour s’en sortir sans y trop y laisser des plumes. Recul, méditation, ils vont ressortir grandis de cette expérience.

Le Taureau (20 avril – 20 mai) 

Pour la première fois, ces signes sentent la chance tourner en leur faveur. En effet, un énorme chamboulement dans leur carrière se profile. Par exemple, la tentation de quitter leur emploi actuel leur pend au bout du nez. Ce parfum de renouveau est plus que jamais appréciable. De fait, il leur permettra de peser le pour et le contre.

Le Gémeaux (21 mai – 20 juin)

Aïe, y’a de la tension dans l’air de ces signes ! Si vous souhaitez que ça change, vous devez renouer avec l’être aimé. C’est l’évidence, plus vous parviendrez à dénouer les nœuds de ces quiproquos, plus vite la complicité d’autan et la confiance reviendront au galop. À lire Les signes du zodiaque les plus vengeurs, évitez de les provoquer

Le Cancer (21 juin – 22 juillet)

L’équilibre de la famille est entre les mains de ces signes. En cette période de turbulences économiques, leurs efforts vont-ils payer ? S’ils y mettent du leur, tout devrait rentrer dans l’ordre avant la rentrée.

Ces signes ont un train d’avance sur les autres : Le Lion (23 juillet – 22 août)

Créatifs dans l’âme, plus intelligents que la moyenne, ces signes ont plus d’un tour dans leur sac. D’ailleurs, le fait qu’ils ne supportent pas de s’ennuyer devrait enfin jouer en leur faveur.

La Vierge (23 août – 22 septembre)

Trop souvent focalisés sur l’aspect pratique des choses, ces signes ignorent comment résoudre les imprévus de dernière minute. Heureusement, ils vont rebondir juste à temps afin repartir du bon pied.

La Balance (23 septembre – 22 octobre)

Mis au pied du mur, ces signes vont devoir faire preuve de logique. À force d’écouter tous les points de vue, ils finissent par se forger une opinion en titane. Courage, amis Balances, on est avec vous !

Le Scorpion (23 octobre – 21 novembre) 

Spirituels dans l’âme, ces signes ont l’impression d’étouffer de l’intérieur. Et s’ils profitaient de la saison estivale pour tout recommencer à zéro ? Cette reconnexion aux petits bonheurs simples de la vie est primordial. À lire Les trois signes qui pourraient avoir un mois de juin difficile

Le Sagittaire (22 novembre – 21 décembre)

Que de défis amoureux attendent ces signes ! Si on les avait prévenus, ils n’y auraient jamais cru. Qu’à cela ne tienne, joueurs dans l’âme, ils devraient arriver à démêler le vrai du faux. 

Le Capricorne (22 décembre – 19 janvier) 

Chers natifs de début d’année, faites confiance à votre intuition. Aujourd’hui et demain, ces signes devraient se jeter à l’eau afin de poursuivre leurs efforts vers de nouveaux horizons.

Le Verseau (20 janvier – 18 février)

Bienveillants, ces signes ont un seul objectif : s’impliquer davantage dans leur communauté. Amis, connaissances, voisins, ils ont besoin de votre soutien et votre empathie.

Le dernier signe de ce top, c’est le Poissons (19 février – 20 mars) 

À force de toujours prendre soin des autres, ces signes s’oublient. Dès début juin, explorez de différentes pratiques de bien-être afin de travailler sur votre santé mentale et émotionnelle.

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De grands changements pour certains signes du zodiaque au mois de juin - Goopilation
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Tuesday, May 30, 2023

Michel Sardou au Centre Bell et au Centre Vidéotron en octobre - Le Journal de Québec

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  1. Michel Sardou au Centre Bell et au Centre Vidéotron en octobre  Le Journal de Québec
  2. Michel Sardou en concert à Montréal et à Québec en octobre  La Presse
  3. Michel Sardou à Montréal et à Québec au mois d'octobre  Radio-Canada.ca
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Michel Sardou au Centre Bell et au Centre Vidéotron en octobre - Le Journal de Québec
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René-Charles Angélil aurait coupé les ponts avec Céline Dion - 7 Jours

Selon ce que rapporte le site Closer, Céline Dion et son fils, René-Charles Angélil seraient en conflit, au point où le jeune homme aurait coupé les ponts avec sa mère.

• À lire aussi: René-Charles Angélil est en couple

• À lire aussi: René-Charles Angélil s’offre une voiture de luxe d'une valeur de 350 000$

Dans un article publié récemment, le média français explique que selon leurs informations, la relation entre Céline et René-Charles se serait effritée au cours des derniers temps, et que le duo entretiendrait depuis «des rapports difficiles». La cause de cette tension? Il semblerait que ce soit sa relation avec sa nouvelle copine, Angélique Weckenmann.

Ayant récemment emménagé avec elle, toujours selon les informations recueillies par Closer, René-Charles serait négativement influencé par sa nouvelle douce, selon sa célèbre maman, qui n'apprécierait pas qu'il passe ses journées à ne rien faire. La désapprobation de l'interprète de My Heart Will Go On et le désir d'indépendance de son fiston ne feraient pas bon ménage, tellement que ce dernier aurait décidé de couper les ponts.

Le site rapporte également que l'aîné de la diva de Charlemagne aurait des problèmes de jeux d'argent en ligne.

• À lire aussi: 4 nouvelles chansons de Céline Dion sont maintenant disponibles

• À lire aussi: Julie Le Breton crée l’émoi sur les réseaux sociaux en avouant ne pas aimer Céline Dion

Rappelons qu'en plus de ces problèmes personnels, la vie professionnelle de Céline Dion en prend aussi un coup par les temps qui courent. En effet, après le flop du film Love Again, dans lequel elle joue son propre rôle, elle a récemment annulé tous ses concerts jusqu'en 2024 en raison du syndrome de la personne raide, duquel elle est atteinte.

Il s'agit évidemment de rumeurs, mais sa situation étant déjà assez difficile ainsi, on souhaite à la récipiendaire de sept Grammy d'éventuellement recoller les morceaux avec son garçon.

