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Saturday, December 30, 2023

Un collectif féministe dénonce le soutien de Macron à Depardieu - Le Journal de Montréal

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Un collectif féministe dénonce le soutien de Macron à Depardieu  Le Journal de MontréalAfficher la couverture complète sur Google Actualités
Un collectif féministe dénonce le soutien de Macron à Depardieu - Le Journal de Montréal
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Les grands disparus de 2023 au Canada : société, politique et sport | Bilans de l'année 2023 et perspectives pour 2024 - Radio-Canada.ca

Que ce soit en politique, dans la magistrature, dans la lutte environnementale, sur la scène médiatique ou dans le sport, plusieurs personnalités ont marqué leur passage dans leur domaine avant de nous quitter cette année.

Voici la deuxième partie de notre série sur les grands disparus de 2023, cette fois à l'échelle canadienne, dans les sphères sociale, politique et sportive.

Consommation
Politique fédérale
Famille
Établissements de santé
Politique internationale
Politique fédérale
Établissements de santé
Consommation
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Les grands disparus de 2023 au Canada : société, politique et sport | Bilans de l'année 2023 et perspectives pour 2024 - Radio-Canada.ca
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L'acteur britannique Tom Wilkinson est décédé - TVA Nouvelles

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  1. L'acteur britannique Tom Wilkinson est décédé  TVA Nouvelles
  2. L'acteur britannique Tom Wilkinson s'éteint à l'âge de 75 ans  La Presse
  3. L'acteur Tom Wilkinson, vu dans « The Full Monty » et « Michael Clayton », est mort  Le Monde
  4. L'acteur de "The Full Monty" et "Batman Begins" Tom Wilkinson est décédé à 75 ans  Observatoire de l'Europe après le Non
  5. L'acteur Tom Wilkinson, qui a notamment joué dans « The Full Monty », est décédé à 75 ans  Le Parisien

L'acteur britannique Tom Wilkinson est décédé - TVA Nouvelles
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L'année télé en 25 moments marquants | JDM - Le Journal de Montréal

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  1. L'année télé en 25 moments marquants | JDM  Le Journal de Montréal
  2. 31 des émissions québécoises les plus marquantes de 2023  MSN
  3. 31 des émissions québécoises les plus marquantes de 2023 | Hollywoodpq.com  HollywoodPQ
  4. Blogue | Ce qui a marqué la télé en 2023  ICI ARTV
  5. Ces 11 moments télé nous ont chaviré le coeur en 2023  Showbizz.net

L'année télé en 25 moments marquants | JDM - Le Journal de Montréal
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Friday, December 29, 2023

CBC contrainte d'annuler son émission spéciale du Nouvel An - La Presse

Évoquant des contraintes financières, CBC a indiqué vendredi qu’elle annulait la diffusion de son émission spéciale du Nouvel An.

Le programme sera remplacé par une émission spéciale de Just For Laughs, animée par l’humoriste Mae Martin, suivie d’épisodes de Comedy Night with Rick Mercer.

En entrevue avec La Presse Canadienne, le diffuseur public a évoqué des « pressions financières » pour justifier le changement notable.

Pendant plus de vingt ans, CBC a souligné le réveillon du Nouvel An avec une émission spéciale de la série télévisée humoristique Royal Canadian Air Farce.

Depuis 2018, elle a été remplacée par un programme spécial d’une heure, qui incluait notamment des numéros musicaux et des feux d’artifice.

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CBC contrainte d'annuler son émission spéciale du Nouvel An - La Presse
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Quiz | Les grands disparus de 2023 | La Presse - La Presse

Encore cette année, nous avons dû dire adieu à plusieurs personnalités qui auront laissé leur marque au Québec et ailleurs, tant sur la scène politique que culturelle ou sportive. Coup d’œil sur ceux et celles qui nous ont quittés en 2023.

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Quiz | Les grands disparus de 2023 | La Presse - La Presse
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Thursday, December 28, 2023

Voici nos 10 spectacles préférés de l'année 2023 - Le Journal de Montréal

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  1. Voici nos 10 spectacles préférés de l'année 2023  Le Journal de Montréal
  2. Les coups de cœur culturels de 2023... de Sylvie Mousseau  Acadie Nouvelle
  3. 2023 à la douzaine  La Tribune
  4. Regardez La revue culturelle 2023  Radio-Canada.ca
  5. Politique culturelle, numérique et médias : bilan 2023 et perspectives 2024  France Culture

Voici nos 10 spectacles préférés de l'année 2023 - Le Journal de Montréal
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Kim Thúy parmi les nouvelles nominations de l'Ordre du Canada - TVA Nouvelles

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  1. Kim Thúy parmi les nouvelles nominations de l'Ordre du Canada  TVA Nouvelles
  2. Ordre du Canada | Kim Thúy, Lino Saputo et Réjean Hébert honorés  La Presse
  3. Un médecin-urgentiste est l'un des trois Albertains nommés à l'Ordre du Canada  Radio-Canada.ca
  4. Réjean Hébert fait officier de l'Ordre du Canada  98.5 Montréal
  5. Lino A. Saputo et Kim Thùy parmi les 78 nommés à l'Ordre du Canada  La Voix de l'Est

Kim Thúy parmi les nouvelles nominations de l'Ordre du Canada - TVA Nouvelles
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Les grands disparus | Ils et elles ont marqué l'histoire culturelle du Québec - La Presse

Le Québec a perdu plusieurs représentants du monde des arts au cours de l’année 2023. En voici quelques-uns dont le travail a marqué les esprits et les cœurs.

