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Frustré par un spectateur: Dave Chappelle met fin à son spectacle et quitte la scène TVA NouvellesFrustré par un spectateur: Dave Chappelle met fin à son spectacle et quitte la scène - TVA Nouvelles
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Frustré par un spectateur: Dave Chappelle met fin à son spectacle et quitte la scène TVA Nouvelles[unable to retrieve full-text content]
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Un collectif féministe dénonce le soutien de Macron à Depardieu Le Journal de MontréalAfficher la couverture complète sur Google ActualitésQue ce soit en politique, dans la magistrature, dans la lutte environnementale, sur la scène médiatique ou dans le sport, plusieurs personnalités ont marqué leur passage dans leur domaine avant de nous quitter cette année.
Voici la deuxième partie de notre série sur les grands disparus de 2023, cette fois à l'échelle canadienne, dans les sphères sociale, politique et sportive.
« Chaque fois qu'il y a une instabilité géopolitique, les gens cherchent un refuge vers la sécurité. »
Le nouveau régime fédéral d'assurance dentaire entrera progressivement en vigueur dès 2024.
La famille Dessureault vient tout juste d’emménager dans sa nouvelle maison à Sainte-Geneviève-de-Batiscan.
L'engorgement est dû au manque d'espaces dans d'autres départements des hôpitaux, selon une urgentologue.
Les deux États intègrent la zone de libre circulation avec d'autres pays de l'Union européenne.
Le nouveau régime fédéral d'assurance dentaire entrera progressivement en vigueur dès 2024.
L'engorgement est dû au manque d'espaces dans d'autres départements des hôpitaux, selon une urgentologue.
« Chaque fois qu'il y a une instabilité géopolitique, les gens cherchent un refuge vers la sécurité. »
Éduc'alcool invite les hôtes à ne pas stigmatiser les convives qui refusent de boire.
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Évoquant des contraintes financières, CBC a indiqué vendredi qu’elle annulait la diffusion de son émission spéciale du Nouvel An.
Le programme sera remplacé par une émission spéciale de Just For Laughs, animée par l’humoriste Mae Martin, suivie d’épisodes de Comedy Night with Rick Mercer.
En entrevue avec La Presse Canadienne, le diffuseur public a évoqué des « pressions financières » pour justifier le changement notable.
Pendant plus de vingt ans, CBC a souligné le réveillon du Nouvel An avec une émission spéciale de la série télévisée humoristique Royal Canadian Air Farce.
Depuis 2018, elle a été remplacée par un programme spécial d’une heure, qui incluait notamment des numéros musicaux et des feux d’artifice.
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Le député et acteur Denis Trudel célèbre ses 30 ans de sobriété Le Journal de Montréal[unable to retrieve full-text content]
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Atteint d'un trouble rare, ce chanteur québécois subit une opération qui lui redonne «une deuxième vie» Le Journal de Montréal(Montréal) Le public friand de films et d’émissions venant du Québec avait l’embarras du choix au cours d’un automne foisonnant, mais cette belle vitrine dissimule une réalité faite d’un manque de financement et d’une dilution du contenu québécois dans l’offre de plateformes étrangères.
Le mot « décroissance » est prononcé par plusieurs acteurs du milieu télévisuel et cinématographique, qui y voient un risque pour la transmission et la vitalité de la culture francophone du Québec.
La baisse est de l’ordre de 30 % de projets acceptés en 2023 par rapport à l’année précédente, indique la présidente-directrice générale de l’Association québécoise de la production médiatique (AQPM), Hélène Messier.
Et si ce repli s’explique en partie par la congestion sur les écrans en 2023 issue de la reprise de l’activité post-pandémie, la situation est loin d’être circonstancielle, disent plusieurs intervenants. Ceux-ci soulignent un financement qui stagne à plusieurs égards et un écart important de budgets pour les productions francophones au Québec en comparaison avec les productions dans le reste du pays.
Il y a un « réel enjeu de financement dans le système », selon la présidente-directrice générale du Bureau du cinéma et de la télévision du Québec (BCTQ), Christine Maestracci.
Certains montants d’aide durant la pandémie n’ont pas été renouvelés et les coûts ont continué d’exploser dans un contexte de forte inflation.
Pour un film produit avant la pandémie et un film similaire produit maintenant, les coûts ont augmenté de 30 à 40 %, indique la présidente-directrice générale de l’Association québécoise de la production médiatique (AQPM), Hélène Messier.
Des centaines d’artisans levaient début décembre un « drapeau rouge » pour l’avenir du cinéma québécois, alors même qu’ils soulignaient que cinq films d’ici avaient dépassé en 2023 le million de dollars de recettes en salles : Le temps d’un été, Katak le brave béluga, Testament, Les hommes de ma mère et Simple comme Sylvain. Depuis ce temps, le film Ru a aussi dépassé le cap du million de dollars de recettes au box-office.