Via Closer

À VOIR AUSSI: 30 looks mémorables de Céline Dion depuis le début de sa carrière

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René-Charles Angélil aurait coupé les ponts avec Céline Dion - 7 Jours
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Décès de Michel Côté: la mairesse d'Alma promet un hommage significatif - Le Journal de Québec

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  1. Décès de Michel Côté: la mairesse d'Alma promet un hommage significatif  Le Journal de Québec
  2. Décès de Michel Côté : entrevues avec Claude Meunier, Marc Messier et Louis-José Houde  Radio-Canada Info
  3. Michel Côté, le plus grand  Le Soleil
  4. Entrevue avec la productrice Denise Robert | «Toute son humanité passait à travers les personnages qu'il jouait»  98.5 Montréal
  5. 24•60 | Décès de Michel Côté : entrevue avec Danielle Proulx  Radio-Canada Info
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Décès de Michel Côté: la mairesse d'Alma promet un hommage significatif - Le Journal de Québec
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Monday, May 29, 2023

Décès de Michel Côté: «C'était comme un frère» – Dino Tavarone - Le Journal de Québec

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  1. Décès de Michel Côté: «C'était comme un frère» – Dino Tavarone  Le Journal de Québec
  2. Michel Côté, acteur chouchou des Québécois, s'est éteint à 72 ans  Le Journal de Montréal
  3. «Notre capitaine a levé les pattes» -Marc Messier  TVA Nouvelles
  4. Entrevue avec la productrice Denise Robert | «Toute son humanité passait à travers les personnages qu'il jouait»  98.5 Montréal
  5. Lise Dion parle de son ami Michel Côté: «Véronique ne voulait pas qu'il se laisse aller»  Le Journal de Québec
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Décès de Michel Côté: «C'était comme un frère» – Dino Tavarone - Le Journal de Québec
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Fête nationale: Marjo, Garou, P'tit Béliveau et Fouki feront partie de la fête! - Le Journal de Montréal

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  1. Fête nationale: Marjo, Garou, P'tit Béliveau et Fouki feront partie de la fête!  Le Journal de Montréal
  2. Marjo, Garou et FouKi au Grand spectacle de la fête nationale du Québec à Montréal  Radio-Canada.ca
  3. Grand Spectacle de la fête nationale | Marjo, Garou, Fouki, Souldia et d'autres au parc Maisonneuve le 24 juin  La Presse
  4. La Fête nationale de Rimouski vous invite à « entrer dans la danse »  Radio-Canada.ca
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Fête nationale: Marjo, Garou, P'tit Béliveau et Fouki feront partie de la fête! - Le Journal de Montréal
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Sunday, May 28, 2023

Festival Fuego Fuego | La fièvre latino s'empare de Montréal - La Presse

Soleil et sourires plein la vue, judicieux mélange d’artistes locaux et internationaux, chaleur humaine de l’Amérique latine… la deuxième édition du festival Fuego Fuego, dont la programmation s’étend cette année sur deux jours, est déjà une réussite assurée.

Le Parc olympique, en cette superbe fin de semaine du mois de mai, est devenu une véritable bulle où l’espagnol remplace temporairement le bilinguisme français-anglais de la métropole. Une bulle estivale, enthousiaste, et qui a donné à toute une communauté l’occasion de célébrer (en grand) sa culture.

Devant 23 000 personnes et un site qui affichait complet, Jhayco a terminé la soirée en beauté. Le rappeur portoricain a ouvert le dernier acte du bal avec son succès Tarot, puis enchaîné avec bon nombre de ses chansons populaires auprès des amateurs de musique latine.

Casquette retournée, pantalons de cuir et grand chandail à manches longues, celui qu’on connaît aussi sous le nom de Jhay Cortez s’amusait. Il a invité son public à lever les bras en l’air à maintes reprises, ce qui a toujours été respecté. Ce fut une finale appréciée, acclamée, appropriée.

Avant-dernière à monter sur les planches, Becky G est apparue devant des milliers de paires d’yeux comme une étoile rose et blanc dans la nuit qui tombait. « Espagnol ou anglais, Montréal ? », s’est exclamée la chanteuse californienne d’origine mexicaine, dans les deux langues. « Je suis très heureuse d’être ici, merci à vous de m’accueillir ! », a-t-elle continué.

Visiblement habituée de la scène et remplie d’assurance, celle qui est également danseuse a frappé fort dès le premier coup avec Mayores. Elle n’a fait que continuer sur cette jolie lancée avec Sin Pijama ou Mamiii, entre autres.

PHOTO DOMINICK GRAVEL, LA PRESSE

La foule était nombreuse sous le soleil samedi.

Manuel Turizo, à peine âgé de 23 ans, a su faire vibrer la foule dès son arrivée sur scène. Chacune de ses interventions était suivie de forts applaudissements, ce qu’on a également pu observer dès les premières notes de chacune de ses chansons.

Vêtu d’une simple camisole blanche et d’amples pantalons rosés, lui aussi, le chanteur de reggaeton a interprété les plus grands succès de son catalogue, en plus d’énumérer des pays latino-américains pour que ses représentants respectifs se fassent entendre. C’est le sien, la Colombie, qui a obtenu la plus grande réaction.

Ce ne sont pas les festivals qui manquent durant l’été à Montréal, et pourtant celui-ci a quelque chose d’unique. Il y règne une sorte de solidarité sous-entendue, solidarité qui sans doute est alimentée par les racines communes que partage son public.

C’est comme si toute la communauté latino-américaine de la métropole s’était donné rendez-vous au même endroit, au même instant, pour partager un moment autour d’un amour commun : celui de la musique latine. Et qu’au passage, elle en avait profité pour inviter les curieux d’ici qui souhaitaient vivre une expérience immersive.

PHOTO DOMINICK GRAVEL, LA PRESSE

Les drapeaux de bon nombre de pays d’Amérique latine étaient visibles parmi la foule.

Il n’a pas fallu attendre longtemps avant que les visiteurs soient accrochés et investis. Au beau milieu de l’après-midi, peu de temps après l’ouverture des portes, ils étaient déjà quelques milliers à chanter en chœur les paroles des morceaux qu’ils connaissent bien. DJ ND, DJ EP et DJ Luian se sont adroitement chargés de nourrir leurs oreilles.

S’ils n’étaient évidemment pas sur place, c’est comme si Bad Bunny, J Balvin, Daddy Yankee ou Farruko faisaient partie de la programmation, tant on pouvait les entendre.

Et plus la journée avançait, plus le site paraissait bondé. Lorsqu’on se plaçait un peu en hauteur, on voyait une mer de monde.