  • VIOLA LÉGER 28 JANVIER, 92 ANS Comédienne acadienne et sénatrice canadienne, Viola Léger (à gauche) fut l’interprète de la Sagouine durant plus de quatre décennies au cours desquelles elle a incarné le personnage phare de l’œuvre d’Antonine Maillet (à droite) entre 2000 et 3000 fois. Elle a joué d’autres personnages, tant à la télévision (Bouscotte) que sur scène.

    PHOTO PIERRE MCCANN, ARCHIVES LA PRESSE

    VIOLA LÉGER
    28 JANVIER, 92 ANS
    Comédienne acadienne et sénatrice canadienne, Viola Léger (à gauche) fut l’interprète de la Sagouine durant plus de quatre décennies au cours desquelles elle a incarné le personnage phare de l’œuvre d’Antonine Maillet (à droite) entre 2000 et 3000 fois. Elle a joué d’autres personnages, tant à la télévision (Bouscotte) que sur scène.

  • CAROLE LAGANIÈRE 6 FÉVRIER, 64 ANS Documentariste québécoise connue pour ses œuvres telles Fuir, La fiancée de la vie et Un toit, un violon, la lune. Ces deux derniers documentaires avaient été primés au festival Hot Docs de Toronto. Elle a aussi signé des œuvres de fiction, dont les courts métrages Jour de congé et Le mouchoir de poche.

    PHOTO MARCO CAMPANOZZI, ARCHIVES LA PRESSE

    CAROLE LAGANIÈRE
    6 FÉVRIER, 64 ANS
    Documentariste québécoise connue pour ses œuvres telles Fuir, La fiancée de la vie et Un toit, un violon, la lune. Ces deux derniers documentaires avaient été primés au festival Hot Docs de Toronto. Elle a aussi signé des œuvres de fiction, dont les courts métrages Jour de congé et Le mouchoir de poche.

  • LOUISETTE DUSSAULT 14 MARS, 82 ANS Comédienne québécoise, Louisette Dussault était connue pour ses rôles-titres de l’émission jeunesse La souris verte et du téléroman Marilyn. On l’a vue aussi au cinéma (Bingo, Françoise Durocher, waitress). Cofondatrice de trois compagnies théâtrales, elle a aussi beaucoup joué sur scène.

    PHOTO ALAIN ROBERGE, ARCHIVES LA PRESSE

    LOUISETTE DUSSAULT
    14 MARS, 82 ANS
    Comédienne québécoise, Louisette Dussault était connue pour ses rôles-titres de l’émission jeunesse La souris verte et du téléroman Marilyn. On l’a vue aussi au cinéma (Bingo, Françoise Durocher, waitress). Cofondatrice de trois compagnies théâtrales, elle a aussi beaucoup joué sur scène.

  • CLAUDE FOURNIER 16 MARS, 91 ANS Réalisateur, scénariste et écrivain québécois, Claude Fournier a fait sa marque avec les films Deux femmes en or, Bonheur d’occasion, Les tisserands du pouvoir et la série télé Juliette Pomerleau. Il a aussi écrit une biographie de René Lévesque, Portrait d’un homme seul.

    PHOTO PIERRE MCCANN, ARCHIVES LA PRESSE

    CLAUDE FOURNIER
    16 MARS, 91 ANS
    Réalisateur, scénariste et écrivain québécois, Claude Fournier a fait sa marque avec les films Deux femmes en or, Bonheur d’occasion, Les tisserands du pouvoir et la série télé Juliette Pomerleau. Il a aussi écrit une biographie de René Lévesque, Portrait d’un homme seul.

  • PIERRE LAMPRON 29 MARS, 77 ANS Administrateur, Pierre Lampron a laissé la marque d’un grand bâtisseur culturel. Il a été le premier président de la SODEC, de 1995 à 1999, après avoir dirigé les bureaux de Téléfilm Canada à Paris et à Londres. Dans les années 2000, il a œuvré à TV5, TVA Films et Québecor.

    PHOTO DENIS COURVILLE, ARCHIVES LA PRESSE

    PIERRE LAMPRON
    29 MARS, 77 ANS
    Administrateur, Pierre Lampron a laissé la marque d’un grand bâtisseur culturel. Il a été le premier président de la SODEC, de 1995 à 1999, après avoir dirigé les bureaux de Téléfilm Canada à Paris et à Londres. Dans les années 2000, il a œuvré à TV5, TVA Films et Québecor.

