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Thursday, February 1, 2024

Québec changera ses lois pour rehausser le contenu québécois sur les plateformes en ligne - Le Devoir

Le ministre de la Culture, Mathieu Lacombe, veut voir et entendre davantage de contenu d’ici sur les plateformes en ligne à la Netflix et à la Spotify. Fort du feu vert d’un groupe d’experts indépendant, il s’est engagé mercredi à déposer un projet de loi pour rehausser la présence de produits audiovisuels québécois sur le Web.

« On va faire flèche de tout bois, parce qu’on a les moyens de nos ambitions », a lancé l’élu caquiste, visiblement satisfait des recommandations contenues dans un rapport sur « la souveraineté culturelle du Québec à l’ère du numérique », rendu public plus tôt en matinée.

Dans ce document, quatre experts, dont l’ex-ministre péquiste Louise Beaudoin, ont conclu que le Québec a bel et bien le pouvoir d’encadrer le contenu francophone sur les plateformes des géants numériques. Ils avancent aussi que « la mise en place de quotas de contenus d’expression originale de langue française pourrait éventuellement être envisagée ».

M. Lacombe n’a pas voulu préciser d’échéancier pour le dépôt de son projet de loi, mercredi, mais il a assuré s’apprêter à « poser un geste fort ». « Pour les détails du projet de loi qu’on va déposer, je ne vous les donnerai pas aujourd’hui. On est en train de travailler là-dessus », a dit l’élu caquiste.

« On a cette compétence »

En entrevue avec Le Devoir, il y a près d’un an, il avait déjà fait connaître ses intentions de légiférer en ce sens. À l’époque, le gouvernement du Québec venait d’essuyer un refus du fédéral après avoir proposé d’inclure dans le projet de loi C-11 sur les plateformes numériques un « mécanisme de consultation obligatoire et officiel du gouvernement du Québec ».

« Il n’y a rien de décidé encore, mais si on choisit d’aller de l’avant avec une loi, ce ne serait pas en contradiction avec C-11 de toute façon. Peu importe le geste que l’on décidera de poser, ce serait complémentaire », avait-il dit. 

La culture est une compétence partagée, mais la radiodiffusion et la télécommunication ont traditionnellement été réglementées par le fédéral. « Les experts aujourd’hui nous disent qu’il y a des moyens forts qui existent », a souligné M. Lacombe, mercredi. 

  Dans son rapport, le comité-conseil mandaté par le ministre de la Culture propose qu’on inscrive à même la Charte québécoise des droits et libertés « le droit fondamental des Québécois à l’accès et à la découvrabilité des contenus culturels d’expression originale de langue française dans l’environnement numérique ».

Si le ministre de la Culture exclut la création d’une éventuelle plateforme de diffusion francophone, il ouvre la porte à imposer des quotas de produits québécois au sein des grandes plateformes en ligne. « On doit avoir davantage de contenu québécois sur les grandes plateformes. On parle de Netflix, on peut dire Disney, parlons de Spotify aussi, parlons d’Apple Music, où l’écoute de la musique francophone, québécoise est en chute libre », a-t-il dit.

Dans un communiqué, mercredi, l’Association québécoise de l’industrie du disque, du spectacle et de la vidéo (ADISQ) a affirmé partager « la préoccupation des membres » du comité-conseil ayant produit le rapport diffusé en matinée. « Favoriser l’accès et la découvrabilité des contenus culturels d’expression originale de langue française […] est essentiel dans un contexte où ceux-ci représentent seulement 5 % des pistes consommées en ligne », a-t-elle déclaré.

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Jeunesse d'aujourd'hui | La Presse - La Presse

Dans un extrait vidéo de la balado Contact de Stéphan Bureau qui circule sur les réseaux sociaux depuis décembre, on voit le cinéaste Denys Arcand raconter que des étudiants en scénarisation ont demandé son renvoi après un seul cours.

Arcand leur avait demandé de prendre un grand roman, « n’importe lequel », dit-il, et d’en adapter un chapitre pour le cinéma. Il a donné en exemple Anna Karénine, Madame Bovary, Guerre et paix, Le rouge et le noir. Arcand raconte qu’un étudiant a levé la main et a demandé : « Les noms que vous venez de dire, c’est des livres, ça ? »

Personne dans la classe n’avait lu un seul de ces romans, souligne Arcand. Ni ceux d’Hemingway ou de Faulkner. Il y a eu un « silence de mort » lorsqu’il a été question de L’étranger.