Les festivaliers ont notamment eu l’occasion de voir la rappeuse québécoise d’origine mexicaine Chika, les Montréalais Ed Winter et Cruzito, ainsi que la chanteuse canado-vénézuélienne Aiona Santana. Il y avait un souci d’inclure des talents locaux dans la programmation.

Seul pépin notable : le chanteur Sech, originaire du Panamá, n’a pas pu se présenter pour sa performance prévue samedi soir. Il n’a pas réussi à obtenir son visa pour entrer au Canada. La foule et sa vigueur soutenue ont toutefois largement compensé tout au long de la journée.

Belle occasion

Mariana Gueza, native de Veracruz, au Mexique, a été la première à se produire sur scène de toute la fin de semaine. Elle réside à Montréal depuis un an.

Après s’être lancée dans la musique au printemps 2020, l’artiste de 28 ans a présenté son répertoire devant une si grande foule pour la première fois de sa carrière.

« C’était comme une épiphanie, a-t-elle confié à La Presse après son spectacle. C’est la manifestation de tout ce pour quoi j’ai travaillé depuis 2020. » Attachante et visiblement saisie par les émotions, elle n’avait que de la reconnaissance à exprimer pour l’énergie de la foule.

La musique, pour Mariana, est un lieu sûr. Son seul, en fait, puisque c’est seulement là qu’elle peut décider et contrôler tout ce qui se passe. Et elle croit avoir choisi un bon endroit où faire évoluer sa carrière sur la scène latine. « J’adore les gens ici. Je ne parle pas leur langue, mais je parle leur langage », a-t-elle dit, la main près du cœur.

Son rêve ? Mariana a promis à sa mère, lorsqu’elle a abandonné ses études, qu’elle remporterait un jour un Grammy « à titre de compensation, au lieu d’un diplôme ». Sa carrière ne pourrait être complète sans cela, croit-elle, sachant qu’elle vise haut.

A-t-elle envie de revenir jouer à Fuego Fuego ? « Oui, absolument, nous répond-elle en espagnol. Je les invite à m’inviter plus tard, et à ce que mon nom soit plus grand sur l’affiche », lance-t-elle avec l’air rieur et un sourire en coin.

Le festival de musique latine se terminera ce dimanche. Le duo portoricain Wisin y Yandel y paraîtra comme tête d’affiche, suivi du chanteur colombien Feid et du rappeur dominicain El Alfa. Arcangel, Tokischa, Landy Garcia, La Materialista, Demasiado Eleg, DJ Danny Castro, El Melodiko, Tr3ppy et DJ Peruluno complètent la programmation.

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Une première fille : Jacques Villeneuve est papa pour la sixième fois - TVA Nouvelles

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Massachusetts: un père paye 21 000$ en billets de dernière minute pour le spectacle de Taylor Swift - Le Journal de Montréal

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Massachusetts: un père paye 21 000$ en billets de dernière minute pour le spectacle de Taylor Swift  Le Journal de Montréal
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Voici pourquoi l'autobiographie de Ginette Reno n'est vendue que dans les Jean Coutu - Showbizz.net

Le fait que Ginette Reno ait décidé de vendre son livre exclusivement (ou presque) dans les pharmacies Jean Coutu en a surpris plusieurs.

Qu'est-ce qui justifie cette décision? La réponse en est une financière.

Dans les pages de La Presse la semaine dernière, on apprenait qu'en suivant ce mode de fonctionnement inhabituel, cela permettait à l'artiste d'obtenir 50 % des profits plutôt que le 10 % généralement attribué.

Il faut savoir que la chanteuse a assumé elle-même les frais d’écriture, d’édition, d’impression et de mise en marché, des montants habituellement endossés par l'éditeur.

Le producteur Nicolas Lemieux a fait savoir à La Presse que le livre s'était écoulé à plus de 50 000 exemplaires en un mois seulement et que les ventes continuaient de monter.

Il faut aussi savoir que le livre ne sera pas disponible (ou presque) dans les bibliothèques puisque l'ouvrage doit être acheté « dans au moins trois librairies agréées de leur région administrative », et comme Ginette n'est pas offerte en librairies...

Ginette Reno a décidé de faire les choses autrement et, sans surprise, cela dérange les instances en place...

Rappelons que la chanteuse a récemment foulé un tapis rouge au bras de son Karlo. Elle nous parlait de leur relation ici.

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Lili-Ann De Francesco a retrouvé l'amour et vous le connaissez très bien! - Noovo Moi

Rappelons que l'été dernier, la chanteuse et le mannequin sont tombés sous le charme. Leur relation n'a malheureusement duré que quelques mois.

Pendant la téléréalité, lors des dernières semaines, Lili-Ann était d'ailleurs plutôt amer du passage de son ex dans l'aventure amoureuse et elle l'a fait savoir plusieurs fois sur Instagram et TikTok.

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L'originalité de la peur | La Presse - La Presse

Les croque-mitaines se suivent et ne se ressemblent pas, tandis que la peur, elle, est toujours neuve lorsqu’on la ressent. Nous sous-estimons ce sentiment primal, qui sert d’abord à nous sauver la vie, mais qui peut aussi nous pousser à faire des conneries – acheter une maison trop cher parce que le marché immobilier est en feu ou subir une opération botchée par crainte de vieillir, par exemple.

Toutefois, ça peut faire de maudits bons films d’horreur. Chaque époque a ses figures monstrueuses et ses bonhommes Sept Heures. Selon les modes, c’est le vampire, le loup-garou, le tueur en série ou le zombie qui ont eu la cote. Dans l’horreur, il y a des vagues et des creux ; les années 1960-1970 auront été inspirées par la guerre au Viêtnam et le conflit entre l’Amérique profonde et l’Amérique urbaine ; dans les années 1990, le public s’est pris d’affection pour les psychopathes à la Hannibal Lecter et la mode était au thriller psychologique, tandis qu’on méprisait le surnaturel ; enfin, le zombie a fait un retour en force dans les années 2000 (assez pour qu’on commence à sérieusement se tanner) tandis que la torture porn (comme dans Hostel) est apparue dans la foulée de la guerre en Irak.

La peur est une quête d’authenticité, mais aussi d’esthétique. De quoi avons-nous peur aujourd’hui et sous quelle forme ça se présente ? Sans surprise, les technologies ont ouvert de nouveaux chemins de l’épouvante.