Dans cette lettre ouverte, ils exhortaient le gouvernement libéral fédéral à respecter sa promesse de bonifier de façon permanente le budget de Téléfilm Canada de 50 millions annuellement. Et que cette augmentation pérenne soit assortie de l’obligation pour l’organisme de consacrer 40 % de son budget total à la production de langue française, plutôt que le niveau actuel de 33 %.
Aucune confirmation n’avait été donnée avant la période des Fêtes, soulignait le signataire Pierre Even, fondateur, président et producteur d’ITEM 7, dans une infolettre de l’AQPM du 18 décembre.
« Si vous comparez un budget d’une série ou d’un film fait au Québec, versus le même budget qu’il recevrait s’il était dans le reste du Canada, on est sur des multiples bien différents », expose Mme Maestracci.
Selon les données des séries soutenues par le Fonds des médias du Canada, le budget moyen par heure de séries télévisuelles dramatiques en français était de 620 000 $ en 2022-2023, comparativement à 2,4 millions pour les séries dramatiques en anglais.
Cela compromet la capacité au Québec de « raconter nos histoires », souligne Mme Maestracci.
Mme Messier souligne d’autres éléments clés qui seront soulevés par l’industrie en 2024 auprès des instances : la promesse du fédéral de doubler sur trois ans sa contribution monétaire au Fonds des médias du Canada, le cadre réglementaire pour mettre à contribution les plateformes étrangères en ligne dans la foulée de la sanction de la Loi sur la diffusion continue en ligne ou C-11 et la bonification au Québec des crédits d’impôt sur la masse salariale.
Dans la même veine, Philippe Falardeau, à qui l’on doit cette année la réalisation de la série de fiction Le temps des framboises et la série documentaire Lac-Mégantic : Ceci n’est pas un accident, prévient que l’augmentation du financement public des projets est le « nerf de la guerre ».
Le cinéaste québécois, qui a tourné plusieurs projets aux États-Unis après le succès de son film Monsieur Lazhar en 2011, affirme qu’il n’y a pas de raisons qui pourraient l’amener à ne plus tourner au Québec. Que ce soit ici ou ailleurs, il regarde « projet par projet », en se posant la question sur ce qu’il veut dire, ce qu’il veut raconter.
Reste qu’il considère qu’à certains égards, tourner au Québec devient un « sport extrême ». Surtout du côté des projets télévisuels.
Je dis souvent qu’on est victimes de notre propre compétence [au Québec]. En télévision, on a prouvé qu’on est capables de tourner rapidement, et faire de belles choses. Donc, on crée des précédents. Regarde, telle personne l’a fait avec tel budget. Et ça devient une « performance de production », mais ça ne veut pas dire que c’est toujours plaisant de travailler dans ces conditions-là. À un moment donné, il faut collectivement freiner cette glissade.
Philippe Falardeau
D’autant plus qu’on est en compétition, « qu’on le veuille ou non, avec Succession, avec Game of Thrones, ne serait-ce que dans le temps qu’a le spectateur pour visionner des affaires ».
Mme Messier souligne que les budgets moyens pour les productions télévisuelles et cinématographiques de fiction et de documentaire ont diminué de 34 % et de 31 % depuis 2012-2013 en dollars constants.
Et cela, dans un contexte où le milieu de l’audiovisuel québécois n’a jamais été aussi fortement « en concurrence avec du contenu qui provient de partout et qui est mieux financé ».
« Les producteurs sont très inquiets, l’industrie est très fragile », avance Mme Messier, qui juge qu’en l’absence d’une aide financière rapide, il y aura des « coupes importantes au niveau du nombre de productions ou de la qualité des productions ».
Ceci dit, des projets audacieux trouvent leur place, comme le souligne Julien Hurteau, réalisateur des productions Les Petits Rois, Alertes 2 et Téodore pas de H. Mais pour combien de temps encore ?
« C’est mi-figue, mi-raisin, dans le sens où personnellement, je n’ai jamais eu autant d’opportunités de travailler sur des projets engageants, intéressants comme ça. Je sens les diffuseurs plus audacieux, ils essaient des affaires. On l’a vu dans les dernières années, il y a des super bonnes séries, comme M’entends-tu ?. Oh wow, on peut aller là, il y a un public pour ça. En même temps, vu qu’il y a une guerre de plateformes, il y a tellement de contenu, ça se dilue, ça dilue l’argent aussi », souligne-t-il.
Dans une lettre ouverte en novembre dernier, l’ancien gestionnaire Denis Dubois appelait les gouvernements, diffuseurs, producteurs et syndicats à faire preuve d’« audace ».