Le professeur a décidé d’annuler le reste du cours ainsi que celui de la semaine suivante, afin de permettre à ses étudiants de « chercher un objet en papier avec des lettres dessus, pis ça va être marqué roman », raconte Arcand avec son ironie habituelle.

Les étudiants, explique le cinéaste à Stéphan Bureau, ont immédiatement exigé son renvoi auprès de la direction. « Nous, on est ici pour écrire. On n’est pas ici pour lire ! », lui ont-ils dit. C’est ainsi que se termine l’extrait, qui fait la promotion de Contact.

Sur les réseaux sociaux, certains ont pris la défense des étudiants et condamné une forme de condescendance perçue chez le maître. Mais la plupart ont dénoncé la paresse intellectuelle de cette génération de petits lapins fragiles, de Calinours fainéants et de flocons de neige adeptes de la culture du bannissement.

Ils n’auraient pas été rassurés par la suite immédiate de l’entrevue. « On a payé pour écrire. On n’a pas payé pour lire ! », ont ajouté les étudiants, selon Arcand. Le cinéaste regrette qu’il n’y ait pas eu entre eux de dialogue ni de référents culturels communs. On ne connaît plus l’œuvre d’Aristote ni de Shakespeare, dit-il.

« Peut-être que nos référents à nous sont d’une autre époque et qu’il y en a aujourd’hui d’autres, lui répond Stéphan Bureau. Les Kardashian, peut-être, pourrait être une forme de référence. »

Comme caricature de la jeunesse d’aujourd’hui, génération du reste dépeinte comme inculte dans Testament, on a fait plus original…

Pour la petite histoire, Denys Arcand n’a pas été renvoyé par la direction. Il le précise aussitôt que prend fin l’extrait diffusé sur les réseaux sociaux. Arcand a échappé au camp de rééducation woke et à l’archipel du goulag de la rectitude politique. Il n’a pas été « annulé ». Il a continué à enseigner et il est même devenu l’un des plus grands cinéastes de l’histoire du Québec.

Même si l’extrait de l'émission balado n’est pas clair à ce sujet, la « jeunesse d’aujourd’hui » à laquelle fait référence Stéphan Bureau n’est pas la même que celle de l’anecdote de Denys Arcand. Les étudiants auxquels Arcand fait référence sont ceux de la génération de Jeunesse d’aujourd’hui, la populaire émission de Télé-Métropole.

Dans l’entrevue de plus d’une heure, une trentaine de secondes avant le début de l’extrait qui circule depuis décembre, Arcand précise que le cours de scénarisation dont il parle a été donné à l’UQAM… en 1973.

À l’époque, Denys Arcand avait à peine 30 ans et Stéphan Bureau n’avait pas 10 ans. Ces élèves qui n’avaient pas lu Camus et qui n’avaient pas l’intention de lire Tolstoï ont tous aujourd’hui plus de 70 ans. Ils appartiennent à une génération qui, ironiquement, reproche parfois aux jeunes d’être trop paresseux et égoïstes, pas assez curieux et polis, ou alors trop revendicateurs et réfractaires à l’autorité.

Certains d’entre eux sont d’anciens marxistes-léninistes qui voient aujourd’hui des wokes dans leur soupe. Sans doute qu’à l’époque, ils trouvaient scandaleux qu’On est au coton, documentaire coréalisé en 1970 par Arcand, ait été censuré par l’ONF en raison de pressions de l’industrie du textile (il n’a été diffusé qu’en 1976).

Cette histoire nous rappelle qu’il y a des dangers à tirer des conclusions hâtives et à se fier à un extrait sorti de son contexte. Elle illustre aussi des préjugés, parfois inconscients, qui laissent croire que « c’était mieux avant ».

Elle m’a fait penser à un récent reportage⁠1 de ma collègue Judith Lachapelle, qui commençait par le témoignage d’un employeur québécois qui reprochait aux jeunes de ne pas vouloir travailler… publié dans La Presse en 1975.