Les fantômes ne se cachent plus dans les vieux châteaux, mais dans les cuisines immaculées des maisons de banlieue munies de caméras de surveillance. La franchise Paranormal Activity a ainsi donné plusieurs films où nous avons des plans fixes de pièces très ordinaires, et le frisson est procuré quand un objet se déplace tout seul dans un coin. Mon chum adore ça, il estime que ces films offrent une « dramaturgie des objets », comme disait Ionesco.

Il y a aussi ce que l’on appelle en anglais les « found footages » (des enregistrements retrouvés), le plus célèbre étant bien sûr The Blair Witch Project, à la fin des années 1990. Comme les caméras ont évolué, ce ne sont plus les vieilles pellicules en Super 8 qui servent d’archives : les jeunes adorent le pixel étrange des rubans vidéo. Rappelons que ces images sont pour la génération d’aujourd’hui l’équivalent visuel des films des années 1940 pour les ados de la décennie 1980 !

Meurtre en direct lors d’une discussion en FaceTime, textos provenant de personnes mortes, vidéos snuff ; les possibilités de frayeurs sont nombreuses en jouant avec nos gadgets. D’ailleurs, sur YouTube, Instagram ou TikTok, les courtes vidéos d’horreur sont extrêmement populaires, tantôt présentées comme de vraies « preuves » de phénomènes paranormaux, tantôt carrément comme des œuvres d’art de quelques secondes. Je ne vous conseille pas d’en regarder trop avant d’aller au lit, il y a de quoi cauchemarder toute la nuit.

L’un des phénomènes les plus fascinants depuis quelques années est celui des « liminal spaces », un peu difficile à décrire. Il s’agit d’endroits désertés par la foule, toujours un peu glauques, presque postromantiques, qui inspirent à la fois de l’angoisse et de la nostalgie.

Très prisés des amateurs de ruines récentes, comme ces gens qui vont filmer la catastrophe économique de Detroit – telle qu’on peut la voir dans toute sa tristesse dans l’excellent It Follows – ou des centres commerciaux abandonnés. Un peu comme si cela donnait un avant-goût de ce à quoi pourraient ressembler nos villes après l’Apocalypse. Grâce à cette tendance, j’ai fini par comprendre l’étrangeté ressentie dans mon enfance quand je jouais dans les restants d’Expo 67.

À ce sujet, on a atteint un sommet l’an dernier avec le film Skinamarink du réalisateur canadien Kyle Edward Ball, dans lequel, pendant deux heures, nous voyons des murs et des planchers dans une maison du point de vue de deux enfants qui se sont réveillés en pleine nuit et qui cherchent leurs parents introuvables, tandis que les fenêtres et les portes disparaissent. Un petit culte est en train de se développer autour de ce film inclassable, qui tient davantage du cinéma expérimental que de l’horreur, ce qui n’est pas pour déplaire à Mitch Davis, fier que Skinamarink ait été présenté en primeur mondiale au dernier festival Fantasia, dont il est le directeur artistique. « Je suis très content de voir combien ce film résonne chez un public plus jeune qui n’est pas traditionnellement attiré par le cinéma expérimental », m’explique-t-il.

Il n’y a pas meilleur spécialiste que Mitch Davis pour observer les nouvelles tendances de l’horreur. « J’ai l’impression que celle des ‟liminal spaces” est la plus prononcée que nous voyons, suivie de très près par les films à propos du ‟gaslighting”, dans lesquels un personnage ou le public est amené à douter de ce qu’il voit et entend, comme dans Resurrection, Speak No Evil, Don’t Worry Darling, Watcher, et d’une certaine façon Barbarian. »

Mitch Davis remarque que les publics plus jeunes connectent particulièrement avec la peur existentielle. « C’est compréhensible, avec les inquiétudes sur l’effondrement environnemental et l’impression générale de divisions politiques et sociales qui menacent au jour le jour la stabilité. Aussi, ce sentiment d’impuissance que tant de jeunes ressentent en constatant l’inaction gouvernementale sur les changements climatiques et, aux États-Unis, le contrôle des armes. Et maintenant, il y a aussi le potentiel de perdre l’autonomie de son corps au profit des religieux extrémistes en position de pouvoir. »

Avec cette peur généralisée qui contamine tout le monde et de nouveaux croque-mitaines qui sortent des ténèbres, on peut dire que le cinéma d’horreur a encore de très beaux jours devant lui.

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L'originalité de la peur | La Presse - La Presse
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Le ciel s'écroule sur la tête de Céline Dion et de Carey Price - Hockey30

- Décidément...

- Le Québec est dans la POISSE.

- Après Carey Price, l'un des plus grands gardiens de l'histoire du Canadien de Montréal, qui a dû prendre sa retraite prématurément...avant d'avoir ramené une Coupe Stanley à Montréal.

- Céline Dion, sans le dire ouvertement, ne reviendra plus jamais au Centre Bell de Montréal...

 Sans le savoir, les inconditionnels de Céline Dion qui ont assisté à ses concerts de la tournée Courage au Centre Vidéotron et au Centre Bell, en 2019 et 2020, ont-ils assisté au chant du cygne sur scène de la plus grande chanteuse québécoise de tous les temps? écrit le Journal de Montréal.

La question, jusqu’ici taboue, se pose ouvertement depuis que Céline Dion a annoncé, vendredi matin, l’annulation de tous ses concerts, qui étaient prévus jusqu’en avril 2024, en raison de l’impact sur sa vie du syndrome de la personne raide (SPR), une pathologie rare dont elle est atteinte.

Céline Dion annule une quarantaine de concerts prévus en Europe jusqu’en avril 2024, ont annoncé vendredi les organisateurs de sa tournée, dans un communiqué.

Atteinte d’une pathologie neurologique rare contre laquelle elle «poursuit son traitement», ont-ils indiqué, la star québécoise avait déjà annoncé en décembre qu’elle annulait ou reportait les concerts prévus en Europe entre février et juillet 2023.

«Je me donne beaucoup de peine pour retrouver mes forces, mais les tournées peuvent être très difficiles [...] Il vaut mieux que nous annulions tout maintenant, jusqu’à ce que je sois vraiment prête à remonter sur scène», a déclaré la chanteuse de 55 ans, citée dans le communiqué.

Même si la vedette, âgée de 55 ans, a promis de ne pas abandonner le combat, ses admirateurs anticipent le pire.

«Elle ne reviendra pas, c’est une évidence.» «Terminé, elle ne reviendra jamais.» Cette fois, c’est fichu pour de bon», pouvait-on lire sur la page Facebook des Red Heads, le fan-club de Céline Dion.