M. Dubois estime qu’il faut « faire du public notre seule priorité » et que les jeunes auditeurs « nous trouvent sur leur passage ».
« Je pense qu’ils ont encore un attachement sincère, mais ils ne nous trouvent pas où ils sont. Il faut revoir nos stratégies », soutient celui qui a quitté cette année ses fonctions de vice-président aux contenus originaux à Québecor et qui avait notamment été directeur général des programmes à Télé-Québec.
M. Dubois suggère la création d’une plateforme commune, « où le public trouverait l’ensemble de notre production télé, cinéma, numérique et dont nous, l’industrie, aurions le contrôle et la mise en marché ».
Il lance aussi cette piste de réflexion : « produire moins, mais produire mieux ».
« Nous n’avons pas les moyens de maintenir le niveau de production actuel. Les plateformes américaines nous ont habitués à des productions que nous pouvons difficilement égaler », écrit M. Dubois.
Tout en se considérant l’un des privilégiés en ce qui a trait aux moyens étant donné son expérience, Philippe Falardeau « continue de croire que ça ne sert à rien de faire des films pour essouffler une industrie, essouffler des artisans, et ne pas donner des budgets qui correspondent aux scénarios qui sont acceptés ».
Pour ce faire, c’est soit moins de projets, soit plus d’argent. L’équation est très simple.
Philippe Falardeau
Si Mme Maestracci se questionne aussi sur les prémisses de financement sur lesquelles on fonctionne depuis très longtemps, elle croit qu’il faut continuer d’offrir un « foisonnement » de contenus pour rejoindre tous les publics.
« Produire moins ? Comment on s’assure qu’il y a des voix émergentes, aussi, qui ressortent du lot ? Parce qu’il faut, quand même, créer de la relève. Et puis, qu’est-ce qu’on met à l’antenne ? Qu’est-ce qu’on propose aux gens ? », fait-elle valoir.
Sur le radar en 2024, il faudra aussi garder un œil sur les négociations de renouvellement des conventions collectives qui portent notamment sur la rémunération des artistes et des techniciens. Ces négociations de l’AQPM avec l’Union des artistes (UDA) et l’Association québécoise des techniciens et techniciennes de l’image et du son (AQTIS) ont eu cours jusqu’aux dernières semaines avant les Fêtes, et doivent reprendre en janvier.
Jeunes amateurs de récits fantastiques, réjouissez-vous : l’éditeur québécois Gladius a pensé à vous avec un jeu alliant sorcellerie, gobelins et reptiles qui crachent du feu ! Le Québécois Thomas Wilson a eu l’idée d’un univers magique où les dragons sont au bord de l’extinction. Pour assurer la survie de l’espèce, les héros-joueurs doivent porter un œuf de dragon à travers quatre royaumes remplis de créatures maléfiques...
Les héros doivent combattre ces vilains à coups de dés, avancer sur un parcours semé d’embûches, mais aussi amasser des trésors et des objets magiques qui les aideront dans leur mission. Le gagnant ? Il deviendra le premier de la lignée des SangDragons...
La thématique fantastique est superbement déployée dans ce jeu très bien pensé, parfait pour initier les plus jeunes à la mécanique des combats de dés. À savoir : deux romans jeunesse campés dans ce même univers ont déjà été publiés. D’autres suivront, nous promet l’éditeur.
Nombre de joueurs : de 2 à 4 Âge : 8 ans et plus
Durée : entre 30 et 60 minutes
Prix : 50 $
Stéphanie Morin, La Presse
Le Scorpion masqué revisite la formule à succès de Zéro à 100, mais en multipliant l’échelle par 10 et en ajoutant quelques variantes. Il s’agit encore une fois d’estimer la valeur de la question écrite sur l’une de nos cartes en main de façon à se rapprocher le plus de la valeur cible placée au centre la table. Quand tous les joueurs ont choisi leur carte, on dévoile les résultats et le joueur qui a la moins bonne estimation doit piocher une nouvelle carte. Quand un joueur se retrouve avec une seule carte en main, il gagne.
Toutefois, les cartes pouvoir sont différentes de celles de Zéro à 100, notamment celle qui permet de jouer deux cartes question en choisissant d’additionner ou de soustraire leur valeur.
« C’est vraiment le fun, et les questions ne sont pas évidentes, souligne notre testeur-cuisinier à l’occasion d’une partie de chasse automnale. C’est rapide, simple, efficace, le genre de jeu apéro que l’on peut sortir avant d’entreprendre un gros jeu. » On apprend aussi beaucoup en jouant à Zéro à 1000, qui est certainement plus difficile que son petit frère Zéro à 100. « Le défi est plus relevé du fait que l’on ne connaisse pas très bien les grands nombres, fait remarquer avec justesse notre collègue photographe. On perd rapidement l’échelle des gros chiffres. » Il est en effet facile de manquer de cible !