  • NICOLE LAPOINTE 27 AVRIL, 89 ANS Marionnettiste, Nicole Lapointe (à droite) a œuvré sur les émissions Franfreluche et Passe-Partout. Avec son collègue Pierre Régimbald, elle avait créé l’émission Nic et Pic, histoire de deux souris voyageant en ballon. Les deux marionnettistes avaient baptisé leurs personnages du diminutif de leurs prénoms.

    PHOTO PAUL-ANDRÉ TALBOT, ARCHIVES LA PRESSE

    NICOLE LAPOINTE
    27 AVRIL, 89 ANS
    Marionnettiste, Nicole Lapointe (à droite) a œuvré sur les émissions Franfreluche et Passe-Partout. Avec son collègue Pierre Régimbald, elle avait créé l’émission Nic et Pic, histoire de deux souris voyageant en ballon. Les deux marionnettistes avaient baptisé leurs personnages du diminutif de leurs prénoms.

  • FRANÇOIS GUY 12 MAI, 76 ANS Auteur-compositeur-interprète québécois, il était membre du groupe Les Sinners, rebaptisé La Révolution française de 1968 à 1970. Plus tard, il a quitté la scène et s’est concentré sur la recherche de jeunes talents, notamment par le concours Ma première Place des Arts, qu’il a dirigé. On le voit ici avec Baptiste et Ima.

    PHOTO PIERRE CÔTÉ, ARCHIVES LA PRESSE

    FRANÇOIS GUY
    12 MAI, 76 ANS
    Auteur-compositeur-interprète québécois, il était membre du groupe Les Sinners, rebaptisé La Révolution française de 1968 à 1970. Plus tard, il a quitté la scène et s’est concentré sur la recherche de jeunes talents, notamment par le concours Ma première Place des Arts, qu’il a dirigé. On le voit ici avec Baptiste et Ima.

  • PIERRE COLLIN 27 JUILLET, 85 ANS Acteur, metteur en scène et cofondateur du Théâtre d’Aujourd’hui. À la soirée des Jutra du 22 février 2004, il a remporté le prix de la meilleure interprétation dans un rôle de soutien masculin pour son incarnation d’Yvon Brunet dans le film La grande séduction. (sur le plateau duquel on le voit ici avec Raymond Bouchard et Ken Scott). À la télévision, on a vu Pierre Collin dans plusieurs séries (Scoop, Virginie, Madame Lebrun, etc.).

    PHOTO IVANOH DEMERS, ARCHIVES LA PRESSE

    PIERRE COLLIN
    27 JUILLET, 85 ANS
    Acteur, metteur en scène et cofondateur du Théâtre d’Aujourd’hui. À la soirée des Jutra du 22 février 2004, il a remporté le prix de la meilleure interprétation dans un rôle de soutien masculin pour son incarnation d’Yvon Brunet dans le film La grande séduction. (sur le plateau duquel on le voit ici avec Raymond Bouchard et Ken Scott). À la télévision, on a vu Pierre Collin dans plusieurs séries (Scoop, Virginie, Madame Lebrun, etc.).

  • ZILON, DE SON VRAI NOM RAYMOND PILON 26 JUILLET, 67 ANS Artiste muraliste considéré comme le père de l’art de la rue à Montréal. Associé à la mouvance punk des années 1980, il a laissé nombre d’œuvres murales sur des structures montréalaises. Une de ses dernières œuvres a été faite à la salle de théâtre Le Diamant, à Québec.

    PHOTO RÉMI LEMÉE, ARCHIVES LA PRESSE

    ZILON, DE SON VRAI NOM RAYMOND PILON
    26 JUILLET, 67 ANS
    Artiste muraliste considéré comme le père de l’art de la rue à Montréal. Associé à la mouvance punk des années 1980, il a laissé nombre d’œuvres murales sur des structures montréalaises. Une de ses dernières œuvres a été faite à la salle de théâtre Le Diamant, à Québec.

  • RÉJEAN BOUCHARD 30 JUILLET, 67 ANS Guitariste et compagnon musical de plusieurs artistes québécois, dont Richard Séguin, Florent Vollant, Chloé Sainte-Marie, Roch Voisine, Laurence Jalbert et plusieurs autres. À sa mort, tous ont reconnu son engagement auprès des artistes innus de la Côte-Nord.

    PHOTO FRANÇOIS ROY, ARCHIVES LA PRESSE

    RÉJEAN BOUCHARD
    30 JUILLET, 67 ANS
    Guitariste et compagnon musical de plusieurs artistes québécois, dont Richard Séguin, Florent Vollant, Chloé Sainte-Marie, Roch Voisine, Laurence Jalbert et plusieurs autres. À sa mort, tous ont reconnu son engagement auprès des artistes innus de la Côte-Nord.