«Je pense que les gens n’ont pas réalisé l’ampleur de sa condition», affirme la présidente des Red Heads, Line Basbous.

«Monter sur scène, réaliser des performances physiques, ça se compare à une athlète. Imagine-toi un peu dans quelle condition elle se trouve pour pouvoir se lancer dans un marathon comme une tournée. Je me pose vraiment la question à savoir si on ne l’a pas vue pour une dernière fois lors de la tournée Courage.»

L’animateur Mike Gauthier loge aussi dans le camp des pessimistes. «J’ai l’impression, croit-il, que les tournées, c’est fini. Si elle redonne des shows, ça va se passer à Las Vegas, où elle vient cependant de vendre sa maison.»

Indice révélateur: l’équipe québécoise de Céline Dion aurait été avisée de se trouver d’autres contrats, signe qu’un retour sur scène n’est pas sur le radar.

«Elle peut venir faire un show spécial au Centre Bell, mais le problème, c’est sa satanée maladie. Ça se traite, mais ça ne se contrôle pas. Elle peut être sur scène et manquer de voix après trois chansons. C’est juste dommage qu’elle n’ait pas eu le temps de faire une tournée d’adieu, comme Elton John actuellement», dit Mike Gauthier.

Malgré la gravité des nouvelles, plusieurs admirateurs de Céline Dion préféraient se rappeler les beaux moments que leur a fait vivre leur idole.

«Nous, les fans un peu hardcores, on se considère extrêmement chanceux de s’être écoutés. D’avoir parfois un peu exagéré dans l’envie d’aller la voir, de voyager, d’assister à deux concerts la même semaine», confie Line Basbous.

Cela dit, un mince espoir demeure et, si jamais elle ne remonte pas sur scène, «pourquoi pas un album?» lance la présidente des Red Heads.

Le dernier concert de Céline Dion remonte à mars 2020, à Newark (États-Unis). Après une cinquantaine de concerts en Amérique du Nord, sa tournée mondiale Courage avait été interrompue par la pandémie de COVID-19.

Cette tournée n’a jamais pu reprendre, la chanteuse indiquant ensuite souffrir de spasmes musculaires.

Le prochain concert prévu était à Paris (La Défense Arena) le 1er septembre.

Céline Dion est atteinte du syndrome de la personne raide (SPR), une affection dont la cause exacte est inconnue mais vraisemblablement d’origine auto-immune.

Touchant environ une personne sur un million, ce syndrome entraîne des douleurs aiguës et des difficultés à se mouvoir, empêchant les activités physiquement contraignantes.

«L’équipe médicale qui accompagne Céline suit l’évolution de la m-a-l-ad-ie et son traitement», a indiqué son entourage.

«Les billets achetés pour les 42 dates annulées seront remboursés», ont ajouté les organisateurs de la tournée.

La chanteuse a estimé qu’il n’était «pas juste de continuer à reporter les spectacles», faute de savoir quand elle serait en mesure de remonter sur scène.

Elle est l’une des artistes les plus populaires du monde, célèbre entre autres pour My Heart Will Go On, une chanson de 1997 pour la bande originale du film Titanic.

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Le ciel s'écroule sur la tête de Céline Dion et de Carey Price - Hockey30
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Saturday, May 27, 2023

Festival de Cannes : Anatomie d'une chute , de Justine Triet, remporte la Palme d'or - Radio-Canada.ca

Justine Triet.

Justine Triet soulève la Palme d'or lors de la cérémonie de clôture du 76e Festival de Cannes.

Photo : afp via getty images / CHRISTOPHE SIMON

Agence France-Presse
| Mis à jour

Justine Triet a remporté samedi la Palme d'or pour Anatomie d'une chute, la troisième jamais décernée à une réalisatrice, et a profité de la tribune pour lancer une attaque contre la politique du gouvernement français sur la culture et les retraites.

La cinéaste française de 44 ans succède à Jane Campion (La leçon de piano, 1993) et Julia Ducournau (Titane, 2021), confirmant le lent mouvement vers l'égalité dans une industrie du cinéma historiquement dominée par les hommes.

Le Festival s'était ouvert il y a douze jours sous la menace d'une coupure de courant du syndicat CGT mais c'est finalement par la lauréate que le mouvement social en France s'est invité à Cannes. En recevant son prix des mains de Jane Fonda, la cinéaste a vivement dénoncé la façon dont le gouvernement français avait nié de façon choquante la protestation contre la réforme des retraites et cherché à casser l'exception culturelle sans laquelle [elle] ne serait pas là aujourd'hui.

« Ce schéma de pouvoir dominateur, de plus en plus décomplexé, éclate dans plusieurs domaines. »

— Une citation de  La réalisatrice Justine Triet

Réplique immédiate de la ministre française de la Culture Rima Abdul Malak. Elle s'est dite estomaquée par son discours si injuste : Ce film n'aurait pu voir le jour sans notre modèle français de financement du cinéma qui permet une diversité unique au monde. Ne l'oublions pas, a-t-elle écrit sur les réseaux sociaux.

Sur le plan artistique, ce nouveau couronnement d'une jeune réalisatrice française témoigne du succès des réalisations tricolores dans les festivals internationaux, avec le Lion d'or remis à Audrey Diwan en 2021 à Venise pour L'événement et l'Ours d'or en février à Nicolas Philibert pour Sur l'Adamant.

Le jury, présidé par Ruben Östlund et où siégeait également Julia Ducournau, a choisi un film (dans les salles françaises le 23 août) qui raconte le procès d'une veuve (Sandra Hüller) accusée aux assises d'avoir tué son mari. L'occasion de disséquer les dynamiques de pouvoir au sein d'un couple d'artistes aisés et d'exposer les préjugés sociaux auxquels se heurtent les femmes indépendantes.

Les autres grands gagnants

Le Grand prix, second en importance du festival, a été remis à Jonathan Glazer pour The Zone of Interest, sur la vie quotidienne du commandant nazi d'Auschwitz, un message contemporain sur l'effroyable banalité du mal

Le prix de la mise en scène est allé à Tran Anh Hùng pour La passion de Dodin Bouffant, film d'époque sur la gastronomie française avec Benoît Magimel, et celui du jury à Aki Kaurismäki pour Les feuilles mortes.