Plus ça change, plus c’est pareil. De tout temps, selon les experts interviewés par ma collègue, les plus vieux ont eu tendance à dénigrer les plus jeunes. « Les passionnés de lecture trouvent que les jeunes lisent moins », constate Judith. Elle cite les conclusions de chercheurs qui démontrent que les gens ont à la fois tendance à « être particulièrement critiques des jeunes d’aujourd’hui à propos de choses dans lesquelles ils excellent eux-mêmes » et à appliquer leur propre expérience à tous les individus de leur génération.

J’ai lu Stendhal, Camus, voire Sartre et Malraux à l’adolescence en n’imaginant pas un instant que mes camarades de classe en faisaient autant. En revanche, je regrette l’époque où, comme en 1973 avec Réjeanne Padovani, Denys Arcand dénonçait courageusement dans ses films ceux qui ont le pouvoir, et non pas ceux qui le contestent. C’était mieux avant ? Parfois, oui.

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Jeunesse d'aujourd'hui | La Presse - La Presse
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Wednesday, January 31, 2024

Universal Music annonce retirer ses chansons de TikTok - TVA Nouvelles

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L'écriture inclusive fait aussi des exclus - Le Devoir

« C’est normal que la langue s’adapte à l’évolution de la société. Elle n’est que son reflet. Elle est là pour bouger », indique la lexicologue Mireille Elchacar. « Si on a vraiment une volonté d’inclure tout le monde dans la langue, non plus juste les hommes et les femmes, il faut réfléchir à l’écriture inclusive. » Dans les années 1970, le Québec a été à l’avant-garde de la féminisation des noms de métier. Cet élan s’est poursuivi avec les discussions sur la rédaction épicène, puis encore aujourd’hui dans les débats sur l’écriture inclusive. Avec la professeure de l’Université TELUQ, Le Devoir discute de ce qui propulse et entrave l’écriture inclusive.

L’écriture inclusive est un ensemble de procédés qu’on peut choisir d’utiliser ou pas, rappelle d’emblée Mireille Elchacar. Cette écriture « n’est pas coulée dans le béton. Elle est faite de toutes sortes d’expérimentations — comme celles qu’on fait avec les pronoms, le “iel”, les doublets, les points médians, etc. C’est l’usage qui va déterminer celles qui vont s’implanter ». 

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La spécialiste redit qu’il n’est pas possible d’avoir un texte complètement neutre en français, où les mots sont genrés. « En d’autres langues, en anglais, “the quiet little boy” devient simplement “the quiet little girl”. En français, un seul changement se répercute sur plusieurs mots : déterminant, adjectifs, possessifs, etc. »

Le point final et le point genré

Une des grandes préoccupations de Mme Elchacar, c’est de constater que l’écriture inclusive mal maniée exclut « ceux qui ont du mal avec l’écrit : les dyslexiques, les dysorthographiques (on en a vraiment beaucoup, en français…), les analphabètes fonctionnels (on en a vraiment beaucoup, au Québec…). Comme l’écriture inclusive est très dure à bien manier, on peut vouloir être inclusif sur le genre et exclure une autre partie de la population. » 

Quelles sont les difficultés de l’écriture inclusive ? Ceux qui ont déjà fait le test les ont expérimentées : il y a un solide pli à prendre, à la lecture comme à l’écriture. « Le plus difficile, ce sont les parenthèses et les points », comme dans « lecteur(ice) », « lecteur.ice » ou « lecteur·ice », précise Mireille Elchacar.

« Un point en français marque une frontière, une limite à la phrase. C’est ce qu’on lit quand on le voit. Depuis quelques années, ça nous ramène aussi à un site Web. Notre oeil est très habitué à lire ça, et peut être confus de voir un point à tout bout de champ. L’utilisation des doublets [p. ex. les lecteurs et les lectrices], par la lourdeur qu’ils ajoutent, est aussi une difficulté, moins marquée. »

Parler comme un livre

« L’écriture inclusive vient de l’écrit, et personne ne parle comme il écrit », poursuit la lexicologue. « C’est arrivé dans l’histoire de la langue que l’écrit influence l’oral. Par exemple, on disait “ostiner” en moyen français, et “oscur”. Et à l’écrit, on a rajouté un b pour faire le lien avec les mots latins “obstinare” et “obscurus”. On dit maintenant “obstiné” et “obscur”. Ce passage de l’écrit à l’oral est assez rare. » 