  • MANON LABRECQUE 31 AOÛT, 58 ANS Artiste multidisciplinaire québécoise, pionnière de la vidéo et de l’art actuel au Québec et au Canada. Chorégraphe et vidéaste, elle travaillait avec la vidéo dans ses performances et ses installations. Elle a remporté, en 2013, le prix Louis-Comtois, et ses œuvres font partie des collections de plusieurs musées.

    PHOTO TIRÉE DU SITE DE L’ARTISTE

    MANON LABRECQUE
    31 AOÛT, 58 ANS
    Artiste multidisciplinaire québécoise, pionnière de la vidéo et de l’art actuel au Québec et au Canada. Chorégraphe et vidéaste, elle travaillait avec la vidéo dans ses performances et ses installations. Elle a remporté, en 2013, le prix Louis-Comtois, et ses œuvres font partie des collections de plusieurs musées.

  • DENIS MONETTE 4 SEPTEMBRE, 86 ANS Romancier québécois, il était l’auteur d’une trentaine de romans, dont Adèle et Amélie, et a vendu plus d’un million d’exemplaires dans toute la Francophonie. Il a aussi été journaliste, notamment au magazine Le lundi.

    PHOTO ARMAND TROTTIER, ARCHIVES LA PRESSE

    DENIS MONETTE
    4 SEPTEMBRE, 86 ANS
    Romancier québécois, il était l’auteur d’une trentaine de romans, dont Adèle et Amélie, et a vendu plus d’un million d’exemplaires dans toute la Francophonie. Il a aussi été journaliste, notamment au magazine Le lundi.

  • DAVID FENNARIO 16 SEPTEMBRE, 76 ANS Romancier et dramaturge montréalais, il était la voix et l’âme de la classe ouvrière de Montréal au théâtre, notamment avec la pièce Balconville. Plusieurs de ses pièces ont été présentées au théâtre Centaur du Vieux-Montréal. Il avait été candidat de l’Union des forces progressistes (2003) et de Québec solidaire (2007) aux élections québécoises.

    PHOTO PIERRE MCCANN, ARCHIVES LA PRESSE

    DAVID FENNARIO
    16 SEPTEMBRE, 76 ANS
    Romancier et dramaturge montréalais, il était la voix et l’âme de la classe ouvrière de Montréal au théâtre, notamment avec la pièce Balconville. Plusieurs de ses pièces ont été présentées au théâtre Centaur du Vieux-Montréal. Il avait été candidat de l’Union des forces progressistes (2003) et de Québec solidaire (2007) aux élections québécoises.

  • RENÉE HUDON 20 SEPTEMBRE, 81 ANS Animatrice, journaliste et chroniqueuse culturelle, Renée Hudon (à droite) a œuvré à Radio-Canada durant 40 ans. Enfant, Renée Hudon avait obtenu un rôle, en raison de sa maîtrise de l’anglais, dans le film I Confess d’Alfred Hitchcock, dont les scènes extérieures avaient été tournées à Québec.

    PHOTO ARCHIVES RADIO-CANADA

    RENÉE HUDON
    20 SEPTEMBRE, 81 ANS
    Animatrice, journaliste et chroniqueuse culturelle, Renée Hudon (à droite) a œuvré à Radio-Canada durant 40 ans. Enfant, Renée Hudon avait obtenu un rôle, en raison de sa maîtrise de l’anglais, dans le film I Confess d’Alfred Hitchcock, dont les scènes extérieures avaient été tournées à Québec.

  • ANDRÉ PERUSSE 23 SEPTEMBRE, 72 ANS Grand organisateur d’évènements à Montréal, il a été codirecteur, puis directeur de la programmation des Arts de la rue au festival Juste pour rire durant 15 ans.

    PHOTO IVANOH DEMERS, ARCHIVES LA PRESSE

    ANDRÉ PERUSSE
    23 SEPTEMBRE, 72 ANS
    Grand organisateur d’évènements à Montréal, il a été codirecteur, puis directeur de la programmation des Arts de la rue au festival Juste pour rire durant 15 ans.

  • GUY LATRAVERSE 14 OCTOBRE, 84 ANS Grand bâtisseur et producteur de l’industrie culturelle québécoise, notamment dans les domaines du disque et du spectacle. Celui que l’on surnommait le « père du show-business » au Québec a entre autres été l’homme derrière les spectacles hors normes de Diane Dufresne. Agent artistique et producteur, il a travaillé avec Yvon Deschamps, Jean-Pierre Ferland, Jean Lapointe et plusieurs autres Québécois, en plus de faire venir au Québec de nombreux artistes internationaux.