L'actrice turque Merve Dizdar a dédié son prix d'interprétation dans Les herbes sèches de Nuri Bilge Ceylan à toutes les femmes qui mènent une lutte pour surmonter les difficultés existantes dans ce monde.

Le prix d'interprétation masculine est allé à l’acteur japonais Koji Yakusho pour son rôle de nettoyeur de toilettes publiques à Tokyo dans Perfect Days, film onirique de Wim Wenders.

Ce palmarès met un terme à la 76e édition, présidée pour la première fois par Iris Knobloch, ancienne de Warner.

Merve Dizdar.

Merve Dizdar a mis la main sur le prix d’interprétation féminine pour son rôle dans le drame Les Herbes sèches.

Photo : Getty Images / Kristy Sparow

Elle fut marquée par des polémiques sur le retour de Johnny Depp, après ses procès pour diffamation autour d'accusations de violences conjugales, par une présence en force du cinéma du continent africain et des réalisatrices, au-delà de Justine Triet.

L'une d'elles, Molly Manning Walker, a reçu le prix Un Certain Regard pour How To Have Sex, et deux autres se partagent l'Oeil d'or du meilleur documentaire : Kadib Abyad, pour La mère de tous les mensonges, et Kaouther Ben Hania, pour Les filles d'Olfa, sur la radicalisation d'adolescentes tunisiennes.

L'édition a aussi été marquée par une nouvelle démonstration de la lune de miel entre Cannes et Hollywood: en 12 jours, le tapis rouge aura accueilli Martin Scorsese, Leonardo DiCaprio et Robert De Niro (pour Killers of the Flower Moon) ou encore Harrison Ford, venu faire ses adieux à Indiana Jones. Quentin Tarantino et Roger Corman, 97 ans, l'un des doyens du cinéma américain, étaient également sur scène samedi soir.

Quant au long-métrage de clôture, le festival renoue avec la tradition de programmer la dernière création des studios Pixar, rachetés par Disney : le film d'animation Élémentaire, qui sortira en juin, a été présenté en avant-première mondiale après la cérémonie.

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Karine Vanasse en vedette dans une nouvelle série de Prime Vidéo - 7 Jours

Les engagements de Karine Vanasse lui permettent parfois de joindre l’utile à l’agréable. En Belgique pour le tournage d’une série, l’actrice a pu faire découvrir le pays des Flamands à son fiston. Mais le projet qu’elle porte actuellement dans son coeur, c’est L’ombre des corbeaux, un film sur le racisme et les sévices sexuels dont ont été victimes les autochtones dans les pensionnats canadiens. En incarnant la cruelle soeur Ruth, elle dévoile une autre facette de son jeu et nous permet d’entrevoir que, plus souvent qu’à son tour, le bourreau est aussi une victime.

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Karine, comment t’es-tu sentie à l’idée de faire partie de L’ombre des corbeaux, un long métrage qui met en images une partie des sévices subis par les autochtones dans les pensionnats du pays?

C’est une histoire tellement importante que j’ai tout de suite voulu faire partie de ce projet. J’ai ressenti une grande émotion lorsque j’ai reçu cette proposition. Je voulais en être. Puis, en visionnant le film, j’ai réalisé que cette histoire devient magnifique au cinéma, car on y voit la culture autochtone. J’ai vu toute la richesse de ce que nous avons nous-mêmes perdu en mettant les autochtones de côté et, par le fait même, en nous coupant de leur culture. Rémy (Girard) et moi représentons les religieux dans les pensionnats autochtones. Nous tenons des rôles de méchants, mais il faut bien que quelqu’un les incarne. Même si c’est laid, il fallait montrer cette laideur. On suit le processus, la résilience du personnage principal, Aline Spears, à travers les années. C’est extrêmement touchant.

Le film nous permet de mettre en images plusieurs des histoires dont on a entendu parler au cours des dernières années.

Oui, c’est comme si on rassemblait toutes les petites bribes d’histoire de la réalité autochtone: les femmes disparues auxquelles on n’a pas porté attention, celles qui vivent dans la rue, etc. Le film nous permet de rassembler toutes ces informations de la réalité canadienne et de comprendre à quel point ce qu’ils ont subi est horrible et honteux. On comprend aussi à quel point ils ont été forts et combien ils continuent de l’être pour en arriver à surmonter tout cela, à transformer cette situation. J’avais envie de faire partie de cette transformation. Comme Canadienne, mais aussi comme humaine.

Parce que le cinéma sert aussi à nommer les choses?

Oui, et voir cette réalité à l’écran donne une autre dimension à cette réalité. À la fin, on reste sur ses émotions. On ressort du film fier d’avoir accordé du temps à cette histoire. Parfois, on peut se sentir démuni et se demander, à titre de non-autochtone, ce qu’on peut faire. Je crois qu’il faut s’informer. Au départ, je me suis moi-même jugée de ne pas mieux connaître leur histoire. Il faut commencer quelque part. 

La compassion n’est-elle pas un point de départ?

Oui, mais pour avoir de la compassion, il faut comprendre, il faut savoir par quoi l’autre est passé. C’est pour cette raison que ce film est utile. 

Avec sœur Ruth, on te voit tenir un personnage atypique, différent de ceux que tu as tenus durant ta carrière. Tu campes une vraie méchante!

En même temps, je trouvais que ce personnage était beau. On la voit portée par des principes qu’elle tente d’incarner dans sa vie. La réalisatrice, Marie Clements, me disait qu’elle avait fait des recherches sur la réalité des religieuses. Elles ont elles-mêmes vécu des avortements, car elles subissaient des sévices de la part des prêtres, entre autres. La plupart de ces femmes se faisaient elles-mêmes agresser par d’autres membres des communautés. 

Quand on porte une blessure qui n’est pas soignée, on est peut-être condamné à la répéter.

Effectivement. Mon personnage finit par reconnaître qu’elle a commis l’horreur. C’est difficile de l’admettre, et c’est pour cette raison qu’on peut rester longtemps dans le déni. Reconnaître qu’on s’est trompé et qu’on a fait vivre l’enfer à d’autres personnes, c’est un pas difficile à franchir. Même en tant que société. Pour être capable de faire un pas vers la douleur de l’autre, il faut reconnaître qu’on y a contribué. Pour toutes ces raisons, je trouve ça beau, ce que mon personnage représente dans l’histoire. Nous avons tourné à Kamloops, dans le pensionnat où les corps des enfants ont été trouvés. Le courage qui émanait de la réalisatrice se transmettait à tous les membres de l’équipe. Nous ne pouvions pas ne pas être courageux. 