Le nouveau pronom neutre proposé, « iel », suscite particulièrement des résistances, non ? « C’est très facile de créer de nouveaux mots en français, répond par la bande Mme Elchacar. Pensez à “ courriel”. Des mots lexicaux se développent avec les réalités nouvelles et les découvertes. Mais pour un nouveau déterminant, une nouvelle préposition, ça change sur un temps beaucoup plus long. Le locuteur n’a normalement pas le pouvoir de créer un nouveau mot grammatical. Et là, on arrive avec ce pronom : oui, c’est vraiment un gros changement, d’un coup. »

La professeure poursuit : « Je vois une très grande difficulté à appliquer l’écriture inclusive à toute la population. L’orthographe française est très difficile à acquérir. Le code écrit du français est le plus compliqué de toutes les langues alphabétiques. Je suis prof de linguistique à l’université, vous êtes journaliste, et je suis persuadée qu’on laisse toutes deux échapper des fautes. »

80 heures passées sur les participes

C’est pourquoi Mme Elchacar prône une simplification de l’orthographe, comme elle l’a déjà fait valoir dans son livre Délier la langue (Alias, 2022). « On a déjà tellement de difficultés et d’illogisme dans notre orthographe. Je peux comprendre l’exaspération, ceux qui disent devant l’écriture inclusive : “Voyons, encore une couche de complexité ?” Pour faire de la place à de la nouveauté, il faut permettre à la langue d’évoluer. »

« Elle doit bouger, dans plusieurs sens à la fois : par l’acceptation des formes féminines de la rédaction inclusive, et par une amélioration de cet outil qu’est l’orthographe. L’orthographe n’est pas obligée d’être compliquée. C’est un artefact qui peut être amélioré par l’humain. »

La linguiste pense tout spécialement à une réforme des participes passés. « Cette règle d’accord, c’est 14 pages de règles, et surtout d’exceptions. Ça accapare des dizaines d’heures d’enseignement. Il y a un chiffre qui circule en ce moment, qui estime qu’il y aurait environ 80 heures consacrées à ces règles au secondaire. »

« Ce sont des règles qui ont été construites sur l’italien du XVIe siècle, et que l’Italie a laissées tomber depuis 300 ans… Imaginez si on prenait ces 80 heures pour parler de l’histoire de la langue, de la place du Québécois dans la francophonie, de pourquoi et comment notre français est différent de celui de la France… On pourrait s’emparer de notre langue par différentes facettes au lieu de se consacrer juste à l’orthographe. »

Et discuter et réfléchir au sujet des pertinences, difficultés, nécessités, illogismes de l’écriture inclusive, par exemple. « On vit un moment de changement. On voit des choses proposées, d’autres rejetées. C’est en ébullition. Reste à voir où se trouvera l’équilibre entre l’inclusion et le besoin de garder l’outil qu’est l’écriture de la langue française à la portée de tous. »

« On peut avoir des militants qui nous proposent l’écriture inclusive, conclut Mme Elchacar. Même avoir un Office québécois de la langue française qui viendrait [les] seconder ne [la] renforcerait pas nécessairement — il a déjà proposé de remplacer “muffins” par “moufflets”, dans les années 1980, hein… Ça n’a pas fonctionné parce que les locuteurs ne l’ont pas utilisé. La langue, c’est l’usage. Ce sont les locuteurs qui vont déterminer si l’écriture inclusive “passe” ou non. Qui vont l’utiliser ou non. »

À suivre, donc, dans nos bouches et nos écrits.

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Tuesday, January 30, 2024

C'est cet humoriste qui remplacera Louis-José Houde à la barre du Gala de l'ADISQ - 7 Jours

On connaît maintenant l'identité de la personne qui succédera à Louis-José Houde à la barre du prochain gala de l'ADISQ. Après 18 ans, l'humoriste passe le flambeau... à un autre humoriste: il s'agit de Pierre-Yves Roy-Desmarais!

PHOTO AGENCE QMI, MARIO BEAUREGARD

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« J'ai grandi dans la musique et dans l'humour. Adolescent, je jouais de la guitare et chantais dans un groupe qui reprenait les succès des Trois Accords, puis je ne manquais jamais le Gala de l'ADISQ animé par mon idole Louis-José Houde. Donc, est-ce un honneur de reprendre l'animation de l'ADISQ? Ouais ouais, normal », a dit Pierre-Yves Roy-Desmarais par voie de communiqué.