    PHOTO EDOUARD PLANTE-FRÉCHETTE, ARCHIVES LA PRESSE

    GUY LATRAVERSE
    14 OCTOBRE, 84 ANS
    Grand bâtisseur et producteur de l’industrie culturelle québécoise, notamment dans les domaines du disque et du spectacle. Celui que l’on surnommait le « père du show-business » au Québec a entre autres été l’homme derrière les spectacles hors normes de Diane Dufresne. Agent artistique et producteur, il a travaillé avec Yvon Deschamps, Jean-Pierre Ferland, Jean Lapointe et plusieurs autres Québécois, en plus de faire venir au Québec de nombreux artistes internationaux.

  • ARMAND LARRIVÉE MONROE 25 NOVEMBRE, 88 ANS Pionnier de la scène homosexuelle de Montréal, il a été le personnificateur de la scène gaie et des drag queens dès la fin des années 1950. Il a « fracassé le plafond de verre pour les hommes qui voulaient tout simplement s’aimer en public », a écrit Fierté Montréal en annonçant sa disparition.

    PHOTO SARAH MONGEAU-BIRKETT, ARCHIVES LA PRESSE

    ARMAND LARRIVÉE MONROE
    25 NOVEMBRE, 88 ANS
    Pionnier de la scène homosexuelle de Montréal, il a été le personnificateur de la scène gaie et des drag queens dès la fin des années 1950. Il a « fracassé le plafond de verre pour les hommes qui voulaient tout simplement s’aimer en public », a écrit Fierté Montréal en annonçant sa disparition.

  • ALAIN CHARTRAND 11 DÉCEMBRE, 77 ANS Cinéaste, scénariste et producteur québécois, Alain Chartrand a entre autres signé les longs métrages Ding et Dong, le film, La maison du pêcheur ainsi que les séries télévisées Montréal, ville ouverte et Chartrand et Simone, portrait de ses parents Michel Chartrand et Simone Monet-Chartrand.

    PHOTO MARCO CAMPANOZZI, ARCHIVES LA PRESSE

    ALAIN CHARTRAND
    11 DÉCEMBRE, 77 ANS
    Cinéaste, scénariste et producteur québécois, Alain Chartrand a entre autres signé les longs métrages Ding et Dong, le film, La maison du pêcheur ainsi que les séries télévisées Montréal, ville ouverte et Chartrand et Simone, portrait de ses parents Michel Chartrand et Simone Monet-Chartrand.

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Les grands disparus | Ils et elles ont marqué l'histoire culturelle du Québec - La Presse
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Tuesday, December 26, 2023

Atteint d'un trouble rare, ce chanteur québécois subit une opération qui lui redonne «une deuxième vie» - Le Journal de Montréal

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Atteint d'un trouble rare, ce chanteur québécois subit une opération qui lui redonne «une deuxième vie»  Le Journal de Montréal
Atteint d'un trouble rare, ce chanteur québécois subit une opération qui lui redonne «une deuxième vie» - Le Journal de Montréal
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Télévision et cinéma québécois | L'embarras du choix malgré des problèmes criants - La Presse

(Montréal) Le public friand de films et d’émissions venant du Québec avait l’embarras du choix au cours d’un automne foisonnant, mais cette belle vitrine dissimule une réalité faite d’un manque de financement et d’une dilution du contenu québécois dans l’offre de plateformes étrangères.

Le mot « décroissance » est prononcé par plusieurs acteurs du milieu télévisuel et cinématographique, qui y voient un risque pour la transmission et la vitalité de la culture francophone du Québec.

La baisse est de l’ordre de 30 % de projets acceptés en 2023 par rapport à l’année précédente, indique la présidente-directrice générale de l’Association québécoise de la production médiatique (AQPM), Hélène Messier.

Et si ce repli s’explique en partie par la congestion sur les écrans en 2023 issue de la reprise de l’activité post-pandémie, la situation est loin d’être circonstancielle, disent plusieurs intervenants. Ceux-ci soulignent un financement qui stagne à plusieurs égards et un écart important de budgets pour les productions francophones au Québec en comparaison avec les productions dans le reste du pays.

Il y a un « réel enjeu de financement dans le système », selon la présidente-directrice générale du Bureau du cinéma et de la télévision du Québec (BCTQ), Christine Maestracci.

Certains montants d’aide durant la pandémie n’ont pas été renouvelés et les coûts ont continué d’exploser dans un contexte de forte inflation.

Pour un film produit avant la pandémie et un film similaire produit maintenant, les coûts ont augmenté de 30 à 40 %, indique la présidente-directrice générale de l’Association québécoise de la production médiatique (AQPM), Hélène Messier.

Des centaines d’artisans levaient début décembre un « drapeau rouge » pour l’avenir du cinéma québécois, alors même qu’ils soulignaient que cinq films d’ici avaient dépassé en 2023 le million de dollars de recettes en salles : Le temps d’un étéKatak le brave bélugaTestamentLes hommes de ma mère et Simple comme Sylvain. Depuis ce temps, le film Ru a aussi dépassé le cap du million de dollars de recettes au box-office.