Karine Lévesque

Y a-t-il d’autres projets au programme?

Oui, nous avons commencé à tourner Avant le crash II. Le film Ru, adapté du livre de Kim Thúy, sortira bientôt. Ces dernières semaines, j’ai aussi tourné une série en Belgique. Ça n’a pas été annoncé officiellement, mais c’est une série pour Prime Video. Je suis allée tourner dans la Région flamande de Belgique. Je trouve ça extraordinaire de se retrouver avec plein de gens de partout dans le monde pour raconter une histoire. Être sur un plateau avec des gens qui ont une culture différente, un bagage différent et essayer de trouver un langage commun pour raconter une histoire, ça me réjouit beaucoup. 

As-tu parfois de la difficulté à quitter ton quotidien pour le travail? Est-ce douloureux par moments?

Non, parce que les choses s’organisent bien. Je fais des choix, évidemment, mais quand ça se place bien dans l’horaire, c’est parfait. Pour le tournage en Belgique, mon fils est venu avec moi pendant une certaine période. C’était beau de vivre ça avec lui. J’étais bien reconnaissante et émue de pouvoir le faire.

Karine Lévesque

C’est aussi une belle opportunité pour ton fils?

Oui. Quand je travaille ici, comme pour tous les parents, il ne vient pas avec moi au travail, mais qu’il ait la chance de vivre ces voyages à l’extérieur du pays et qu’il soit exposé à différentes cultures, je trouve ça beau. 

Auras-tu du temps pour toi cet été?

Je tournerai Avant le crash une bonne partie de l’été. Je prendrai du temps avec mon petit garçon, dans mon coin. Je suis tellement bien, en Estrie! J’aurai aussi des vacances au programme. 

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Été culturel | Le nouvel âge d'or de la comédie musicale - La Presse

Hair, Lili St-Cyr, Le Bodyguard, La mélodie du bonheur… La comédie musicale a le vent dans les voiles au Québec ! On pourra en prendre la pleine mesure cet été, puisqu’une douzaine de productions prendront l’affiche dans la province d’ici la fin de l’année. La Presse a profité de ce renouveau pour parler à des artistes passionnés de théâtre musical.

Chaque année, Jade Bruneau attend avec impatience le début de l’été. C’est la saison où le théâtre musical fleurit au Québec. « Il y a un réel engouement pour les spectacles de théâtre musical », dit la comédienne, grande adepte de cette forme théâtrale. « Et le public est très fidèle. Il y a des gens qui reviennent deux, trois ou quatre fois voir un spectacle. Pendant la tournée de Belles-Sœurs, je me souviens d’une spectatrice qui m’a dit avoir vu le show 12 fois ! »

Le metteur en scène Serge Denoncourt a lui aussi apprivoisé les « musicals ». À Juste pour rire, il a pris le relais de Denise Filiatrault et de Serge Postigo à la barre des comédies musicales estivales. Après le succès d’Annie l’an passé, il dirige Hair, à l’affiche dès le 16 juin. « C’est une autre bête scénique à apprivoiser. Ça me sort complètement de ma zone de confort à 60 ans », dit-il.

Bien qu’il ait mis en scène Les choristes, son nouveau dada demeure l’adaptation en français de comédies musicales anglo-saxonnes venues de Londres et de New York. Ne craint-il pas l’américanisation de la culture québécoise en privilégiant ces grosses pointures du West End et de Broadway ? « Non, arrêtez-moi ça ! Chez Duceppe, on monte des traductions de pièces américaines signées Miller ou O’Neill. À La Licorne, on programme des pièces anglaises, irlandaises… Hair ou West Side Story sont des classiques du répertoire. Ce n’est pas une question d’américanisation de notre culture. »

PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE

Serge Denoncourt lors des répétitions de la comédie musicale Hair

Selon Serge Denoncourt, on fait au Québec du théâtre musical à notre manière. « Et on le fait très bien, ajoute-t-il. Luc Plamondon fait de l’opéra rock ; René Richard Cyr, du théâtre musical [Les parapluies de Cherbourg, L’homme de la Mancha]. Avant, il y a eu Michel Tremblay [Les héros de mon enfance, Demain matin, Montréal m’attend]. »

Une nouvelle ère

Patrick Rozon est fier de la tradition estivale de comédies musicales, amorcée il y a 20 ans chez Juste pour rire. « Il y a un marché pour le genre au Québec. Bon an, mal an, il se vend 200 000 billets pour voir des comédies musicales, tous producteurs confondus. La comédie musicale, c’est le spectacle total, avec un côté très wagnérien », dit-il, en référence au concept d’œuvre d’art totale du compositeur allemand.

PHOTO ALEXIS AUBIN, ARCHIVES COLLABORATION SPÉCIALE

Patrick Rozon, chef de la direction de la création à Juste pour rire

Dans un avenir rapproché, le chef de la direction de la création de Juste pour rire souhaite développer un volet « création musicale originale ».

En 2022, j’ai reçu 14 projets de nouvelles comédies musicales sur mon bureau. Avant, j’en recevais zéro ! La génération des millénariaux veut jouer, écrire et composer pour le théâtre. Je ne serais pas surpris de voir arriver bientôt notre prochain Luc Plamondon.

Patrick Rozon, chef de la direction de la création de Juste pour rire

Juste pour rire ne cessera pas de produire des spectacles avec des licences de Broadway. Les grosses productions aident les créations plus risquées financièrement, sans artistes connus du public. « Mais on va bâtir un modèle d’affaires différent pour la création. On va y aller par étapes. Avec une plateforme comme Zoofest, on peut présenter une comédie musicale dans une salle de 300 ou 400 places. Et faire des coproductions avec d’autres compagnies de théâtre, des tournées à l’étranger. »

Laisser le soleil entrer

Dans une salle de la rue Parthenais, une vingtaine de jeunes gars et filles, pieds nus et cheveux longs, manifestent avec des pancartes. On peut y lire des slogans de Mai 68 : « Faites l’amour pas la guerre », « Sous les pavés, la plage »… La scène fait partie de Hair, un « musical » emblématique des boomers et du mouvement « peace and love ». Parmi ces interprètes, il y a Sarah-Maude Desgagné, une chanteuse de la cuvée 2022 de Star Académie ; Éléonore Lagacé, gagnante de l’émission Zénith ; Philippe Touzel, qu’on a vu dans La mélodie du bonheur, Grease, Footloose et qui fait aussi carrière en France.