L’humoriste de 29 ans était l’un des successeurs pressentis pour prendre les rênes de cette fête de la musique après que Louis-José Houde ait annoncé son départ, en novembre dernier. En plus d’avoir reçu d’excellentes critiques pour son premier one-man show, Jokes, Chapeau, Maman, Magie, Piano, PYRD s’est démarqué dans les dernières éditions du Bye Bye. Le comique a aussi lancé plusieurs chansons dans sa jeune carrière, ce qui démontre son attachement au milieu musical.

• À lire aussi: Le monologue de Katherine Levac aux Olivier fait énormément jaser

« Lorsque nous l’avons rencontré, il y a quelques mois déjà, pour sonder son intérêt envers nos galas, nous avons vite réalisé que Pierre-Yves Roy-Desmarais avait tout le naturel pour ce mandat, lui qui cumule les chapeaux d’animateur, humoriste et musicien, en plus d’être un grand connaisseur de la musique québécoise. Nous avons tout de suite su que nous avions trouvé une perle rare lorsqu’il nous a raconté sa jeunesse à coup d’albums marquants de musique d’ici. Le 46e Gala de l’ADISQ est entre bonnes mains », a déclaré dans un communiqué Julie Gariépy, productrice exécutive et directrice des Galas de l’ADISQ.

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«Ces dernières années ont été un grand défi pour moi»: Céline Dion parle de sa maladie dans un documentaire à venir sur Prime Video - Le Journal de Montréal

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Pierre-Yves Roy-Desmarais succède à Louis-José Houde à l’animation du Gala de l’ADISQ - Radio-Canada.ca

Un autre humoriste sera à la barre du prochain Gala de l'ADISQ; Pierre-Yves Roy-Desmarais succédera à Louis-José Houde à l'animation de la prochaine cérémonie récompensant les artisans et artisanes de la musique au Québec.

Radio-Canada et l'ADISQ ont annoncé mardi que l'humoriste de 29 ans prendrait les rênes du 46e Gala de l'ADISQ, présenté l'automne prochain.

Adolescent, je jouais de la guitare et chantais dans un groupe qui reprenait les succès des Trois Accords, puis je ne manquais jamais le Gala de l'ADISQ, animé par mon idole, Louis-José Houde. Donc, est-ce un honneur de reprendre l'animation de l'ADISQ? Ouais, ouais, normal, a raillé Roy-Desmarais dans un communiqué.

Julie Gariépy, productrice déléguée et directrice du Gala de l'ADISQ, dit que l'équipe de l'événement avait l'impression d'avoir trouvé une perle rare en Roy-Desmarais, qu'elle décrit comme un grand connaisseur de la musique québécoise.

Pierre-Yves Roy-Desmarais s'est fait connaître dans les dernières années pour sa participation à plusieurs Bye bye. C'est lui qui a ouvert quelques fois la mythique émission en entonnant une chanson humoristique. Il est aussi l'un des fantastiques de l'émission de radio de Véronique Cloutier sur Rouge.

Son premier spectacle solo, Jokes chapeau maman magie piano, avait d'ailleurs remporté le Félix du spectacle d'humour de l'année en 2022, contre notamment Mille mauvais choix, de Louis-José Houde.

Le très populaire Louis-José Houde a été maître de cérémonie du Gala de l'ADISQ pendant 18 ans, attirant chaque fois des critiques dithyrambiques sur son animation empreinte d'une grande connaissance de la musique du Québec.

Roy-Desmarais est visiblement conscient qu'il aura de grands souliers à chausser. Dans une vidéo promotionnelle diffusée mercredi, il anticipe toutes les questions que les journalistes lui poseront et elles concernent toutes son prédécesseur.

C'est un honneur, mais j'aime mieux ne pas me comparer, pis me concentrer sur ce que moi, j'ai à faire, a-t-il répondu à une question fictive d'un journaliste. Sincèrement, ce n'est pas si pire, je me dis que de toute manière, la soirée n'est pas à propos de moi, elle est à propos de notre musique.

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