PHOTO FOURNIE

Image tirée du film Ru.

Dans cette lettre ouverte, ils exhortaient le gouvernement libéral fédéral à respecter sa promesse de bonifier de façon permanente le budget de Téléfilm Canada de 50 millions annuellement. Et que cette augmentation pérenne soit assortie de l’obligation pour l’organisme de consacrer 40 % de son budget total à la production de langue française, plutôt que le niveau actuel de 33 %.

Aucune confirmation n’avait été donnée avant la période des Fêtes, soulignait le signataire Pierre Even, fondateur, président et producteur d’ITEM 7, dans une infolettre de l’AQPM du 18 décembre.

« Si vous comparez un budget d’une série ou d’un film fait au Québec, versus le même budget qu’il recevrait s’il était dans le reste du Canada, on est sur des multiples bien différents », expose Mme Maestracci.

Selon les données des séries soutenues par le Fonds des médias du Canada, le budget moyen par heure de séries télévisuelles dramatiques en français était de 620 000 $ en 2022-2023, comparativement à 2,4 millions pour les séries dramatiques en anglais.

Cela compromet la capacité au Québec de « raconter nos histoires », souligne Mme Maestracci.

Mme Messier souligne d’autres éléments clés qui seront soulevés par l’industrie en 2024 auprès des instances : la promesse du fédéral de doubler sur trois ans sa contribution monétaire au Fonds des médias du Canada, le cadre réglementaire pour mettre à contribution les plateformes étrangères en ligne dans la foulée de la sanction de la Loi sur la diffusion continue en ligne ou C-11 et la bonification au Québec des crédits d’impôt sur la masse salariale.

Une « performance de production »

Dans la même veine, Philippe Falardeau, à qui l’on doit cette année la réalisation de la série de fiction Le temps des framboises et la série documentaire Lac-Mégantic : Ceci n’est pas un accident, prévient que l’augmentation du financement public des projets est le « nerf de la guerre ».

Le cinéaste québécois, qui a tourné plusieurs projets aux États-Unis après le succès de son film Monsieur Lazhar en 2011, affirme qu’il n’y a pas de raisons qui pourraient l’amener à ne plus tourner au Québec. Que ce soit ici ou ailleurs, il regarde « projet par projet », en se posant la question sur ce qu’il veut dire, ce qu’il veut raconter.

Reste qu’il considère qu’à certains égards, tourner au Québec devient un « sport extrême ». Surtout du côté des projets télévisuels.

PHOTO ALAIN ROBERGE, ARCHIVES LA PRESSE

Le réalisateur Philippe Falardeau

Je dis souvent qu’on est victimes de notre propre compétence [au Québec]. En télévision, on a prouvé qu’on est capables de tourner rapidement, et faire de belles choses. Donc, on crée des précédents. Regarde, telle personne l’a fait avec tel budget. Et ça devient une « performance de production », mais ça ne veut pas dire que c’est toujours plaisant de travailler dans ces conditions-là. À un moment donné, il faut collectivement freiner cette glissade.

Philippe Falardeau

D’autant plus qu’on est en compétition, « qu’on le veuille ou non, avec Succession, avec Game of Thrones, ne serait-ce que dans le temps qu’a le spectateur pour visionner des affaires ».

Mme Messier souligne que les budgets moyens pour les productions télévisuelles et cinématographiques de fiction et de documentaire ont diminué de 34 % et de 31 % depuis 2012-2013 en dollars constants.

Et cela, dans un contexte où le milieu de l’audiovisuel québécois n’a jamais été aussi fortement « en concurrence avec du contenu qui provient de partout et qui est mieux financé ».

« Les producteurs sont très inquiets, l’industrie est très fragile », avance Mme Messier, qui juge qu’en l’absence d’une aide financière rapide, il y aura des « coupes importantes au niveau du nombre de productions ou de la qualité des productions ».

Ceci dit, des projets audacieux trouvent leur place, comme le souligne Julien Hurteau, réalisateur des productions Les Petits RoisAlertes 2 et Téodore pas de H. Mais pour combien de temps encore ?

« C’est mi-figue, mi-raisin, dans le sens où personnellement, je n’ai jamais eu autant d’opportunités de travailler sur des projets engageants, intéressants comme ça. Je sens les diffuseurs plus audacieux, ils essaient des affaires. On l’a vu dans les dernières années, il y a des super bonnes séries, comme M’entends-tu ?. Oh wow, on peut aller là, il y a un public pour ça. En même temps, vu qu’il y a une guerre de plateformes, il y a tellement de contenu, ça se dilue, ça dilue l’argent aussi », souligne-t-il.

La multiplication des plateformes

Dans une lettre ouverte en novembre dernier, l’ancien gestionnaire Denis Dubois appelait les gouvernements, diffuseurs, producteurs et syndicats à faire preuve d’« audace ».