Nombre de joueurs : de 2 à 12 Âge : 12 ans et plus
Durée : 15 minutes
Prix : 20 $
Pierre-Marc Durivage, La Presse
Charles Darwin a besoin d’aide pour rédiger son célèbre ouvrage L’origine des espèces. Comment lui donner un coup de main ? En colligeant de l’information sur des continents peu fréquentés lors de son voyage à bord du Beagle. Chaque joueur doit ici collectionner les espèces, les classer astucieusement sur son carnet de naturaliste et publier diverses théories pour espérer être sacré vainqueur.
Un jeu au visuel très (très) réussi et aux règles faciles à assimiler, où il est possible d’apprendre tout en s’amusant. Un appendice fourni dans la boîte propose en effet quelques anecdotes sur les divers animaux du jeu et sur le voyage mythique de Darwin autour du globe. Un régal pour les yeux et les neurones des naturalistes de tout âge.
Nombre de joueurs : de 2 à 5 Âge : 8 ans et plus
Durée : 30 minutes
Prix : 50 $
Stéphanie Morin, La Presse
Beaucoup connaissent la mécanique du jeu Dixit, où il faut associer une image souvent impressionniste à un mot lancé par un adversaire. Quelle carte évoque le plus la peur ? Le voyage ? La vieillesse ? Le jeu a fait ses preuves : plus de 12 millions d’exemplaires ont été vendus depuis sa création en 2008.
La particularité de cette version ? Elle est campée dans le monde merveilleux de Disney. Ici, les images mettent en scène des personnages bien connus, et pas seulement des enfants. Pensez à Peter Pan, à Blanche-Neige, à Pocahontas ou à Belle. Pour l’occasion, les pions ont pris des formes rigolotes et colorées, et le plateau de jeu est à l’avenant.
Bref, on ne réinvente pas le concept (pourquoi changer une formule gagnante ?), mais en optant pour des personnages connus des enfants, leur découverte du jeu est sans conteste facilitée. Une belle entrée en matière pour un jeu qui gagne encore et toujours à être connu.
Nombre de joueurs : de 3 à 6 Âge : 8 ans et plus
Durée : 30 minutes
Prix : 55 $
Stéphanie Morin, La Presse
Le choix du pro
Obscurio
Bien que spécialisées dans les jeux de cartes à collectionner de type Magic et Pokémon, les deux boutiques L’Expédition se distinguent aussi par le fait qu’elles offrent de vastes bibliothèques de jeux de société mis à la disposition des clients qui peuvent jouer gratuitement sur place. « On organise aussi des soirées de Donjons et Dragons, on a des tournois de cartes tous les soirs, les horaires d’activités complets sont sur les pages web de nos boutiques de Montréal et de Greenfield Park », nous dit le propriétaire Guillaume Garant-Rousseau, qui a ouvert son premier magasin il y a huit ans sur la Plaza Saint-Hubert.
À temps pour la période des Fêtes, il nous suggère de jouer à Obscurio, un jeu collaboratif où les joueurs doivent s’échapper d’une bibliothèque maudite, en dépit des machinations d’un traître dans leurs rangs. « Ce n’est pas toujours facile de trouver des jeux où tu peux jouer sans compromis avec des gens de différents profils, souligne-t-il avec raison. Avec Obscurio, pas besoin de réduire le niveau de jeu même si on joue avec des enfants ou les grands-parents. C’est vraiment un jeu de communication, tout le monde peut jouer sans retenue. »
Obscurio est un jeu de communication d’images qui intègre la mécanique du populaire Loup-Garou de Thiercellieux. Les joueurs incarnent des personnages qui ont des aptitudes différentes, il y a un maître de jeu qui révèle des indices et qui supervise le tour de jeu du traître. À chaque ronde, les joueurs doivent trouver au moins une porte de sortie pour progresser ; moins ils ont de bonnes réponses, plus le traître a d’occasions de placer des pièges. « Dans la mesure où il y a un joueur qui connaît bien le jeu et qui peut s’occuper de la mise en place, c’est très facile à jouer, explique Guillaume Garant-Rousseau. Et on peut facilement jouer plusieurs parties. »
Nombre de joueurs : de 2 à 8 Âge : 10 ans et plus
Durée : 45 minutes
Prix : 70 $
Pierre-Marc Durivage, La Presse
Le ministre de la Culture, Mathieu Lacombe, veut voir et entendre davantage de contenu d’ici sur les plateformes en ligne à la Netflix et ...