Hair en répétition

  • Des numéros de la comédie musicale Hair ont été présentés aux médias récemment.

    PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE

    Des numéros de la comédie musicale Hair ont été présentés aux médias récemment.

  • Des numéros de la comédie musicale Hair ont été présentés aux médias récemment.

    PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE

    Des numéros de la comédie musicale Hair ont été présentés aux médias récemment.

  • Des numéros de la comédie musicale Hair ont été présentés aux médias récemment.

    PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE

    Des numéros de la comédie musicale Hair ont été présentés aux médias récemment.

  • Des numéros de la comédie musicale Hair ont été présentés aux médias récemment.

    PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE

    Des numéros de la comédie musicale Hair ont été présentés aux médias récemment.

  • Des numéros de la comédie musicale Hair ont été présentés aux médias récemment.

    PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE

    Des numéros de la comédie musicale Hair ont été présentés aux médias récemment.

Cette affiche ne comprend pas de grosses vedettes. De plus en plus, les producteurs engagent des interprètes avec une formation en théâtre musical. Auparavant, on auditionnait seulement des chanteurs. « Il y a une belle effervescence actuellement en théâtre musical. Les finissants des récentes cohortes n’ont jamais autant travaillé dans leur spécialité », remarque Geneviève Charest, qui enseigne le chant au programme de théâtre musical du collège Lionel-Groulx, à Sainte-Thérèse.

« Je crois qu’on nous a choisis pour les bonnes raisons. Pour apporter de la vérité dans la comédie musicale », estime Philippe Touzel. Son camarade Félix Lahaye, qui a découvert la comédie musicale à l’école secondaire, ajoute que la comédie musicale lui permet « de tout faire » et d’exercer toutes les facettes de son métier. Même son de cloche de Kevin Houle, interprète et compositeur qui signe aussi cet été la musique de Lili St-Cyr, un spectacle qui sera présenté à Kingsey Falls.

On fait de la musique, on danse, on joue et on raconte une histoire dans un même spectacle. Il ne faut pas confondre la comédie musicale et les variétés. Ni la juger quétaine.

Kevin Houle, interprète et compositeur

Enfin, la reconnaissance ?

Le comédien Robert Marien se bat depuis 40 ans pour la reconnaissance du théâtre musical au Québec. Selon lui, il faut se donner des moyens et du temps pour développer la création d’ici. En investissant dans des ateliers, des laboratoires, de la recherche. « On a des attentes démesurées pour nos comédies musicales, dit-il. J’ai vécu l’accueil difficile de Gala et du Petit Roy. J’ai souvenir de la fin prématurée de I, de Marc Drouin. » Rappelons qu’en 1998, très mal reçue par la critique et le public, la comédie musicale de l’auteur de Pied de poule avait annulé sa tournée , malgré un investissement de 400 000 $ du gouvernement du Québec.

« Si un show ne fonctionne pas tout de suite, on devient frileux, déplore Marien, alors que c’est avec les essais et erreurs que naissent les succès. Les comédies musicales américaines peuvent connaître huit ou dix moutures avant d’atterrir à Broadway. » Robert Marien souhaite la création d’une catégorie à part pour traiter les demandes de subventions au théâtre musical.

Tous les créateurs et amateurs de cette forme vous le diront : la comédie musicale a toujours été entre deux chaises. Entre les variétés et le théâtre. La comédienne Marie-Pierre de Brienne a fait une demande de subvention pour un projet de théâtre musical pour sa nouvelle compagnie. « Mon dossier n’entrait pas dans la bonne catégorie, raconte-t-elle. L’employé m’a demandé si je faisais du théâtre ou de la musique. Je lui ai répondu les deux… et avec de la danse. Il m’a dit : “Mais vous ne pouvez pas faire les trois en même temps !” »

À l’affiche d’ici la fin de l’année

PHOTO FRANÇOIS ROY, ARCHIVES LA PRESSE

Klara Martel-Laroche lors de la première de La mélodie du bonheur au Théâtre St-Denis en décembre dernier.

Hair

La comédie musicale de Gerome Ragni et James Rado est mise en scène par Serge Denoncourt et produite par Juste pour rire. Au Théâtre St-Denis dès le 16 juin ; à la salle Albert-Rousseau, à Québec, dès le 12 décembre.

Lili St-Cyr

Une création musicale sur la vie scandaleuse de la reine du strip-tease à Montréal dans les années 1940. Musique : Kevin Houle. Mise en scène : Benoit Landry. Chorégraphies : Alex Francœur. Avec entre autres Marie-Pier Labrecque, Lunou Zucchini, Kathleen Fortin. Au Théâtre de Kingsey Falls, dès le 30 juin.

Le Bodyguard

L’adaptation scénique du populaire film avec Whitney Houston, dans une nouvelle mouture dirigée par Joël Legendre sur des chorégraphies de Steve Bolton. Au Capitole, à Québec, du 28 juin au 13 août. En reprise au Théâtre St-Denis, du 23 novembre au 3 décembre.

La mélodie du bonheur

Le retour de la célèbre famille von Trapp, avec 25 comédiens, dans une mise en scène de Gregory Charles. À partir du 4 août, à la salle Albert-Rousseau, à Québec.

La famille Addams

La nouvelle mise en scène d’un classique du genre par René Simard. À l’Espace St-Denis à partir du 17 octobre 2023, puis à la salle Albert-Rousseau, à Québec, en décembre 2024.

Pub royal

Une nouvelle comédie musicale « un peu punk » signée par Les Cowboys Fringants et créée par Les 7 doigts de la main. Mise en scène : Sébastien Soldevila. Au Grand Théâtre de Québec dès le 22 novembre. Au Théâtre Maisonneuve, à Montréal, du 6 décembre au 23 décembre.

Notre-Dame de Paris

Le succès de Richard Cocciante et Luc Plamondon célèbre ses 25 ans. À la salle Wilfrid-Pelletier de la Place des Arts, du 2 au 10 août.

Hedwig et le pouce en furie

Mise en scène de René Richard Cyr. Avec Benoît McGinnis dans le rôle-titre. En tournée au Québec, puis de retour à Montréal du 20 au 28 octobre au TNM.

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