M. Dubois estime qu’il faut « faire du public notre seule priorité » et que les jeunes auditeurs « nous trouvent sur leur passage ».

« Je pense qu’ils ont encore un attachement sincère, mais ils ne nous trouvent pas où ils sont. Il faut revoir nos stratégies », soutient celui qui a quitté cette année ses fonctions de vice-président aux contenus originaux à Québecor et qui avait notamment été directeur général des programmes à Télé-Québec.

M. Dubois suggère la création d’une plateforme commune, « où le public trouverait l’ensemble de notre production télé, cinéma, numérique et dont nous, l’industrie, aurions le contrôle et la mise en marché ».

Il lance aussi cette piste de réflexion : « produire moins, mais produire mieux ».

« Nous n’avons pas les moyens de maintenir le niveau de production actuel. Les plateformes américaines nous ont habitués à des productions que nous pouvons difficilement égaler », écrit M. Dubois.

Tout en se considérant l’un des privilégiés en ce qui a trait aux moyens étant donné son expérience, Philippe Falardeau « continue de croire que ça ne sert à rien de faire des films pour essouffler une industrie, essouffler des artisans, et ne pas donner des budgets qui correspondent aux scénarios qui sont acceptés ».

Pour ce faire, c’est soit moins de projets, soit plus d’argent. L’équation est très simple.

Philippe Falardeau

Si Mme Maestracci se questionne aussi sur les prémisses de financement sur lesquelles on fonctionne depuis très longtemps, elle croit qu’il faut continuer d’offrir un « foisonnement » de contenus pour rejoindre tous les publics.

« Produire moins ? Comment on s’assure qu’il y a des voix émergentes, aussi, qui ressortent du lot ? Parce qu’il faut, quand même, créer de la relève. Et puis, qu’est-ce qu’on met à l’antenne ? Qu’est-ce qu’on propose aux gens ? », fait-elle valoir.

Sur le radar en 2024, il faudra aussi garder un œil sur les négociations de renouvellement des conventions collectives qui portent notamment sur la rémunération des artistes et des techniciens. Ces négociations de l’AQPM avec l’Union des artistes (UDA) et l’Association québécoise des techniciens et techniciennes de l’image et du son (AQTIS) ont eu cours jusqu’aux dernières semaines avant les Fêtes, et doivent reprendre en janvier.

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Monday, December 25, 2023

Famille | Cinq jeux à découvrir | La Presse - La Presse

À temps pour la période des Fêtes, voici quelques suggestions de jeux pour jouer en famille ou entre amis

L’éveil des SangDragons

Jeunes amateurs de récits fantastiques, réjouissez-vous : l’éditeur québécois Gladius a pensé à vous avec un jeu alliant sorcellerie, gobelins et reptiles qui crachent du feu ! Le Québécois Thomas Wilson a eu l’idée d’un univers magique où les dragons sont au bord de l’extinction. Pour assurer la survie de l’espèce, les héros-joueurs doivent porter un œuf de dragon à travers quatre royaumes remplis de créatures maléfiques...

Les héros doivent combattre ces vilains à coups de dés, avancer sur un parcours semé d’embûches, mais aussi amasser des trésors et des objets magiques qui les aideront dans leur mission. Le gagnant ? Il deviendra le premier de la lignée des SangDragons...

La thématique fantastique est superbement déployée dans ce jeu très bien pensé, parfait pour initier les plus jeunes à la mécanique des combats de dés. À savoir : deux romans jeunesse campés dans ce même univers ont déjà été publiés. D’autres suivront, nous promet l’éditeur.

Nombre de joueurs : de 2 à 4 Âge : 8 ans et plus
Durée : entre 30 et 60 minutes
Prix : 50 $

Stéphanie Morin, La Presse

PHOTO MARCO CAMPANOZZI, LA PRESSE

Zéro à 1000

Zéro à 1000

Le Scorpion masqué revisite la formule à succès de Zéro à 100, mais en multipliant l’échelle par 10 et en ajoutant quelques variantes. Il s’agit encore une fois d’estimer la valeur de la question écrite sur l’une de nos cartes en main de façon à se rapprocher le plus de la valeur cible placée au centre la table. Quand tous les joueurs ont choisi leur carte, on dévoile les résultats et le joueur qui a la moins bonne estimation doit piocher une nouvelle carte. Quand un joueur se retrouve avec une seule carte en main, il gagne.

Toutefois, les cartes pouvoir sont différentes de celles de Zéro à 100, notamment celle qui permet de jouer deux cartes question en choisissant d’additionner ou de soustraire leur valeur.

« C’est vraiment le fun, et les questions ne sont pas évidentes, souligne notre testeur-cuisinier à l’occasion d’une partie de chasse automnale. C’est rapide, simple, efficace, le genre de jeu apéro que l’on peut sortir avant d’entreprendre un gros jeu. » On apprend aussi beaucoup en jouant à Zéro à 1000, qui est certainement plus difficile que son petit frère Zéro à 100. « Le défi est plus relevé du fait que l’on ne connaisse pas très bien les grands nombres, fait remarquer avec justesse notre collègue photographe. On perd rapidement l’échelle des gros chiffres. » Il est en effet facile de manquer de cible !

Nombre de joueurs : de 2 à 12 Âge : 12 ans et plus
Durée : 15 minutes
Prix : 20 $

Pierre-Marc Durivage, La Presse

PHOTO MARCO CAMPANOZZI, LA PRESSE

Sur les traces de Darwin

Sur les traces de Darwin

Charles Darwin a besoin d’aide pour rédiger son célèbre ouvrage L’origine des espèces. Comment lui donner un coup de main ? En colligeant de l’information sur des continents peu fréquentés lors de son voyage à bord du Beagle. Chaque joueur doit ici collectionner les espèces, les classer astucieusement sur son carnet de naturaliste et publier diverses théories pour espérer être sacré vainqueur.

Un jeu au visuel très (très) réussi et aux règles faciles à assimiler, où il est possible d’apprendre tout en s’amusant. Un appendice fourni dans la boîte propose en effet quelques anecdotes sur les divers animaux du jeu et sur le voyage mythique de Darwin autour du globe. Un régal pour les yeux et les neurones des naturalistes de tout âge.

Nombre de joueurs : de 2 à 5 Âge : 8 ans et plus
Durée : 30 minutes
Prix : 50 $

Stéphanie Morin, La Presse

PHOTO MARCO CAMPANOZZI, LA PRESSE

Le jeu de société Dixit est désormais offert dans une version hommage à Disney.

Dixit Disney

Beaucoup connaissent la mécanique du jeu Dixit, où il faut associer une image souvent impressionniste à un mot lancé par un adversaire. Quelle carte évoque le plus la peur ? Le voyage ? La vieillesse ? Le jeu a fait ses preuves : plus de 12 millions d’exemplaires ont été vendus depuis sa création en 2008.

La particularité de cette version ? Elle est campée dans le monde merveilleux de Disney. Ici, les images mettent en scène des personnages bien connus, et pas seulement des enfants. Pensez à Peter Pan, à Blanche-Neige, à Pocahontas ou à Belle. Pour l’occasion, les pions ont pris des formes rigolotes et colorées, et le plateau de jeu est à l’avenant.

Bref, on ne réinvente pas le concept (pourquoi changer une formule gagnante ?), mais en optant pour des personnages connus des enfants, leur découverte du jeu est sans conteste facilitée. Une belle entrée en matière pour un jeu qui gagne encore et toujours à être connu.

Nombre de joueurs : de 3 à 6 Âge : 8 ans et plus
Durée : 30 minutes
Prix : 55 $

Stéphanie Morin, La Presse

Le choix du pro

PHOTO LIBELLUD

Obscurio

Obscurio

Bien que spécialisées dans les jeux de cartes à collectionner de type Magic et Pokémon, les deux boutiques L’Expédition se distinguent aussi par le fait qu’elles offrent de vastes bibliothèques de jeux de société mis à la disposition des clients qui peuvent jouer gratuitement sur place. « On organise aussi des soirées de Donjons et Dragons, on a des tournois de cartes tous les soirs, les horaires d’activités complets sont sur les pages web de nos boutiques de Montréal et de Greenfield Park », nous dit le propriétaire Guillaume Garant-Rousseau, qui a ouvert son premier magasin il y a huit ans sur la Plaza Saint-Hubert.

À temps pour la période des Fêtes, il nous suggère de jouer à Obscurio, un jeu collaboratif où les joueurs doivent s’échapper d’une bibliothèque maudite, en dépit des machinations d’un traître dans leurs rangs. « Ce n’est pas toujours facile de trouver des jeux où tu peux jouer sans compromis avec des gens de différents profils, souligne-t-il avec raison. Avec Obscurio, pas besoin de réduire le niveau de jeu même si on joue avec des enfants ou les grands-parents. C’est vraiment un jeu de communication, tout le monde peut jouer sans retenue. »

Obscurio est un jeu de communication d’images qui intègre la mécanique du populaire Loup-Garou de Thiercellieux. Les joueurs incarnent des personnages qui ont des aptitudes différentes, il y a un maître de jeu qui révèle des indices et qui supervise le tour de jeu du traître. À chaque ronde, les joueurs doivent trouver au moins une porte de sortie pour progresser ; moins ils ont de bonnes réponses, plus le traître a d’occasions de placer des pièges. « Dans la mesure où il y a un joueur qui connaît bien le jeu et qui peut s’occuper de la mise en place, c’est très facile à jouer, explique Guillaume Garant-Rousseau. Et on peut facilement jouer plusieurs parties. »

Nombre de joueurs : de 2 à 8 Âge : 10 ans et plus
Durée : 45 minutes
Prix : 70 $

Pierre-Marc Durivage, La Presse

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